Me Sylvère Koyo veut la tête de la Fédération ivoirienne de tennis. (Ph: Dr)
Fédération ivoirienne de tennis : Me Koyo, candidat unique à la succession de Me N’Goan
La Fédération ivoirienne de tennis (Fit) se réunira en assemblée générale élective, ce samedi, à Treichville. C’est un secret de polichinelle, l’avocat Georges Joseph N’Goan, en poste depuis le 15 avril 2003, n’est pas candidat. Sauf revirement, un autre avocat, Me Sylvère Koyo, devrait prendre sa succession.
Dans le monde du tennis en Côte d’Ivoire, Sylvère Koyo est « l’homme qu’il faut à la place qu’il faut ». Passionné de tennis, il a été de toutes les réformes de la petite balle jaune. Deuxième vice-président de la fédération chargé du sponsoring depuis l’avènement de Me N’Goan, Me Koyo est imprégné de tous les dossiers.
« C’est le candidat du bureau sortant. Son avènement s’inscrit dans la continuité du plan de relance du tennis ivoirien », estime Giscard Kouassi, membre du comité directeur, qui se réjouit du choix du bureau porté sur l’ancien patron des tennis club Las Palmas et du Vallon (club house).
Sylvère Koyo a été l’un des principaux soutiens du président Georges N’Goan durant ses différents mandats. Il totalise plus de 35 ans de présence dans le milieu et son dévouement au tennis et à la fédération est toujours sans pareil. C’est pourquoi au soir des play-offs du groupe mondial 2 de la Coupe Davis, les 4 et 5 février 2023, à l’Ivoire, Me N’Goan l’a vivement félicité.
En moins de deux semaines, Koyo a réussi à mobiliser des partenaires pour que l’événement puisse se dérouler dans un environnement de fête. « Il arrive dans un contexte où le plan déployé depuis 2003 est arrivé à une étape cruciale. Un moment où il est question de remobiliser le maximum d’annonceurs autour du tennis pour boucler la boucle », confie Giscard Kouassi. En effet, le plan de relance porté par Me N’Goan a porté des fruits.
Eliakim Coulibaly, Francky Martial Hoimian, Aziz Bationo, Kouamé Myko et autres Moye Koffi Nadal sont arrivés à maturité. Désormais, sur le circuit international, ils ont besoin de beaucoup de moyens, pour participer à plus de tournois internationaux pour glaner des points Atp et progresser. Et qui mieux que Sylvère Koyo pour mobiliser les partenaires. Il a fait ses preuves.
« C’est le candidat du bureau sortant. Son avènement s’inscrit dans la continuité du plan de relance du tennis ivoirien », estime Giscard Kouassi, membre du comité directeur, qui se réjouit du choix du bureau porté sur l’ancien patron des tennis club Las Palmas et du Vallon (club house).
Sylvère Koyo a été l’un des principaux soutiens du président Georges N’Goan durant ses différents mandats. Il totalise plus de 35 ans de présence dans le milieu et son dévouement au tennis et à la fédération est toujours sans pareil. C’est pourquoi au soir des play-offs du groupe mondial 2 de la Coupe Davis, les 4 et 5 février 2023, à l’Ivoire, Me N’Goan l’a vivement félicité.
En moins de deux semaines, Koyo a réussi à mobiliser des partenaires pour que l’événement puisse se dérouler dans un environnement de fête. « Il arrive dans un contexte où le plan déployé depuis 2003 est arrivé à une étape cruciale. Un moment où il est question de remobiliser le maximum d’annonceurs autour du tennis pour boucler la boucle », confie Giscard Kouassi. En effet, le plan de relance porté par Me N’Goan a porté des fruits.
Eliakim Coulibaly, Francky Martial Hoimian, Aziz Bationo, Kouamé Myko et autres Moye Koffi Nadal sont arrivés à maturité. Désormais, sur le circuit international, ils ont besoin de beaucoup de moyens, pour participer à plus de tournois internationaux pour glaner des points Atp et progresser. Et qui mieux que Sylvère Koyo pour mobiliser les partenaires. Il a fait ses preuves.