Le projet dans la filière hévéa de la structure Eni lancé. (DR)
Sécurité et santé au travail : L’OIT lance un projet dans la filière hévéa en Côte d’Ivoire
Soucieuse du bien-être des travailleurs, l'Organisation internationale du travail (OIT) a lancé un projet visant à améliorer la sécurité et la santé au travail (SST) ainsi que l'accès à la protection sociale pour les travailleurs de la filière hévéa en Côte d'Ivoire.
Au cours de la cérémonie de lancement qui s’est tenue, le 13 décembre 2024 à Abidjan, il a été indiqué que ledit projet financé par Eni S.p.A s'inscrit dans le cadre des efforts de l'OIT pour promouvoir le travail décent.
S’étendant d'octobre 2024 à septembre 2026, il vise trois objectifs principaux. Notamment, l’élaborer des stratégies d’intervention pour améliorer la SST et l’accès à la protection sociale en matière de santé ; le renforcer les capacités des acteurs de la filière pour améliorer les pratiques en matière de SST et de promotion de la santé ; et la mobiliser les acteurs pour étendre la couverture de protection sociale aux travailleurs et leurs familles.
En clair, il améliorera les conditions de travail des agriculteurs et travailleurs de la filière hévéa, notamment ceux impliqués dans la récolte, la collecte et le transport des graines d’hévéa. Le projet interviendra dans les districts des Lagunes, Bas-Sassandra, Montagnes, Comoé, Sassandra-Marahoué, Goh-Djiboua et Lacs, et ciblera également les représentants des organisations d’employeurs et de travailleurs.
Pour la Directrice générale du Travail au ministère de l’Emploi et de la protection sociale, Fanta Coulibaly, ce projet répond à une double exigence. À savoir : protéger le capital humain, moteur de l’économie ivoirienne, tout en améliorant la fiabilité de la chaîne de valeur de l’hévéa.
À l’écouter, le rôle de sa structure sera d’orienter et de coordonner le déploiement des activités, mais aussi de veiller à ce que les recommandations soient réalistes, applicables et efficaces. « Ensemble, nous contribuerons à bâtir une filière hévéicole plus équitable et plus résiliente au bénéfice des travailleurs et de l’ensemble des sociétés ivoiriennes », a-t-elle souhaité.
Il faut noter qu'Eni S.p.A, cette entreprise énergétique italienne travaille avec le gouvernement ivoirien sur des activités de développement des cultures oléagineuses destinées à la bioraffinerie.
Ce projet prévoit l'utilisation des résidus des plantations d'hévéas dans une nouvelle chaîne de valeur, intégrant la récolte, le séchage et le stockage des graines.
S’étendant d'octobre 2024 à septembre 2026, il vise trois objectifs principaux. Notamment, l’élaborer des stratégies d’intervention pour améliorer la SST et l’accès à la protection sociale en matière de santé ; le renforcer les capacités des acteurs de la filière pour améliorer les pratiques en matière de SST et de promotion de la santé ; et la mobiliser les acteurs pour étendre la couverture de protection sociale aux travailleurs et leurs familles.
En clair, il améliorera les conditions de travail des agriculteurs et travailleurs de la filière hévéa, notamment ceux impliqués dans la récolte, la collecte et le transport des graines d’hévéa. Le projet interviendra dans les districts des Lagunes, Bas-Sassandra, Montagnes, Comoé, Sassandra-Marahoué, Goh-Djiboua et Lacs, et ciblera également les représentants des organisations d’employeurs et de travailleurs.
Pour la Directrice générale du Travail au ministère de l’Emploi et de la protection sociale, Fanta Coulibaly, ce projet répond à une double exigence. À savoir : protéger le capital humain, moteur de l’économie ivoirienne, tout en améliorant la fiabilité de la chaîne de valeur de l’hévéa.
À l’écouter, le rôle de sa structure sera d’orienter et de coordonner le déploiement des activités, mais aussi de veiller à ce que les recommandations soient réalistes, applicables et efficaces. « Ensemble, nous contribuerons à bâtir une filière hévéicole plus équitable et plus résiliente au bénéfice des travailleurs et de l’ensemble des sociétés ivoiriennes », a-t-elle souhaité.
Il faut noter qu'Eni S.p.A, cette entreprise énergétique italienne travaille avec le gouvernement ivoirien sur des activités de développement des cultures oléagineuses destinées à la bioraffinerie.
Ce projet prévoit l'utilisation des résidus des plantations d'hévéas dans une nouvelle chaîne de valeur, intégrant la récolte, le séchage et le stockage des graines.