L'Editorial d'Adama Koné: 60 ans et devoir de reconnaissance

La Première Dame, Dominique Ouattara, célèbre, ce 16 décembre 2024, son anniversaire
La Première Dame, Dominique Ouattara, célèbre, ce 16 décembre 2024, son anniversaire
La Première Dame, Dominique Ouattara, célèbre, ce 16 décembre 2024, son anniversaire

L'Editorial d'Adama Koné: 60 ans et devoir de reconnaissance

Le 16/12/24 à 08:41
modifié 16/12/24 à 09:29
D'un anniversaire à un autre. La Première Dame, Dominique Ouattara, célèbre, ce 16 décembre 2024, son anniversaire, alors qu'elle patronnait, il y a exactement une semaine, les 60 ans de Fraternité Matin. Pour sa part, le Vice-président, Tiémoko Meyliet Koné, le parrain, était, le 9 décembre, dans nos locaux. La reconnaissance est une valeur ancrée dans nos traditions africaines. Lorsque quelqu'un vous a été bienveillant, dès la matinée du lendemain, il est de coutume de lui dire merci pour son action.
Il était visiblement heureux de venir à Fraternité Matin. La spontanéité de son accord pour cette visite en est un signe ; les gestes, une illustration et la parole, la traduction de l’état d’esprit de la deuxième personnalité de la Côte d’Ivoire. On dit que les pieds ne vont pas là où le cœur n’est pas.

Ce lundi 9 décembre 2024, marquant les 60 années de vie de Fraternité Matin, le vice-Président est détendu. Accueilli par une foule et un décor agrémenté de photos historiques, il se veut très proche de ses filleuls. En effet, le parrain tient à rendre hommage à chaque travailleur de la Maison verte. A la salle de rédaction, Tiémoko Meyliet Koné se livre à un exercice inhabituel. Serrer la main de tous les journalistes présents à leur bureau. Distribuant des notes de satisfaction à certains. Rappelant la justesse d’un article écrit à d’autres. Posant un visage sur des signatures. Ou encore encourageant l’équipe au travail bien fait.

Mais c’est dans la salle Félix Houphouët-Boigny que le parrain se fond « dans le peuple ». Premièrement, il refuse de s’adresser à la salle à partir de son siège. Humblement, il demande au protocole de le laisser prendre le micro au même endroit que le Directeur général, Serge Abdel Nouho et le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Amadou Coulibaly. Et là, le vice-Président plie en deux son speech. Il laisse parler son cœur. Très à l’aise, il trouve les mots qui touchent l’assistance. Très bien inspiré, Tiémoko Meyliet Koné valorise 60 années de labeur et de résilience.

Chaque employé, du directeur général au journalier, se sent concerné. L’autre fait marquant de cette proximité avec les travailleurs, c’est lorsqu’à la fin de son adresse, il tient à serrer la main au personnel, en file indienne. Le vice-Président, on peut le dire, a créé quelque chose à Fraternité Matin. Et une semaine après son passage, sa sagesse et la force de son discours résonnent encore dans les esprits, comme le retentissement de la standing ovation qui lui a été réservée. Merci, monsieur le vice-Président. Votre passage à Fraternité Matin est gravé dans le cœur de chacun des employés.

Comme la photo de la Première dame est gravée sur les différents supports de communication des 60 ans du groupe de presse. C’est que Dominique Ouattara est la patronne de cet anniversaire. Elle a accepté de patronner ces festivités avec une simplicité déroutante. C’est au cours d’un gala de sa fondation que le Directeur général de Fraternité Matin obtient tranquillement son accord de principe... sans protocole.

Ce lundi 9 décembre 2024, marquant les 60 années de vie de Fraternité Matin, le vice-Président est détendu. Accueilli par une foule et un décor agrémenté de photos historiques, il se veut très proche de ses filleuls. En effet, le parrain tient à rendre hommage à chaque travailleur de la Maison verte. A la salle de rédaction, Tiémoko Meyliet Koné se livre à un exercice inhabituel. Serrer la main de tous les journalistes présents à leur bureau. Distribuant des notes de satisfaction à certains. Rappelant la justesse d’un article écrit à d’autres. Posant un visage sur des signatures. Ou encore encourageant l’équipe au travail bien fait.



Puis, cette bienveillance est confirmée lors d’une audience. Quelle grandeur d’âme ! Une valeur que nous ne pourrons passer sous silence.

Merci à vous, la patronne, pour avoir donné votre bénédiction de maman aux différentes cérémonies. Mais aussi, heureux anniversaire ! Vous qui soufflez, aujourd’hui, une nouvelle bougie. Que rien ne vous arrive qui ne soit la volonté du Seigneur. Nous associons à ces remerciements, la présidente du Sénat, Kandia Camara, pour ses conseils utiles lors des préparatifs.

On dira que c’est la tutelle. Mais quand cette tutelle montre une forte attention aux préoccupations de ses structures, elle est à remercier. A l’instar du ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Amadou Coulibaly. Des préparatifs au dîner de gala, il est régulièrement aux côtés de Fraternité Matin. Symposium, visite, dîner, audience, Amadou Coulibaly répond présent à tous les rendez-vous, avec la même bienveillance.

Regardant les plus petits détails de l’organisation pour des festivités réussies. La célébration des 60 ans du groupe de presse a aussi été l’occasion de consolider l’intégration par les médias. En effet, le Groupement des éditeurs de presse publique d’Afrique de l’Ouest (Geppao) s’est donné rendez-vous en terre ivoirienne. Autour du président du groupement, Serge Abdel Nouho, Lamine Niang du Sénégal (Le Soleil), Ibrahima Koné de la Guinée (Horoya), Souleymane Tounkara du Mali (L’essor), Bertin Sowakoudé et Paul Codjo Amoussou du Bénin (La Nation) et Kamal El Alami du Maroc (Le Matin, observateur du Geppao), sont venus mener la réflexion sur l’usage de l’Intelligence artificielle dans le journalisme, lors du symposium. Avec eux, nos experts, Samba Koné (Anp), René Bourgoin (Haca), Tiémoman Koné (Uvici) et Jean-Claude Coulibaly (Unjci).

La fête a été belle également par l’intervention financière et matérielle des institutions de la République et des partenaires privés que le devoir de reconnaissance nous oblige à citer. Au sommet et en premier, la Présidence de la République (y compris la vice-Présidence), incarnée par le Chef de l’État, Alassane Ouattara. Qui, nous le savons, a suivi attentivement et discrètement toutes les étapes, pour avoir posé une action très forte en notre faveur pour ces 60 ans. Lui qui, d’ailleurs, avait effectué le déplacement pour les 55 ans de Fraternité Matin. Par la suite, viennent la Primature, le Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec) et la Commission électorale indépendante (Cei). Les structures étatiques comme la Caisse générale de retraite des agents de l’État (Cgrae) et les collectivités locales comme la mairie d’Adjamé font partie de nos bienfaiteurs. Quant au privé, on peut citer les sociétés Sociam, Sococé et Solibra.

En Afrique, même en travaillant dans sa propre plantation, les passants vous disent « N’djamo, djamo » ou bonne continuation, bon courage ! Je ne saurai donc terminer sans dire un grand bravo au personnel de la Société nouvelle de presse et d’édition de Côte d’Ivoire (Snpeci), avec à sa tête le président du Conseil d’administration (Pca), Ibrahima Séga Sangaré. Chacun a su jouer sa partition, jusqu’à la dernière minute... avec les derniers pas de danse. Dieu éclaire Fraternité Matin !



Le 16/12/24 à 08:41
modifié 16/12/24 à 09:29