Assainissement à Bouaké : Le secteur de la vidange en voie de professionnalisation
La professionnalisation du secteur de la vidange est une préoccupation pour le ministère de l’Hydraulique, de l’Assainissement et de la Salubrité (Minhas).
A cet effet, un atelier pour le renforcement des capacités des opérateurs s’est tenu, du 21 au 24 mai 2024, dans un réceptif hôtelier de Bouaké. C’était à l’initiative de l’Office national de l’assainissement et du drainage (Onad), à travers la coordination de l’exécution de la Promotion de l’accès aux services d’assainissement autonome en milieu urbain (Pasaau).
A l’ouverture de l’atelier, Palé Julienne Sié, ingénieur hydraulicienne, par ailleurs, coordinatrice du projet Pasaau, a fait le constat que l’assainissement non collectif est le type d’assainissement qui est le plus répandu sur le territoire national. Et que Bouaké ne fait pas exception.
Face à cette situation, le ministère à travers l’Onad s’est résolu à relever les défis liés à l’accès à des services d’assainissement sûrs et performants pour les ménages, à la sécurité sociale et sanitaire des travailleurs de l’assainissement, mais aussi à la protection de l’environnement par l’éradication des dépotages anarchiques et toutes les autres pratiques néfastes qui ont été constatées.
Durant ces quatre jours, la quinzaine des opérateurs de Bouaké ont été formés, non seulement, sur la création d’une entreprise, la procédure de délivrance d’agrément et les lois et règlements applicables en matière de vidange. Mais aussi sur le marketing autour de l’activité de vidange et la gestion financière de l’activité, les impacts sanitaires de l’activité de vidange sur l’opérateur et sur l’environnement, et les mesures appropriées, etc.
A la clôture de l’atelier, tout en se réjouissant de l’assiduité avec laquelle les participants ont pris part à cet atelier, la coordonnatrice de la Pasaau a révélé que cette première session est une série de cinq sessions financées par la Facilité africaine de l’eau (Fae) qui se tiendront dans les villes bénéficiaires du projet. A savoir, Abidjan, Bouaké, Katiola, Korhogo, San Pedro et Yamoussoukro.
A l’ouverture de l’atelier, Palé Julienne Sié, ingénieur hydraulicienne, par ailleurs, coordinatrice du projet Pasaau, a fait le constat que l’assainissement non collectif est le type d’assainissement qui est le plus répandu sur le territoire national. Et que Bouaké ne fait pas exception.
Face à cette situation, le ministère à travers l’Onad s’est résolu à relever les défis liés à l’accès à des services d’assainissement sûrs et performants pour les ménages, à la sécurité sociale et sanitaire des travailleurs de l’assainissement, mais aussi à la protection de l’environnement par l’éradication des dépotages anarchiques et toutes les autres pratiques néfastes qui ont été constatées.
Durant ces quatre jours, la quinzaine des opérateurs de Bouaké ont été formés, non seulement, sur la création d’une entreprise, la procédure de délivrance d’agrément et les lois et règlements applicables en matière de vidange. Mais aussi sur le marketing autour de l’activité de vidange et la gestion financière de l’activité, les impacts sanitaires de l’activité de vidange sur l’opérateur et sur l’environnement, et les mesures appropriées, etc.
A la clôture de l’atelier, tout en se réjouissant de l’assiduité avec laquelle les participants ont pris part à cet atelier, la coordonnatrice de la Pasaau a révélé que cette première session est une série de cinq sessions financées par la Facilité africaine de l’eau (Fae) qui se tiendront dans les villes bénéficiaires du projet. A savoir, Abidjan, Bouaké, Katiola, Korhogo, San Pedro et Yamoussoukro.