Sécurité alimentaire : Les acteurs font le point de la phase 2 du programme GSARS II
La Côte d’Ivoire a accueilli récemment, la conférence finale de la deuxième phase de la Stratégie Mondiale pour l’amélioration des Statistiques Agricoles et Rurales (GSARS II). La rencontre s’est tenue au Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire, à Cocody, en présence de différentes personnalités politiques, diplomatiques, des représentants de partenaires au développement et de plusieurs experts du secteur. Au rang desquels, le ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture, du Développement rural et des productions vivrières, Kobenan Kouassi Adjoumani. Initiée par l’Organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l’Agriculture (Fao), cette conférence intervient après trois ans de mise en œuvre de cette stratégie. Elle a permis aux participants de faire le point de la GSARS 2.
A l’occasion, le ministre Kobenan Kouassi Adjoumani s’est réjoui de l’élaboration de cette Stratégie dont la mise en œuvre contribuera à l’atteinte de la sécurité alimentaire dans les pays africains. Il a rappelé que la mise en œuvre de deuxième phase de ce programme mondial a permis aux 27 pays bénéficiaires, de combler le déficit lié à la disponibilité de statistiques régulières et de qualité.
« La Côte d’Ivoire pour sa part, a bénéficié d’une batterie d’appuis qui a permis d’améliorer de façon significative ses capacités techniques liées à la conception d’outils d’enquête agricole, au calcul d’indicateurs sur l’économie des exploitations agricoles, aux techniques de traitement de données et à la diffusion de statistiques agricoles », a-t-il déclaré. Ajoutant que cela permettra de générer les statistiques essentielles sur l’agriculture, en particulier sur les productions de cultures vivrières directement impliquées dans l’atteinte de la sécurité alimentaire.
Pour sa part, Attaher Maiga, Représentant de la Fao en Côte d’Ivoire, a indiqué qu’après trois ans de mise en œuvre, la deuxième phase de la Stratégie mondiale pour l'amélioration des statistiques agricoles et rurales (GSARS II) a, dans le sillon de la première phase, engrangé des acquis indéniables dans le renforcement des capacités de statistiques agricoles et rurales en Afrique. Il a souligné que cette deuxième phase du programme a bénéficié d’un partenariat exemplaire à travers les trois institutions de mise en œuvre que sont l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (Fao), la Commission Économique des Nations Unies pour l’Afrique (Cea) et le Partenariat statistique pour le développement au 21ème siècle (Paris 21). « Les résultats atteints montrent que les 27 pays africains concernés par cette phase ont bénéficié d’appuis techniques dans plusieurs domaines couvrant le processus de planification et de mise en œuvre d’activités statistiques dans le secteur agricole », a-t-il noté.
Il a en outre réaffirmé l’engagement de la Fao à contribuer à mettre en place des systèmes de statistiques agricoles produisant des données de qualité en temps voulu pour soutenir des systèmes agroalimentaires performants.
« La Côte d’Ivoire pour sa part, a bénéficié d’une batterie d’appuis qui a permis d’améliorer de façon significative ses capacités techniques liées à la conception d’outils d’enquête agricole, au calcul d’indicateurs sur l’économie des exploitations agricoles, aux techniques de traitement de données et à la diffusion de statistiques agricoles », a-t-il déclaré. Ajoutant que cela permettra de générer les statistiques essentielles sur l’agriculture, en particulier sur les productions de cultures vivrières directement impliquées dans l’atteinte de la sécurité alimentaire.
Pour sa part, Attaher Maiga, Représentant de la Fao en Côte d’Ivoire, a indiqué qu’après trois ans de mise en œuvre, la deuxième phase de la Stratégie mondiale pour l'amélioration des statistiques agricoles et rurales (GSARS II) a, dans le sillon de la première phase, engrangé des acquis indéniables dans le renforcement des capacités de statistiques agricoles et rurales en Afrique. Il a souligné que cette deuxième phase du programme a bénéficié d’un partenariat exemplaire à travers les trois institutions de mise en œuvre que sont l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (Fao), la Commission Économique des Nations Unies pour l’Afrique (Cea) et le Partenariat statistique pour le développement au 21ème siècle (Paris 21). « Les résultats atteints montrent que les 27 pays africains concernés par cette phase ont bénéficié d’appuis techniques dans plusieurs domaines couvrant le processus de planification et de mise en œuvre d’activités statistiques dans le secteur agricole », a-t-il noté.
Il a en outre réaffirmé l’engagement de la Fao à contribuer à mettre en place des systèmes de statistiques agricoles produisant des données de qualité en temps voulu pour soutenir des systèmes agroalimentaires performants.