Finale du tournoi Ufoa-B : Côte d’Ivoire-Burkina Faso, rétablir l’ordre
Les Éléphanteaux de Côte d’Ivoire disputent, ce soir (18h), au stade de l’Université d’Accra, la finale du tournoi des jeunes de l’Ufoa-B contre les jeunes Étalons du Burkina Faso.
Les deux pays étant déjà qualifiés pour la 15e édition de la Coupe d’Afrique des nations de football de la catégorie (Can U17), cette rencontre ultime avec le voisin du Nord pue plutôt le prestige.
« Nous avions un double objectif en venant à cette compétition : se qualifier pour la Can des cadets et retourner avec le trophée. Le premier objectif a été atteint. A présent, nous visons le second objectif », déclare Diabaté Bassiriki, sélectionneur national des cadets de Côte d’Ivoire.
C’est sûr que le coach a galvanisé sa troupe en fouettant son orgueil. En face, les jeunes Étalons ont le vent en poupe. Ils réalisent un tournoi presque sans reproche.
Ils ont passé le Nigeria et éliminé le pays organisateur, le Ghana. A présent, ils ne craignent plus rien. Et puis, affronter la Côte d’Ivoire a toujours été un excitant pour le Burkina Faso.
« On ne choisit pas ses adversaires », confiait l’entraîneur burkinabè, Oscar Barro, qui a chauffé à blanc ses joueurs. « Le match va se jouer sur les nerfs. Nous leur avons fait savoir que c’est l’équipe qui tiendra le mieux sur ce plan qui triomphera », a-t-il dit. Un bon petit choc à ne pas manquer.
« Nous avions un double objectif en venant à cette compétition : se qualifier pour la Can des cadets et retourner avec le trophée. Le premier objectif a été atteint. A présent, nous visons le second objectif », déclare Diabaté Bassiriki, sélectionneur national des cadets de Côte d’Ivoire.
C’est sûr que le coach a galvanisé sa troupe en fouettant son orgueil. En face, les jeunes Étalons ont le vent en poupe. Ils réalisent un tournoi presque sans reproche.
Ils ont passé le Nigeria et éliminé le pays organisateur, le Ghana. A présent, ils ne craignent plus rien. Et puis, affronter la Côte d’Ivoire a toujours été un excitant pour le Burkina Faso.
« On ne choisit pas ses adversaires », confiait l’entraîneur burkinabè, Oscar Barro, qui a chauffé à blanc ses joueurs. « Le match va se jouer sur les nerfs. Nous leur avons fait savoir que c’est l’équipe qui tiendra le mieux sur ce plan qui triomphera », a-t-il dit. Un bon petit choc à ne pas manquer.