Des personnes physiques et morales ont été félicitées

Il a ajouté que le gouvernement n’entend pas y porter atteinte. Cependant, poursuivra-t-il, ces faîtières ne doivent pas outrepasser les règles. Il les a, par conséquent, invités à sensibiliser leurs membres afin que l’exercice, si légitime soit-il, de leur droit ne soit pas préjudiciable aux intérêts de l’État, ainsi qu’à ceux des structures qui les emploient.

Ce fut l’occasion pour les délégations régionales des centrales syndicales, de soulever un certain nombre de préoccupations. Il s’agit notamment de disfonctionnements constatés au niveau de la mise en œuvre de la Couverture maladie universelle (Cmu), de la contreperformance des comités de sécurité et santé au travail, de l’implantation grandissante des usines en pleine ville et l’absence d’une commission régionale de classement conformément à l’article 46 de la convention collective.

Les travailleurs ont célébré cette journée dans une atmosphère bon enfant

Cette commémoration s’est déroulée sous la houlette de Tapé Djédjé Apollinaire, directeur régional du travail, qui était aux commandes de l’organisation de la cérémonie. Il a fait savoir que la fête du travail marque la célébration des victoires syndicales enregistrées dans la conquête des droits fondamentaux au travail.

Selon lui, l’événement sonne comme une tribune qui permet aux principales organisations de travailleurs, de présenter leurs revendications, d’évaluer l’état de traitement des doléances antérieures et d’ouvrir des perspectives visant à améliorer les conditions de vie et de travail.