Filière bétail-viande : Les opportunités présentées à des étudiants lors d’un colloque à Bingerville
Un colloque organisé par la Confédération des acteurs de la filière bétail-viande et lait en Côte d’Ivoire (Cafibel-Ci) en collaboration avec son partenaire Cêwa Mag de la Fondation African Women Initiatives (Awi) a mis en lumière les métiers de l’élevage et de la viande. L’évènement s’est tenu au sein de l’Ecole de spécialisation en élevage et métiers de la viande de Bingerville (Esemv-B), le mardi 17 décembre 2024.
Le colloque a réuni des experts, des formateurs, des professionnels du secteur, des femmes entrepreneures et des étudiants. Il s'est articulé autour de deux panels.
Le premier panel a abordé la sous-thématique : « Présentation des métiers de l’élevage et des métiers, et stratégie de vulgarisation du répertoire de ces métiers ». M. Dagnogo Ibrahima, conseiller technique au ministère des Ressources animales et halieutiques (Mirah), a présenté un répertoire de 119 métiers liés à la filière, dont certains sont encore inexploités : Ce sont les métiers d’achatiniculteur, d’accouveur, d’apiculteur, les métiers de biologiste, de courtier en bétail, de revendeur de fiente, de raniculteur, de porciculteur, d’éleveur, de généticien en aquaculture, d’inséminateur, etc.
En ce qui concerne le financement des projets, il a conseillé aux étudiants de se constituer en coopérative ou d’adhérer à une coopérative pour augmenter leurs chances de bénéficier de fonds.
Fatoumata Koné, de la direction de l’Aquaculture du Mirah, a confirmé que ces métiers sont régis par le décret n° 2022-548 du 13 juillet 2022, qui fixe les conditions d'exercice des métiers liés aux ressources animales et halieutiques. Elle a encouragé les étudiants à se familiariser avec ce décret.
Paul Kokora, assistant du correspondant national (CN) du programme agroécologie (Pae) de la Cedeao en Côte d’Ivoire, a insisté sur l’importance de l’agroécologie appliquée à l’élevage pour promouvoir des pratiques agricoles durables, résilientes et respectueuses de la biodiversité.
Le Général Soumahoro Gaoussou, président du conseil d'administration de la Cafibel-CI a relevé la nécessité de sensibiliser les jeunes aux métiers de la viande pour leur insertion professionnelle. Il a souhaité tout de même que les pouvoirs publics et les partenaires au développement mettent un accent particulier sur la formation, afin de permettre d’atteindre les objectifs assignés.
Selon les chiffres du ministère, l’élevage reste encore une activité économique en développement qui participe à environ 4,5% au PIB du secteur agricole et 2% au PIB total du pays.
Le premier panel a abordé la sous-thématique : « Présentation des métiers de l’élevage et des métiers, et stratégie de vulgarisation du répertoire de ces métiers ». M. Dagnogo Ibrahima, conseiller technique au ministère des Ressources animales et halieutiques (Mirah), a présenté un répertoire de 119 métiers liés à la filière, dont certains sont encore inexploités : Ce sont les métiers d’achatiniculteur, d’accouveur, d’apiculteur, les métiers de biologiste, de courtier en bétail, de revendeur de fiente, de raniculteur, de porciculteur, d’éleveur, de généticien en aquaculture, d’inséminateur, etc.
En ce qui concerne le financement des projets, il a conseillé aux étudiants de se constituer en coopérative ou d’adhérer à une coopérative pour augmenter leurs chances de bénéficier de fonds.
Fatoumata Koné, de la direction de l’Aquaculture du Mirah, a confirmé que ces métiers sont régis par le décret n° 2022-548 du 13 juillet 2022, qui fixe les conditions d'exercice des métiers liés aux ressources animales et halieutiques. Elle a encouragé les étudiants à se familiariser avec ce décret.
Paul Kokora, assistant du correspondant national (CN) du programme agroécologie (Pae) de la Cedeao en Côte d’Ivoire, a insisté sur l’importance de l’agroécologie appliquée à l’élevage pour promouvoir des pratiques agricoles durables, résilientes et respectueuses de la biodiversité.
Le Général Soumahoro Gaoussou, président du conseil d'administration de la Cafibel-CI a relevé la nécessité de sensibiliser les jeunes aux métiers de la viande pour leur insertion professionnelle. Il a souhaité tout de même que les pouvoirs publics et les partenaires au développement mettent un accent particulier sur la formation, afin de permettre d’atteindre les objectifs assignés.
Selon les chiffres du ministère, l’élevage reste encore une activité économique en développement qui participe à environ 4,5% au PIB du secteur agricole et 2% au PIB total du pays.