Santé sexuelle et reproductive : Une consultation nationale organisée en Côte d'Ivoire
Pour améliorer l'accès aux produits de santé de la reproduction afin de parvenir à l'accès universel à la santé sexuelle et reproductive, et à la réalisation des droits et des choix en matière de procréation en Côte d'Ivoire, un dialogue national a été organisé le 19 juin 2024, à Abidjan.
Selon le Professeur Mamadou Samba, directeur général de la santé au ministère de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Couverture maladie universelle, la Côte d’Ivoire a fait de nombreux efforts sur la distribution de médicaments au dernier kilomètre.
Malgré ces efforts, il y a encore des difficultés. Cette présente rencontre vise à identifier les problèmes qui empêchent les populations d’avoir accès aux médicaments de qualité.
Comme difficultés, la représentante résidente des Fonds des nations unies pour la population (Unfpa), Cécile Compaoré Zoungrana, a cité, entre autres, les ruptures de stock de médicaments vitaux à différents niveaux et particulièrement au dernier kilomètre, promptitude et qualité des données utilisées pour la quantification...
Pour elle, des actions concrètes seront trouvées pour renforcer la chaîne d'approvisionnement en vue de la sécurisation des produits jusqu'au dernier kilomètre.
A l'entendre, ce dialogue s’inscrit en droite ligne des engagements renouvelés par le gouvernement de Côte d’Ivoire lors de la 12e Réunion annuelle du partenariat de Ouagadougou. A savoir, accroître la contribution financière du gouvernement de 400 millions FCfa à 2 milliards 500 millions FCfa par an pour l’achat de produits contraceptifs et autres produits vitaux de Santé maternelle ; d’instituer la gratuité de la planification familiale sur toute l’étendue du territoire, notamment pour les adolescents et jeunes dans tous les établissements sanitaires publics et communautaires ; d’instituer des semaines nationales de la Planification familiale.
Concluant, elle a renouvelé l'engagement et la disponibilité de sa structure ainsi que celle du groupe des partenaires de la santé à poursuivre leurs appuis au gouvernement dans ses efforts.
Malgré ces efforts, il y a encore des difficultés. Cette présente rencontre vise à identifier les problèmes qui empêchent les populations d’avoir accès aux médicaments de qualité.
Comme difficultés, la représentante résidente des Fonds des nations unies pour la population (Unfpa), Cécile Compaoré Zoungrana, a cité, entre autres, les ruptures de stock de médicaments vitaux à différents niveaux et particulièrement au dernier kilomètre, promptitude et qualité des données utilisées pour la quantification...
Pour elle, des actions concrètes seront trouvées pour renforcer la chaîne d'approvisionnement en vue de la sécurisation des produits jusqu'au dernier kilomètre.
A l'entendre, ce dialogue s’inscrit en droite ligne des engagements renouvelés par le gouvernement de Côte d’Ivoire lors de la 12e Réunion annuelle du partenariat de Ouagadougou. A savoir, accroître la contribution financière du gouvernement de 400 millions FCfa à 2 milliards 500 millions FCfa par an pour l’achat de produits contraceptifs et autres produits vitaux de Santé maternelle ; d’instituer la gratuité de la planification familiale sur toute l’étendue du territoire, notamment pour les adolescents et jeunes dans tous les établissements sanitaires publics et communautaires ; d’instituer des semaines nationales de la Planification familiale.
Concluant, elle a renouvelé l'engagement et la disponibilité de sa structure ainsi que celle du groupe des partenaires de la santé à poursuivre leurs appuis au gouvernement dans ses efforts.