Le projet Aval a pour ambition d’accompagner les acteurs du secteur vivrier dans l’amélioration de leurs performances techniques et économiques en lien avec l’agro-écologie. (Ph: Dr)
Le projet Aval a pour ambition d’accompagner les acteurs du secteur vivrier dans l’amélioration de leurs performances techniques et économiques en lien avec l’agro-écologie. (Ph: Dr)
Projet Aval "Agriculture vivrière Abidjan lagunes": L’UE renforce la durabilité du système alimentaire en Côte d’Ivoire
Le projet a été lancé le mercredi 18 décembre 2024 à Cocody.
Dans le cadre de son engagement en faveur du développement durable en Côte d’Ivoire, l’Union européenne, à travers le Fonds européen de féveloppement (Fed), a alloué un financement de 10 millions d’euros, soit 6,5 milliards de F Cfa.
Cet appui vise à soutenir la résilience et la durabilité du système alimentaire ivoirien et à consolider les résultats du Programme d’appui au secteur vivrier (Pasv-CI).
Le mercredi 18 décembre 2024, un événement de présentation du projet Aval s’est tenu à l’Hôtel les Vallons, commune de Cocody à Abidjan. C'était sous la présidence de Bamba Semon, Ordonnateur national suppléant du Fed, Coordonnateur national de la cellule de coordination de la coopération Côte d’Ivoire-Union européenne en présence de S.E.M. Francesca Di Mauro, ambassadeur et chef de délégation de l’Union européenne.
Cette rencontre a marqué le lancement officiel des activités du projet et a été l’occasion d’échanger sur les enjeux stratégiques et l’impact attendu.
S.E.M. Francesca Di Mauro, s’est dit très heureuse de lancer ce projet qui va durer trois ans en vue de renforcer la sécurité alimentaire, la production locale et de manière durable. « C’est tout à fait dans nos cordes d’appuyer les pays partenaires dans leur propre développement durable. Nous voulons appuyer la Côte d’Ivoire dans le développement de ce secteur. Il y a également l’attiéké qui est inscrit au patrimoine de l’Unesco », a-t-elle soutenu.
Bamba Semon, coordonnateur national suppléant du Fed, coordonnateur national de la Cellule de coordination de la coopération Côte d’Ivoire-Union européenne, a dit sa joie de ce financement : « Nous veillerons à ce que les acquis de ce programme puissent être pérennisés à travers ce projet qui vient d’être lancé ».
Diabagaté Amadou, représentant le ministère d’Etat, ministère de l’Agriculture, du Développement rural et des Productions vivrières, a dit que ce projet vient renforcer le portefeuille de projets dans le cadre de mobilisation des fonds pour le plan national d’investissement agricole, 2e génération. « Il y aura une forte implication des parties prenantes publiques dans l’accompagnement de ce projet ».
Le consortium composé des organisations Agrisud international, agronomes et vétérinaires sans frontières (Avsf) et People power inclusion (Ppi) a été sélectionné pour mettre en œuvre le projet « Aval (Agriculture vivrière Abidjan lagunes).
Ce projet, financé par l’Union européenne à la suite d’un appel à projets (EuropeAid/175464/DD/ACT/), s’étalera sur trois ans (2024-2026) et couvrira 30 villages répartis entre le District autonome d’Abidjan et le District des Lagunes.
En effet, le projet Aval a pour ambition d’accompagner les acteurs du secteur vivrier dans l’amélioration de leurs performances techniques et économiques en lien avec l’agro-écologie, tout en renforçant les circuits courts et l’accès aux financements adaptés.
L’action du projet cible : 1 000 exploitations agricoles familiales ; 15 organisations professionnelles ; 200 unités artisanales de production d’attiéké entièrement gérées par des femmes ; 10 unités semi-industrielles de production d’attiéké impliquant 250 femmes au total.
Le mercredi 18 décembre 2024, un événement de présentation du projet Aval s’est tenu à l’Hôtel les Vallons, commune de Cocody à Abidjan. C'était sous la présidence de Bamba Semon, Ordonnateur national suppléant du Fed, Coordonnateur national de la cellule de coordination de la coopération Côte d’Ivoire-Union européenne en présence de S.E.M. Francesca Di Mauro, ambassadeur et chef de délégation de l’Union européenne.
Cette rencontre a marqué le lancement officiel des activités du projet et a été l’occasion d’échanger sur les enjeux stratégiques et l’impact attendu.
S.E.M. Francesca Di Mauro, s’est dit très heureuse de lancer ce projet qui va durer trois ans en vue de renforcer la sécurité alimentaire, la production locale et de manière durable. « C’est tout à fait dans nos cordes d’appuyer les pays partenaires dans leur propre développement durable. Nous voulons appuyer la Côte d’Ivoire dans le développement de ce secteur. Il y a également l’attiéké qui est inscrit au patrimoine de l’Unesco », a-t-elle soutenu.
Bamba Semon, coordonnateur national suppléant du Fed, coordonnateur national de la Cellule de coordination de la coopération Côte d’Ivoire-Union européenne, a dit sa joie de ce financement : « Nous veillerons à ce que les acquis de ce programme puissent être pérennisés à travers ce projet qui vient d’être lancé ».
Diabagaté Amadou, représentant le ministère d’Etat, ministère de l’Agriculture, du Développement rural et des Productions vivrières, a dit que ce projet vient renforcer le portefeuille de projets dans le cadre de mobilisation des fonds pour le plan national d’investissement agricole, 2e génération. « Il y aura une forte implication des parties prenantes publiques dans l’accompagnement de ce projet ».
Le consortium composé des organisations Agrisud international, agronomes et vétérinaires sans frontières (Avsf) et People power inclusion (Ppi) a été sélectionné pour mettre en œuvre le projet « Aval (Agriculture vivrière Abidjan lagunes).
Ce projet, financé par l’Union européenne à la suite d’un appel à projets (EuropeAid/175464/DD/ACT/), s’étalera sur trois ans (2024-2026) et couvrira 30 villages répartis entre le District autonome d’Abidjan et le District des Lagunes.
En effet, le projet Aval a pour ambition d’accompagner les acteurs du secteur vivrier dans l’amélioration de leurs performances techniques et économiques en lien avec l’agro-écologie, tout en renforçant les circuits courts et l’accès aux financements adaptés.
L’action du projet cible : 1 000 exploitations agricoles familiales ; 15 organisations professionnelles ; 200 unités artisanales de production d’attiéké entièrement gérées par des femmes ; 10 unités semi-industrielles de production d’attiéké impliquant 250 femmes au total.