Éléphanteaux : Des corrections à faire avant la Can 2025
Les jeunes ivoiriens effectuent leur retour dans la compétition après neuf ans d'absence.
Les Éléphanteaux U17 sont de retour d’Accra depuis hier après le tournoi Ufoa B, qualificatif pour la Can des cadets 2025 qui aura lieu au Maroc. La Côte d’Ivoire a terminé vice-championne après avoir été battue en finale, mardi dernier, par le Burkina Faso (1-3). L’objectif premier du tournoi a été atteint.
La qualification pour la Can U17 à laquelle la Côte d’Ivoire n’avait plus pris part depuis 2015. Dix ans après donc les Ivoiriens sont de retour. Un retour qui ne doit pas être une simple figuration. Bassiriki Diabaté et ses poulains devront poursuivre sur la nouvelle dynamique de la victoire impulsée par les Éléphants A, vainqueurs de la Can 2023.
Pour ce faire, il faut tirer rapidement les leçons de ce tournoi qualificatif où on a constaté des acquis dans le groupe mais également des lacunes qu’il va falloir corriger.
Les Éléphanteaux ont présenté plusieurs visages lors de ce tournoi. Ils ont connu la débâcle contre le Ghana (1-5) en ouverture, dans une rencontre où ils ont pourtant montré des qualités techniques supérieures à celles de l’adversaire. Contre le Bénin, dans un match assez équilibré, ils ont fait preuve de solidarité pour ne pas prendre de buts avant de porter l’estocade (1-0).
La demi-finale contre le Nigeria, présentée comme un foudre de guerre, a été bien maîtrisée par les garçons de Bassiriki Diabaté qui l’ont logiquement emportée (1-0). Enfin, contre le Burkina Faso en finale, malgré une partie équilibrée, des erreurs individuelles (surtout le portier) ont coûté cher aux Éléphanteaux.
Le bilan des Ivoiriens à cette compétition, c’est quatre matchs, deux défaites et deux victoires. Huit buts encaissés et trois inscrits. La défense est le tendon d’Achille de l’équipe au regard des statistiques. Mais offensivement il y a du chemin à faire. Un manque d’imagination dans les 20 mètres à revoir.
En finale,l’unique but des Ivoiriens est venu d’une frappe lointaine. Faut-il peut-être le mettre sur le compte de la jeunesse, mais il y a un manque d’application dans la construction. Ce qui a occasionné beaucoup de pertes de balle.
Avant la Can 2025, il y aura certainement des changements dans le groupe. Le staff doit surtout privilégier l’efficacité qui a fait défaut.
Sinon, c’est un groupe talentueux à l’image du latéral gauche ou du dossard 14, qui sait tout faire du ballon mais qui a manqué de soutien et de concentration dans le dernier geste.
Pour ce faire, il faut tirer rapidement les leçons de ce tournoi qualificatif où on a constaté des acquis dans le groupe mais également des lacunes qu’il va falloir corriger.
Les Éléphanteaux ont présenté plusieurs visages lors de ce tournoi. Ils ont connu la débâcle contre le Ghana (1-5) en ouverture, dans une rencontre où ils ont pourtant montré des qualités techniques supérieures à celles de l’adversaire. Contre le Bénin, dans un match assez équilibré, ils ont fait preuve de solidarité pour ne pas prendre de buts avant de porter l’estocade (1-0).
La demi-finale contre le Nigeria, présentée comme un foudre de guerre, a été bien maîtrisée par les garçons de Bassiriki Diabaté qui l’ont logiquement emportée (1-0). Enfin, contre le Burkina Faso en finale, malgré une partie équilibrée, des erreurs individuelles (surtout le portier) ont coûté cher aux Éléphanteaux.
Le bilan des Ivoiriens à cette compétition, c’est quatre matchs, deux défaites et deux victoires. Huit buts encaissés et trois inscrits. La défense est le tendon d’Achille de l’équipe au regard des statistiques. Mais offensivement il y a du chemin à faire. Un manque d’imagination dans les 20 mètres à revoir.
En finale,l’unique but des Ivoiriens est venu d’une frappe lointaine. Faut-il peut-être le mettre sur le compte de la jeunesse, mais il y a un manque d’application dans la construction. Ce qui a occasionné beaucoup de pertes de balle.
Avant la Can 2025, il y aura certainement des changements dans le groupe. Le staff doit surtout privilégier l’efficacité qui a fait défaut.
Sinon, c’est un groupe talentueux à l’image du latéral gauche ou du dossard 14, qui sait tout faire du ballon mais qui a manqué de soutien et de concentration dans le dernier geste.