Jeux olympiques 2024/Escrime : Le défi d’Esteban Maxine
Depuis qu’elle a acquis sa qualification pour les Jeux olympiques de Paris, elle ne cesse de participer à des camps d’entraînement. Maxine Isabel Esteban (fleuret individuel femmes) n’a surtout pas envie de se louper lors de cette compétition.
« Si vous me demandez si je suis prête pour les Jeux olympiques, je réponds oui. Car pour les sportifs d’élite, nous nous sommes entraînés toute notre vie pour ce moment. C'est le point culminant de tout le travail acharné et des sacrifices que nous avons consentis pour ce sport. Je pense que j’ai toujours été prête pour ça. Mais l’apprentissage et la quête de l’amélioration et de l’excellence ne s’arrêtent jamais. C'est une quête sans fin. Donc, sous cet angle, il y a encore des choses à voir », confie la gauchère spécialiste du fleuret qui avoue que ses chances de remporter une médaille seront un défi.
« Si je termine dans le top 16 sur les 34 tireurs, je serai déjà heureuse. Tout le monde dans le top 16 est champion du monde ou médaillé mondial. Ce sera vraiment difficile, mais je ferai de mon mieux pour rendre le pays fier. Toute ma vie, j’ai attendu ce moment. En 2021, précisément après la pandémie de Covid-19, j'ai émigré en Italie pour pouvoir m'entraîner avec mon coach en Europe », confie la jeune escrimeuse philippino-ivoirienne de 23 ans qui a pu terminer ses études grâce à des cours en ligne.
Esteban Maxine a participé à presque toutes les compétitions de la Fédération internationale d’escrime (Fie), des épreuves de haut niveau pour s’aguerrir davantage.
« Je viens d'un camp à Vienne en Autriche. Ensuite, je suis repartie en Allemagne où je suis désormais basée pour peaufiner les finitions avec mon coach. Nous partons à Paris dimanche prochain pour un autre camp de deux semaines avec l’équipe nationale du Japon », raconte Esteban Maxine qui voue une véritable passion pour la Côte d’Ivoire.
« Ma famille a des liens commerciaux et personnels étroits avec la Côte d'Ivoire. J'ai quelque part en moi une partie de ce pays. J’ai donc décidé qu'il était temps pour moi de partager mon talent au sein de l’équipe ivoirienne afin d’honorer ce pays qui m'a embrassée et soutenue lorsque j'étais blessée », explique-t-elle.
« Si je termine dans le top 16 sur les 34 tireurs, je serai déjà heureuse. Tout le monde dans le top 16 est champion du monde ou médaillé mondial. Ce sera vraiment difficile, mais je ferai de mon mieux pour rendre le pays fier. Toute ma vie, j’ai attendu ce moment. En 2021, précisément après la pandémie de Covid-19, j'ai émigré en Italie pour pouvoir m'entraîner avec mon coach en Europe », confie la jeune escrimeuse philippino-ivoirienne de 23 ans qui a pu terminer ses études grâce à des cours en ligne.
Esteban Maxine a participé à presque toutes les compétitions de la Fédération internationale d’escrime (Fie), des épreuves de haut niveau pour s’aguerrir davantage.
« Je viens d'un camp à Vienne en Autriche. Ensuite, je suis repartie en Allemagne où je suis désormais basée pour peaufiner les finitions avec mon coach. Nous partons à Paris dimanche prochain pour un autre camp de deux semaines avec l’équipe nationale du Japon », raconte Esteban Maxine qui voue une véritable passion pour la Côte d’Ivoire.
« Ma famille a des liens commerciaux et personnels étroits avec la Côte d'Ivoire. J'ai quelque part en moi une partie de ce pays. J’ai donc décidé qu'il était temps pour moi de partager mon talent au sein de l’équipe ivoirienne afin d’honorer ce pays qui m'a embrassée et soutenue lorsque j'étais blessée », explique-t-elle.