
Un pilote est assis au sommet d'un avion de combat français, alors que la France entame le retrait de son armée du Tchad avec le départ de deux avions de combat, à Ndjamena, le 10 décembre 2024. © Stringer / Reuters
Un pilote est assis au sommet d'un avion de combat français, alors que la France entame le retrait de son armée du Tchad avec le départ de deux avions de combat, à Ndjamena, le 10 décembre 2024. © Stringer / Reuters
Le Tchad demande un départ des forces françaises d’ici le 31 janvier 2025, des négociations en cours
« Sept semaines seulement pour désengager mille soldats et beaucoup de matériel, cela relève de l’impossible » indiquent des militaires français de haut-rang, pour qui cette injonction n’est qu’un « coup de pression de la frange dure du premier cercle du pouvoir tchadien ».
« La négociation est toujours en cours », assurent les militaires français, les discussions sont « techniques, mais se passent bien », précisent-ils. Son de cloche identique à N’Djamena où l’on insiste sur la qualité du partenariat. « La situation n’a rien à voir avec les pays de l’AES », souligne une source proche des autorités tchadiennes, ajoutant qu’un premier calendrier de retrait s’étalant jusqu’en mars a été refusé, car jugé trop long.
Lire la suite : https://www.rfi.fr/fr/afrique/20241219-le-tchad-demande-un-d%C3%A9part-des-forces-fran%C3%A7aises-d-ici-le-31-janvier-2025-des-n%C3%A9gociations-en-cours
« La négociation est toujours en cours », assurent les militaires français, les discussions sont « techniques, mais se passent bien », précisent-ils. Son de cloche identique à N’Djamena où l’on insiste sur la qualité du partenariat. « La situation n’a rien à voir avec les pays de l’AES », souligne une source proche des autorités tchadiennes, ajoutant qu’un premier calendrier de retrait s’étalant jusqu’en mars a été refusé, car jugé trop long.
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