Les sprinteuses, fières de leur performance, en compagnie du Dg des sports. (Dr)
JO Paris 2024: L’équipe ivoirienne du relais 4x100 m féminin raconte son exploit après la qualification
Le sprint ivoirien a encore fait parler de lui sur les pistes d'athlétisme, le week-end, au stade Thomas-Robinson de Nassau, aux Bahamas.
C’est effectif depuis le 5 mai. Le relais 4X 100 m dames de Côte d’Ivoire sera aux Jeux olympiques de Paris, du 26 juillet au 11 août prochain.
Les filles ont franchi le pas. Marie-Josée Ta Lou, Murielle Ahouré, Maboundou Koné, Jessika Gbaï, Whitney Tié et Dinedye Denis ont encore démontré la vitalité de la jeunesse ivoirienne.
Une jeunesse transformée par cette Can à domicile et qui ne se fixe plus de limites. Les filles l’ont montré sur les pistes, loin de la patrie et du continent africain, à Nassau, aux Bahamas.
Elles ont pulvérisé de grandes nations, telles que l’Espagne, la Belgique, le Japon, l’Australie, avec un temps assez révélateur de 42,63 secondes, pour propulser le pays sur la scène planétaire.
« Nous n’étions pas très attendues aux Bahamas. Mais nous savions que nous avions une force. Nous sommes unies et sommes toutes émues par l’idée de réaliser quelque chose de fort pour notre nation. En tout cas, pour moi qui ai représenté deux fois la Côte d’Ivoire aux Jeux olympiques, je peux vous dire que ce n’est pas la même sensation. Cette qualification de groupe est exceptionnelle », explique Marie-Josée Ta-Lou.
Pour elle, « ce n’était pas gagné d’avance. Mais nous nous sommes dit qu’il y avait un coup à jouer à Nassau. Il fallait juste répéter et rester concentrées sur notre sujet. Et voilà le résultat. Je suis particulièrement fière et heureuse. Car c’est la première fois de l’histoire que l’équipe féminine 4x100m de la Côte d’Ivoire est officiellement qualifiée pour les Jeux olympiques ».
Murielle Ahouré, également, souligne la solidarité et la bonne ambiance au sein de l’équipe. « Ce sont mes cadettes et nous formons un groupe solidaire. Quand les Ivoiriens sont unis et travaillent ensemble, ils peuvent soulever des montagnes. C’est ce que nous essayons de démontrer et ce n’est pas terminé. Car nous irons à Paris pour chercher à faire mieux », a-t-elle indiqué.
Maboundou, elle, insiste sur les conditions de travail qu’elle estime bonnes dans l’ensemble. « En tout cas, nous nous sommes bien préparées. Il est clair que tout n’a pas été facile, mais nous avons un mois et quelques jours pour huiler notre machine avant les Jeux olympiques ».
Les filles promettent de casser la baraque à Paris.
Une jeunesse transformée par cette Can à domicile et qui ne se fixe plus de limites. Les filles l’ont montré sur les pistes, loin de la patrie et du continent africain, à Nassau, aux Bahamas.
Elles ont pulvérisé de grandes nations, telles que l’Espagne, la Belgique, le Japon, l’Australie, avec un temps assez révélateur de 42,63 secondes, pour propulser le pays sur la scène planétaire.
« Nous n’étions pas très attendues aux Bahamas. Mais nous savions que nous avions une force. Nous sommes unies et sommes toutes émues par l’idée de réaliser quelque chose de fort pour notre nation. En tout cas, pour moi qui ai représenté deux fois la Côte d’Ivoire aux Jeux olympiques, je peux vous dire que ce n’est pas la même sensation. Cette qualification de groupe est exceptionnelle », explique Marie-Josée Ta-Lou.
Pour elle, « ce n’était pas gagné d’avance. Mais nous nous sommes dit qu’il y avait un coup à jouer à Nassau. Il fallait juste répéter et rester concentrées sur notre sujet. Et voilà le résultat. Je suis particulièrement fière et heureuse. Car c’est la première fois de l’histoire que l’équipe féminine 4x100m de la Côte d’Ivoire est officiellement qualifiée pour les Jeux olympiques ».
Murielle Ahouré, également, souligne la solidarité et la bonne ambiance au sein de l’équipe. « Ce sont mes cadettes et nous formons un groupe solidaire. Quand les Ivoiriens sont unis et travaillent ensemble, ils peuvent soulever des montagnes. C’est ce que nous essayons de démontrer et ce n’est pas terminé. Car nous irons à Paris pour chercher à faire mieux », a-t-elle indiqué.
Maboundou, elle, insiste sur les conditions de travail qu’elle estime bonnes dans l’ensemble. « En tout cas, nous nous sommes bien préparées. Il est clair que tout n’a pas été facile, mais nous avons un mois et quelques jours pour huiler notre machine avant les Jeux olympiques ».
Les filles promettent de casser la baraque à Paris.