Amélioration des statistiques agricoles et rurales : Un facteur d’atteinte de la sécurité alimentaire dans les différents pays africains
Présidant l’ouverture de la conférence finale de la deuxième phase de la Stratégie mondiale pour l’amélioration des statistiques agricoles et rurales (Gsars-II), le ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture, du Développement rural et des Productions vivrières, Kobenan Kouassi Adjoumani, a affirmé que la mise en œuvre de cette Stratégie contribuera grandement à l’atteinte de la sécurité alimentaire dans les différents pays africains.
C’était le mardi 11 juin 2024 à Abidjan Sofitel hôtel Ivoire.
« La Côte d’Ivoire, pour sa part, a bénéficié d’une batterie d’appuis qui a permis d’améliorer, de façon significative, ses capacités techniques liées à la conception d’outils d’enquête agricole, au calcul d’indicateurs sur l’économie des exploitations agricoles, aux techniques de traitement de données et à la diffusion de statistiques agricoles », a-t-il expliqué.
Cela permettra, selon lui, de générer les statistiques essentielles sur l’agriculture, en particulier sur les productions de cultures vivrières directement impliquées dans l’atteinte de la sécurité alimentaire.
Le représentant-résident de la Fao en Côte d’Ivoire, Attaher Maiga, a souhaité la poursuite du programme, après trois ans de mise en œuvre, en mettant l’accent sur les besoins non encore ou insuffisamment couverts.
La Fao, la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (Cea) et le Partenariat statistique pour le Développement au 21e siècle (Paris21) sont les trois institutions de mise en œuvre de la Gsars II.
« La Côte d’Ivoire, pour sa part, a bénéficié d’une batterie d’appuis qui a permis d’améliorer, de façon significative, ses capacités techniques liées à la conception d’outils d’enquête agricole, au calcul d’indicateurs sur l’économie des exploitations agricoles, aux techniques de traitement de données et à la diffusion de statistiques agricoles », a-t-il expliqué.
Cela permettra, selon lui, de générer les statistiques essentielles sur l’agriculture, en particulier sur les productions de cultures vivrières directement impliquées dans l’atteinte de la sécurité alimentaire.
Le représentant-résident de la Fao en Côte d’Ivoire, Attaher Maiga, a souhaité la poursuite du programme, après trois ans de mise en œuvre, en mettant l’accent sur les besoins non encore ou insuffisamment couverts.
La Fao, la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (Cea) et le Partenariat statistique pour le Développement au 21e siècle (Paris21) sont les trois institutions de mise en œuvre de la Gsars II.