Noura Sarassoro, directeur des tournois Digit de tennis : Une vagabonde de la charité
Il existe différentes manières d’aider son prochain. Les Sarassoro ont choisi d’œuvrer dans le social, à travers la création d’une organisation non gouvernementale (Ong). Il s’agit de l’Ong Digit qui axe ses actions sur l’éducation, la formation au numérique et le développement des jeunes défavorisés.
Cependant, depuis 2023, Noura Sarassoro, la présidente de l’Ong, a décidé d’apporter une touche sportive à la ligne de Digit. Cela en organisant la première édition du Masters Digit.
Une compétition qui a relancé les activités du club relooké de Cocody Saint-Jean, qui a servi de cadre. La jeune Noura Sarassoro, bientôt 19 ans, ne cache pas sa volonté de faire du tennis un moyen d’aider à sortir de la précarité, ceux qui n’ont pas la même chance qu’elle.
« Nous formons les jeunes défavorisés au numérique et nous voulons utiliser le tennis comme sport d’occupation saine, en vue de contribuer davantage à leur développement personnel », a-t-elle souligné.
Aussi, l’Open Digit a été organisé du 2 au 5 mai, au club de tennis de la Sodeci. Ce tournoi qui a connu un franc succès est la preuve de la détermination de la présidente. Les participants, précisément ceux qui ont atteint les quarts de finale, sont repartis avec de coquettes enveloppes.
« C’est l’autre objectif de la compétition Digit. Elle vise à occuper sainement la population en général. Elle permet par ailleurs aux athlètes d’un bon niveau d’avoir un peu de moyens financiers, afin de mieux se préparer pour les compétitions internationales », confie Ouattara Souleymane, le directeur général de la fédération ivoirienne de tennis (Fit).
Sur instruction de Georges N’Goan, le président de ladite fédération, il n’hésite pas à apporter la logistique nécessaire à l’organisation d’une compétition pareille.
Dans un mois, si tout se passe comme prévu, la jeune patronne de l’Ong Digit ouvrira « la Case numérique ». Une structure de formation qui sera une opportunité pour une quinzaine de jeunes d’apprendre les bases de l’outil internet.
Une compétition qui a relancé les activités du club relooké de Cocody Saint-Jean, qui a servi de cadre. La jeune Noura Sarassoro, bientôt 19 ans, ne cache pas sa volonté de faire du tennis un moyen d’aider à sortir de la précarité, ceux qui n’ont pas la même chance qu’elle.
« Nous formons les jeunes défavorisés au numérique et nous voulons utiliser le tennis comme sport d’occupation saine, en vue de contribuer davantage à leur développement personnel », a-t-elle souligné.
Aussi, l’Open Digit a été organisé du 2 au 5 mai, au club de tennis de la Sodeci. Ce tournoi qui a connu un franc succès est la preuve de la détermination de la présidente. Les participants, précisément ceux qui ont atteint les quarts de finale, sont repartis avec de coquettes enveloppes.
« C’est l’autre objectif de la compétition Digit. Elle vise à occuper sainement la population en général. Elle permet par ailleurs aux athlètes d’un bon niveau d’avoir un peu de moyens financiers, afin de mieux se préparer pour les compétitions internationales », confie Ouattara Souleymane, le directeur général de la fédération ivoirienne de tennis (Fit).
Sur instruction de Georges N’Goan, le président de ladite fédération, il n’hésite pas à apporter la logistique nécessaire à l’organisation d’une compétition pareille.
Dans un mois, si tout se passe comme prévu, la jeune patronne de l’Ong Digit ouvrira « la Case numérique ». Une structure de formation qui sera une opportunité pour une quinzaine de jeunes d’apprendre les bases de l’outil internet.