Actes de violence à l’abattoir de Port-Bouët: Une quinzaine de blessés et plusieurs véhicules incendiés
Le District autonome d’Abidjan, dans un communiqué, fait le bilan des actes de violence perpétrés ce samedi 1er juin 2024, à l’abattoir de Port-Bouët (Abidjan). Une quinzaine de blessés, deux véhicules de type 4x4, deux porte-chars, deux pelles mécaniques ont été incendiés ainsi qu’un bus de la Sotra saccagé.
Tout en souhaitant des vœux de prompt rétablissement aux personnes blessées, le District autonome d'Abidjan « condamne ces violences et indique que les dispositions ont été prises pour donner une suite judiciaire à cette affaire ».
Ces actes sont intervenus, selon la note, alors qu’un processus de délocalisation du parc à bétail sur un nouveau site de 15 hectares entièrement aménagés à la casse d'Adjamé ait été entrepris. « De nombreux acteurs ont accepté de partir et ils sont nombreux à avoir déjà déménagé. Il se trouve qu’un groupe minoritaire de réfractaires a choisi de s’opposer par la violence aux accords obtenus avec la majorité », lit-on dans ledit communiqué.
Le District autonome d’Abidjan explique qu’il a pris cette décision de délocalisation du parc à bétail dans le cadre de la lutte contre le désordre urbain, et dans l’optique d'assurer une plus grande fluidité routière sur la voie menant à Grand-Bassam. Quand on sait que la chaussée est déjà rétrécie en raison des travaux d’aménagement du carrefour Akwaba.
Ces actes sont intervenus, selon la note, alors qu’un processus de délocalisation du parc à bétail sur un nouveau site de 15 hectares entièrement aménagés à la casse d'Adjamé ait été entrepris. « De nombreux acteurs ont accepté de partir et ils sont nombreux à avoir déjà déménagé. Il se trouve qu’un groupe minoritaire de réfractaires a choisi de s’opposer par la violence aux accords obtenus avec la majorité », lit-on dans ledit communiqué.
Le District autonome d’Abidjan explique qu’il a pris cette décision de délocalisation du parc à bétail dans le cadre de la lutte contre le désordre urbain, et dans l’optique d'assurer une plus grande fluidité routière sur la voie menant à Grand-Bassam. Quand on sait que la chaussée est déjà rétrécie en raison des travaux d’aménagement du carrefour Akwaba.