Brigitte Gbadi a dédicacé son premier ouvrage. (Ph: Dr)
Livre : Brigitte Gbadi désigne le boucher à retirer pour booster la cohésion
"Yvette Kouadja ou le bouchon à retirer" est le premier ouvrage d’une série que Brigitte Gbadi, sociologue et experte en développement social et genre, vient de mettre sur le marché.
Le tout nouvel auteur a dédicacé l’ouvrage le 15 juin 2024 au siège de la Conférence épiscopale régionale de l'Afrique de l'ouest (Cerao).
Edité par ''Le lys bleu éditions'', "Yvette Kouadja ou le bouchon à retirer" est un regard sur la société africaine racontée sur fond métaphorique religieux.
C’est l’histoire de deux femmes, plus qu’amies, qui ont décidé de sceller à jamais leur amitié à travers leurs deux enfants, une fille et un garçon, dont elles vont se donner les moyens d’unir les destins pour la vie. Elles y parvinrent. Seulement, Jean-Philippe et Yvette ne sont pas nés aussi naturellement. Lui est venu au monde grâce à des pratiques occultes de sa mère, et sa bien-aimée, Yvette Kouadja, dotée d’une beauté à faire frémir même les plus pieux. Et leur amour va faire les frais de l’origine natale mystique du jeune homme et de la beauté de fée de la jouvencelle.
"Yvette Kouadja ou le bouchon à retirer" est donc le film d’une vie pleine à la fois d’amitié sincère, de vrai-faux amour, d’occultisme, de faits sociaux irrationnels, de jalousie, de relations qui se nouent et se dénouent au gré des intérêts, de vérités cachées à révéler.
Bref, un regard panoramique sur la société ivoirienne, voire africaine, dans une savante construction faite de rebondissements.
« Dans ce livre, nous parlons de l’amitié, de la prière, de tout ce qui est relations vraies, de la beauté de l’Afrique, de la beauté de la femme africaine, des mets africains, des festivités africaines, nous parlons aussi de tout ce qu’il y a comme infidélité, mensonge, le caractère sacré de la parole donnée, et sur la parole donnée avancer avec l’autre. Qui peut être le voisin, le collègue, le conjoint, un ami », a indiqué le désormais écrivain, Brigitte Gbadi. Qui a l’humilité de reconnaître que la trame de son livre n’est pas un fait nouveau.
« Mais c’est ma contribution à amener les jeunes à faire de bons choix de vie, à amener les parents à penser à leurs progénitures avant de s’engager dans des projets, car c’est le modèle qu’ils présentent que leurs enfants copient », a-t-elle conclu.
Yvette Kouadja ou le bouchon à retirer, ce sont 92 pages d’un narratif simple inspiré de faits vécus par l’auteur et qui se laisse lire d’un seul trait.
Firmin NDri Bonfils
Edité par ''Le lys bleu éditions'', "Yvette Kouadja ou le bouchon à retirer" est un regard sur la société africaine racontée sur fond métaphorique religieux.
C’est l’histoire de deux femmes, plus qu’amies, qui ont décidé de sceller à jamais leur amitié à travers leurs deux enfants, une fille et un garçon, dont elles vont se donner les moyens d’unir les destins pour la vie. Elles y parvinrent. Seulement, Jean-Philippe et Yvette ne sont pas nés aussi naturellement. Lui est venu au monde grâce à des pratiques occultes de sa mère, et sa bien-aimée, Yvette Kouadja, dotée d’une beauté à faire frémir même les plus pieux. Et leur amour va faire les frais de l’origine natale mystique du jeune homme et de la beauté de fée de la jouvencelle.
"Yvette Kouadja ou le bouchon à retirer" est donc le film d’une vie pleine à la fois d’amitié sincère, de vrai-faux amour, d’occultisme, de faits sociaux irrationnels, de jalousie, de relations qui se nouent et se dénouent au gré des intérêts, de vérités cachées à révéler.
Bref, un regard panoramique sur la société ivoirienne, voire africaine, dans une savante construction faite de rebondissements.
« Dans ce livre, nous parlons de l’amitié, de la prière, de tout ce qui est relations vraies, de la beauté de l’Afrique, de la beauté de la femme africaine, des mets africains, des festivités africaines, nous parlons aussi de tout ce qu’il y a comme infidélité, mensonge, le caractère sacré de la parole donnée, et sur la parole donnée avancer avec l’autre. Qui peut être le voisin, le collègue, le conjoint, un ami », a indiqué le désormais écrivain, Brigitte Gbadi. Qui a l’humilité de reconnaître que la trame de son livre n’est pas un fait nouveau.
« Mais c’est ma contribution à amener les jeunes à faire de bons choix de vie, à amener les parents à penser à leurs progénitures avant de s’engager dans des projets, car c’est le modèle qu’ils présentent que leurs enfants copient », a-t-elle conclu.
Yvette Kouadja ou le bouchon à retirer, ce sont 92 pages d’un narratif simple inspiré de faits vécus par l’auteur et qui se laisse lire d’un seul trait.
Firmin NDri Bonfils