Lutte contre l’incivisme sur les routes : 1698 permis de conduire sanctionnés de 2018 à 2024
De décembre 2018 à novembre 2024, la Commission de suspension et de retrait de permis de conduire a traité 2169 dossiers en 67 sessions.
Au terme de ces travaux, 1698 Permis de conduire ont été sanctionnés de manière ferme, 353 avec sursis et 116 restitués. Ces informations ont été données, par le Directeur général des transports terrestres et de la circulation (Dgttc) du ministère des Transports, Oumar Sacko.
Il a dressé, hier, aux Vallons, le bilan de 2024 des travaux effectués par ladite Commission depuis sa réactivation en 2018 en présence du ministre des Transports Amadou Koné.
« Avant la session de décembre 2024, qui représentait la 68è session, ce sont au total 333 dossiers qui ont été traités en 9 sessions, avec 288 permis sanctionnés de manière ferme pour une période allant de 3 à 15 mois ; 37 permis ont été suspendus avec sursis pour une période allant de 3 à 6 mois », a-t-il détaillé.
Tout en félicitant les membres de la Commission pour le travail abattu, le ministre Amadou Koné, a déploré que les accidents de la circulation continuent de causer des pertes en vies humaines et des souffrances indicibles dans le pays.
Le représentant du gouvernement a lancé un appel aux forces de l’ordre pour qu’ils intensifient les contrôles suivis de sanctions à l’endroit des livreurs qui n’ont pas parfois de Permis de conduire et toutes les entreprises qui les emploient.
« 17% des accidents impliquent les engins à deux roues et sont à la base de nombreuses pertes en vies humaines. A chaque fois qu’un accident mortel sera causé sur nos routes concernant les livreurs, les responsables de ces agents seront fermement sanctionnés », a-t-il prévénu.
Amadou Koné a ajouté que la lutte contre l’incivisme sur les routes préoccupe le gouvernement qui a pris des initiatives pour l’endiguer ; notamment, la réactivation de la Commission spéciale de suspension et de retrait du permis de conduire, un organe de veille du comportement des usagers sur la route, ainsi que l’adoption en 2021, de la Stratégie nationale de sécurité routière articulée autour de mesures concrètes et ambitieuses.
« Ces initiatives s’inscrivent dans une vision ambitieuse : celle de réduire de 50 % le nombre de tués sur nos routes d’ici 2030. Nous progressons allègrement vers cet objectif, mais cela demande encore des efforts de tous », a-t-il reconnu.
D’où son appel pressant aux transporteurs et conducteurs professionnels, aux forces de l’ordre pour qu’ils appliquent scrupuleusement les règles de sécurité routière. « Avec l’application des règles et une prise de conscience collective, nous inverserons la tendance », espère le ministre des Transports, Amadou Koné.
Tout en rassurant qu’en 2025, il entend faire intensifier les contrôles sur les axes routiers ; dans le cadre de la lutte contre l’incivisme routier.
Il a dressé, hier, aux Vallons, le bilan de 2024 des travaux effectués par ladite Commission depuis sa réactivation en 2018 en présence du ministre des Transports Amadou Koné.
« Avant la session de décembre 2024, qui représentait la 68è session, ce sont au total 333 dossiers qui ont été traités en 9 sessions, avec 288 permis sanctionnés de manière ferme pour une période allant de 3 à 15 mois ; 37 permis ont été suspendus avec sursis pour une période allant de 3 à 6 mois », a-t-il détaillé.
Tout en félicitant les membres de la Commission pour le travail abattu, le ministre Amadou Koné, a déploré que les accidents de la circulation continuent de causer des pertes en vies humaines et des souffrances indicibles dans le pays.
Le représentant du gouvernement a lancé un appel aux forces de l’ordre pour qu’ils intensifient les contrôles suivis de sanctions à l’endroit des livreurs qui n’ont pas parfois de Permis de conduire et toutes les entreprises qui les emploient.
« 17% des accidents impliquent les engins à deux roues et sont à la base de nombreuses pertes en vies humaines. A chaque fois qu’un accident mortel sera causé sur nos routes concernant les livreurs, les responsables de ces agents seront fermement sanctionnés », a-t-il prévénu.
Amadou Koné a ajouté que la lutte contre l’incivisme sur les routes préoccupe le gouvernement qui a pris des initiatives pour l’endiguer ; notamment, la réactivation de la Commission spéciale de suspension et de retrait du permis de conduire, un organe de veille du comportement des usagers sur la route, ainsi que l’adoption en 2021, de la Stratégie nationale de sécurité routière articulée autour de mesures concrètes et ambitieuses.
« Ces initiatives s’inscrivent dans une vision ambitieuse : celle de réduire de 50 % le nombre de tués sur nos routes d’ici 2030. Nous progressons allègrement vers cet objectif, mais cela demande encore des efforts de tous », a-t-il reconnu.
D’où son appel pressant aux transporteurs et conducteurs professionnels, aux forces de l’ordre pour qu’ils appliquent scrupuleusement les règles de sécurité routière. « Avec l’application des règles et une prise de conscience collective, nous inverserons la tendance », espère le ministre des Transports, Amadou Koné.
Tout en rassurant qu’en 2025, il entend faire intensifier les contrôles sur les axes routiers ; dans le cadre de la lutte contre l’incivisme routier.