Coton, textile et habillement : Une étude lancée pour renforcer la compétitivité de la filière
L’État de Côte d’Ivoire veut dynamiser sa filière coton, textile et habillement. Il entend réaliser à cet effet une étude pour renforcer la compétitivité des Pme opérant dans le secteur. Le lancement officiel du projet a eu lieu, à Abidjan-Adjamé, le 30 mai 2024, au siège du Guichet unique de développement des Pme (Gude Pme), l’institution initiatrice.
Cette étude permettra de faire l’état des lieux du secteur coton, du textile et de l’habillement. Mais aussi, mettre en place un plan d’actions que le guichet va implémenter en vue de l’industrialisation de la filière. Il s’agira, en outre, de faire des propositions et recommandations qui seront exécutées.
Dans la mise en œuvre, l’on devra favoriser l’accès au marché au profit des entreprises. « Il faut qu’on arrive à industrialiser la filière pour ajouter de la valeur. Le coton est jusque-là exporté brut. Alors que nous avons toutes les capacités c’est-à-dire les ressources humaines. Des jeunes qu’on peut former et qui vont apporter de la valeur au coton. Déjà faire du textile, ensuite l’habillement, puis substituer tout ce qui est importé », a commenté le directeur général de Gude Pme, Yaya Ouattara.
Il explique que son entité prend le lead de la mise en œuvre du projet, pour espérer toucher plusieurs petites entreprises, à travers des compétences techniques managériales. Aussi, en mettant à disposition des ressources pour produire selon les normes, transformer, industrialiser et pouvoir non pas seulement satisfaire le marché local, mais aussi exporter.
Pour réaliser cette étude, le Gude Pme sera assisté par Tony Blair Institute qui est l’opérateur technique. Il déploiera ses équipes sur toute l’étendue du territoire national à la rencontre des différents acteurs, producteurs, transformateurs et commerçants, afin de recueillir des données. Selon son directeur général, le partenaire usera d’outils qui ont fait déjà leurs preuves ailleurs, pour atteindre les résultats.
Le directeur de cabinet adjoint de la Primature, Georges Bolamo, se réjouit de l’implémentation d’une réflexion mûrie depuis 2019 de concert avec le Conseil du coton et de l'anacarde. Par conséquent, il appelle à la mobilisation de tous les acteurs, afin que l’étude puisse refléter la réalité du terrain. Afin qu’in fine, l’on puisse aboutir à l’avènement de champions nationaux, à la dynamisation de l’écosystème et à la création d’emplois.
L’étude prendra en compte en priorité les entreprises formellement constituées et enregistrées dans la filature, le tissage et la confection. Celles qui sont dans l’informel ne seront pas exclues.
Soulignons que les résultats de cette étude sont attendus le 27 août 2024.
Dans la mise en œuvre, l’on devra favoriser l’accès au marché au profit des entreprises. « Il faut qu’on arrive à industrialiser la filière pour ajouter de la valeur. Le coton est jusque-là exporté brut. Alors que nous avons toutes les capacités c’est-à-dire les ressources humaines. Des jeunes qu’on peut former et qui vont apporter de la valeur au coton. Déjà faire du textile, ensuite l’habillement, puis substituer tout ce qui est importé », a commenté le directeur général de Gude Pme, Yaya Ouattara.
Il explique que son entité prend le lead de la mise en œuvre du projet, pour espérer toucher plusieurs petites entreprises, à travers des compétences techniques managériales. Aussi, en mettant à disposition des ressources pour produire selon les normes, transformer, industrialiser et pouvoir non pas seulement satisfaire le marché local, mais aussi exporter.
Pour réaliser cette étude, le Gude Pme sera assisté par Tony Blair Institute qui est l’opérateur technique. Il déploiera ses équipes sur toute l’étendue du territoire national à la rencontre des différents acteurs, producteurs, transformateurs et commerçants, afin de recueillir des données. Selon son directeur général, le partenaire usera d’outils qui ont fait déjà leurs preuves ailleurs, pour atteindre les résultats.
Le directeur de cabinet adjoint de la Primature, Georges Bolamo, se réjouit de l’implémentation d’une réflexion mûrie depuis 2019 de concert avec le Conseil du coton et de l'anacarde. Par conséquent, il appelle à la mobilisation de tous les acteurs, afin que l’étude puisse refléter la réalité du terrain. Afin qu’in fine, l’on puisse aboutir à l’avènement de champions nationaux, à la dynamisation de l’écosystème et à la création d’emplois.
L’étude prendra en compte en priorité les entreprises formellement constituées et enregistrées dans la filature, le tissage et la confection. Celles qui sont dans l’informel ne seront pas exclues.
Soulignons que les résultats de cette étude sont attendus le 27 août 2024.