Conseil des ministres du CAMES : La Côte d’Ivoire renforce ses rapports avec le Maroc et le Congo

Le ministre Adama Diawara à la 41e session ordinaire du Conseil des ministres du Conseil africain et malgache pour l'enseignement supérieur. (Ph: Dr)
Le ministre Adama Diawara à la 41e session ordinaire du Conseil des ministres du Conseil africain et malgache pour l'enseignement supérieur. (Ph: Dr)
Le ministre Adama Diawara à la 41e session ordinaire du Conseil des ministres du Conseil africain et malgache pour l'enseignement supérieur. (Ph: Dr)

Conseil des ministres du CAMES : La Côte d’Ivoire renforce ses rapports avec le Maroc et le Congo

Le 24/05/24 à 23:04
modifié 24/05/24 à 23:04
À l’occasion de la 41e session ordinaire du Conseil des ministres du Conseil africain et malgache pour l'enseignement supérieur (Cames) qui se tient présentement à Kintélé (Congo-Brazzaville), Adama Diawara, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a renforcé ses rapports avec le Maroc et le Congo.

Avec le ministre marocain de l'Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, Abdellatif Miraouli, il a été question des problèmes structurels de leurs systèmes d'enseignement supérieur. À la fin de la rencontre, les deux ministres ont décidé de poursuivre très prochainement les échanges au Maroc pour tisser des partenariats fructueux entre les universités ivoiriennes et marocaines.

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Avec son homologue du Congo, Mme Delphine Édith Emmanuel Adouki, le Prof. Adama Diawara s’est voulu très reconnaissant quant à l’accession de l’Ivoirien, Prof. Konaté Souleymane, au poste de Secrétaire général du Cames.

« Aujourd’hui à la tête du Cames, nous avons un Ivoirien, le Prof. Konaté qui a été brillamment élu lors de la dernière session élective du Cames. Et je peux vous assurer que pour que notre compatriote puisse accéder à cette charge, il a fallu qu’un certain nombre de pays nous soutiennent. Parmi ces pays, il y a la République sœur du Congo », a-t-il reconnu.

« Le soutien du Congo a été très déterminant », a rappelé le premier responsable de l’Enseignement supérieur ivoirien. Avant d’aborder les problèmes structurels communs aux systèmes d’enseignement supérieur des deux pays.

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« Il y a beaucoup de problèmes qui sont communs à nos sous-secteurs. Il y a donc des retours d’expériences entre nos pays. Lorsqu’il y a un problème qui se pose au sous-secteur, on essaie chacun de son côté, de demander à l’autre comment le problème est résolu à son niveau et on s'en inspire », a précisé le ministre ivoirien.


Le 24/05/24 à 23:04
modifié 24/05/24 à 23:04