Développement durable : Des étudiants exhortent la jeunesse à s’intéresser au financement
« La politique de mobilisation des ressources de financement du développement durable ». Tel est le thème de la conférence organisée le vendredi 17 mai 2024, au Centre de recherche et d’action pour la paix (Cerap) par les étudiants dudit centre, rapporte une note du service de communication.
« Cette conférence fait suite à une table ronde qui s’est déroulée en mars 2023 avec la présence de plusieurs institutions internationales. Il ressortait que le financement du développement durable est négligé en Côte d’Ivoire. Du coup, nous, étudiants du Cerap, avons décidé d’organiser une conférence pour les jeunes, les étudiants, les institutions de financement afin que nous puissions prendre en main le développement durable. Et surtout avoir des ressources financières nécessaires pour le financer », a expliqué Yann Coulibaly, président du comité d’organisation.
L’un des panélistes, Dr Arsène Brice Bado, vice-président aux études et aux relations internationales du Cerap/Uj, enseignant-chercheur, politologue et auteur, a déploré le fait que l’Afrique subsaharienne soit l’une des régions du monde la plus touchée par les effets du changement climatique et qui malheureusement reçoit très peu de financement pour lutter contre ce fléau.
Pour sa part, Kpadonou Rivaldo, spécialiste en changement climatique et croissance verte à la Banque africaine de développement (Bad), a salué l’initiative des étudiants du Cerap. « Le financement du développement durable à un moment donné ne concernait que le domaine public. Mais maintenant ce n’est plus le cas », dit-il.
A l’en croire, c’est désormais l’ensemble du système social qui s’implique.
L’un des panélistes, Dr Arsène Brice Bado, vice-président aux études et aux relations internationales du Cerap/Uj, enseignant-chercheur, politologue et auteur, a déploré le fait que l’Afrique subsaharienne soit l’une des régions du monde la plus touchée par les effets du changement climatique et qui malheureusement reçoit très peu de financement pour lutter contre ce fléau.
Pour sa part, Kpadonou Rivaldo, spécialiste en changement climatique et croissance verte à la Banque africaine de développement (Bad), a salué l’initiative des étudiants du Cerap. « Le financement du développement durable à un moment donné ne concernait que le domaine public. Mais maintenant ce n’est plus le cas », dit-il.
A l’en croire, c’est désormais l’ensemble du système social qui s’implique.