Crise humanitaire dans le nord : Le Japon apporte son appui à la Côte d’Ivoire
Le gouvernement de Côte d’Ivoire en collaboration avec Onu Femmes et l’appui financier du Japon, a lancé le 29 avril 2024, le projet : « Répondre aux besoins urgents des femmes et des jeunes filles affectées par la crise humanitaire dans le nord de la Côte d’Ivoire et assurer leur pleine participation à la réponse humanitaire ».
Financé par le gouvernement japonais à hauteur de 548 000 dollars, soit plus de 335 millions de FCfa, le projet, selon Antonia Ngbala-Sodonon, Représentante résidente d’Onu Femmes, vise à apporter une réponse rapide aux défis multiples, dans les régions nord du pays, principalement dans le Bounkani et leTchologo, avec l’afflux massif de demandeurs d’asile dans ces régions.
Poursuivant, elle a souligné que le projet s’inscrit dans les initiatives visant à faire progresser l’égalité des sexes dans l’action humanitaire, notamment dans la fourniture de services vitaux et la promotion de la protection.
Il entend principalement combler les lacunes dans l'accès à l'aide des femmes et filles dans la réponse humanitaire actuellement en cours dans les régions du Bounkani et du Tchologo, tout en veillant à assurer leur participation significative à cette réponse.
Myss Belmonde Dogo, ministre de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de la Lutte contre la pauvrété, a expliqué l’importance de la mise en place du projet.
A l’en croire, le nombre de demandeurs d’asile enregistré dans le nord du pays et plus précisément dans les regions du Bounkani et du Tchologo est passé de 4085 en 2021, à plus de 40 000 en 2023.
« L’accueil des populations sœurs à pour impact le déséquilibre de l’accès aux ressources de subsistance, aux services sociaux de base », a-t-elle déploré. Puis de féliciter le gouvernement qui a mis en place une assistance humanitaire.
Poursuivant, elle a souligné que le projet s’inscrit dans les initiatives visant à faire progresser l’égalité des sexes dans l’action humanitaire, notamment dans la fourniture de services vitaux et la promotion de la protection.
Il entend principalement combler les lacunes dans l'accès à l'aide des femmes et filles dans la réponse humanitaire actuellement en cours dans les régions du Bounkani et du Tchologo, tout en veillant à assurer leur participation significative à cette réponse.
Myss Belmonde Dogo, ministre de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de la Lutte contre la pauvrété, a expliqué l’importance de la mise en place du projet.
A l’en croire, le nombre de demandeurs d’asile enregistré dans le nord du pays et plus précisément dans les regions du Bounkani et du Tchologo est passé de 4085 en 2021, à plus de 40 000 en 2023.
« L’accueil des populations sœurs à pour impact le déséquilibre de l’accès aux ressources de subsistance, aux services sociaux de base », a-t-elle déploré. Puis de féliciter le gouvernement qui a mis en place une assistance humanitaire.