Journée du risque industriel 2024 : La gestion et le financement des risques industriels, numériques et environnementaux au centre des débats
L’édition 2024 de la Journée du risque industriel et écologique (Jorisk) s’est tenue le 10 juillet 2024 à la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire.
« Côte d’Ivoire, puissance émergente : méthodes, gestion, et financement des risques industriels, numériques et environnementaux », était le thème qui a réuni plusieurs experts des questions de risques industriels, numériques et environnementaux, à l’occasion de la 2e édition de la Journée du risque industriel et écologique.
Conférences, panels et échanges entre experts ont meublé cette édition 2024 de la Jorisk. A cette occasion, André Jean Granger, Commissaire général de la Jorisk a déclaré qu’ « il s’agit pour nous d’attirer l’attention et la visibilité sur la préservation de nos écosystèmes naturels en liaison avec l’industrialisation, d’établir une synergie entre la transition et le développement durable ».
« Aussi, il s’agit d’élaborer et mettre en place des modèles et systèmes de couverture des risques industriels et environnementaux sans omettre l’intégration du secteur privé notamment la Banque, Finances et Assurances dans la stratégie du développement durable », a ajouté le directeur général du Cabinet Logos, spécialisé en gestion des risques, en particulier industriels et environnementaux.
Les spécialistes des questions liées à la gestion et le financement des risques industriels, numériques et environnementaux, notamment ceux du ministère de l’Environnement, du Développement Durable et de la Transition écologique, de l’Agence nationale de gestion des déchets (Anaged), d’Envipur, de Green Label, des assureurs et bien d’autres ont fait des communications pertinentes sur le thème sus-indiqué.
Après avoir relevé l’importance et l’urgence d’une meilleure gestion des risques industriels, numériques et environnementaux, les panélistes ont appelé à une prise de conscience collective en vue d’adresser ces différentes problématiques. Non sans inviter à recourir à l’innovation et une synergie d’actions des acteurs de l’écosystème de gestion et de financement industriels, numériques et environnementaux.
La communication du ministère de l’Environnement, du développement durable et de la Transition écologique a été faite par Djédji Benjamin Onamoun, Sous-directeur des technologies environnementales, et celle de Green Label, par Tano Kakou Guillaume, son directeur général.
Conférences, panels et échanges entre experts ont meublé cette édition 2024 de la Jorisk. A cette occasion, André Jean Granger, Commissaire général de la Jorisk a déclaré qu’ « il s’agit pour nous d’attirer l’attention et la visibilité sur la préservation de nos écosystèmes naturels en liaison avec l’industrialisation, d’établir une synergie entre la transition et le développement durable ».
« Aussi, il s’agit d’élaborer et mettre en place des modèles et systèmes de couverture des risques industriels et environnementaux sans omettre l’intégration du secteur privé notamment la Banque, Finances et Assurances dans la stratégie du développement durable », a ajouté le directeur général du Cabinet Logos, spécialisé en gestion des risques, en particulier industriels et environnementaux.
Les spécialistes des questions liées à la gestion et le financement des risques industriels, numériques et environnementaux, notamment ceux du ministère de l’Environnement, du Développement Durable et de la Transition écologique, de l’Agence nationale de gestion des déchets (Anaged), d’Envipur, de Green Label, des assureurs et bien d’autres ont fait des communications pertinentes sur le thème sus-indiqué.
Après avoir relevé l’importance et l’urgence d’une meilleure gestion des risques industriels, numériques et environnementaux, les panélistes ont appelé à une prise de conscience collective en vue d’adresser ces différentes problématiques. Non sans inviter à recourir à l’innovation et une synergie d’actions des acteurs de l’écosystème de gestion et de financement industriels, numériques et environnementaux.
La communication du ministère de l’Environnement, du développement durable et de la Transition écologique a été faite par Djédji Benjamin Onamoun, Sous-directeur des technologies environnementales, et celle de Green Label, par Tano Kakou Guillaume, son directeur général.