Me Sylvère Koyo, président de la Fédération ivoirienne de tennis: "Œuvrer pour porter nos athlètes dans le Top mondial"
Sous quel signe placez-vous votre premier mandat ?
Nous le plaçons sous le signe de la continuité. Nous avions mis en œuvre depuis 23 ans un programme qui tournait autour de la relance du tennis ivoirien. Avant mon élection, nous avons élaboré ce qu’on a appelé le plan stratégique quinquennal 2025-2030, sur cinq axes et je pense que ce plan qui est l’œuvre de tous (membres du bureau exécutif, clubs et techniciens) sera celui autour duquel va se bâtir les activités pour les quatre prochaines années.
Quels sont les 5 axes de votre programme ?
D’abord nous devons faire en sorte que la fédération dispose d’infrastructures sportives propres à elle pour faciliter la promotion de la discipline. C’est primordial et cette question revient régulièrement sur la table lors des rencontres avec la Confédération africaine et la fédération internationale. Nous sommes en négociation avec l’État de Côte d’Ivoire pour reprendre les courts de l’hôtel ivoire. Ces courts étaient considérés comme le stade Houphouët-Boigny du tennis ivoirien. Nous y avons fait de gros investissements et aujourd’hui, sa gestion a été confiée à un particulier. Il nous faut ces infrastructures, parce que dans notre plan stratégique, il est prévu la construction d’une académie de tennis. Ensuite, le deuxième axe porte sur les athlètes. Il faut trouver des partenaires pour accompagner nos champions, leur permettre d’être plus visibles à l’international. Il s’agit de porter des athlètes comme Eliakim Coulibaly, Francky Hoimian et autres Nadal Koffi dans le top mondial. C’est de cette façon que la Côte d’Ivoire pourra avoir de véritables champions. En troisième position, on a la formation des encadreurs. Parce que pour avoir des athlètes de qualité, il faut des formateurs bien formés.
Cela demande beaucoup de moyens... ?
Justement, c’est le quatrième axe de notre plan. La recherche de sponsors et autres. Je n’ai pas attendu d’être président pour engager des discussions avec des annonceurs dans ce sens. Ce sont des amis qui pourraient être de futurs partenaires du tennis. Beaucoup nous ont fait la promesse de nous aider. Ils sont prêts à nous épauler surtout au niveau de notre élite nationale composée de garçons comme Eliakim Couibaly, Francky Hoimain et Nadal Koffi. Bientôt nous allons organiser une grande cérémonie avec ces futurs partenaires et sûrement qu’au cours de cette rencontre nous allons procéder à la signature de convention. Et puis en cinquième position, les relations stratégiques à développer.
Qu'en est-il des écoles fédérales ?
Ce sont les piliers de notre programme. Nous allons continuer de nous appuyer sur ces écoles fédérales pour rendre la pratique du tennis davantage accessible à tous les jeunes du pays. Nous sommes en discussion avec des complexes hôteliers de la place afin que leurs infrastructures servent d’écoles fédérales. Bientôt nous y reviendrons dans les détails.
Entretien réalisé par
Quels sont les 5 axes de votre programme ?
D’abord nous devons faire en sorte que la fédération dispose d’infrastructures sportives propres à elle pour faciliter la promotion de la discipline. C’est primordial et cette question revient régulièrement sur la table lors des rencontres avec la Confédération africaine et la fédération internationale. Nous sommes en négociation avec l’État de Côte d’Ivoire pour reprendre les courts de l’hôtel ivoire. Ces courts étaient considérés comme le stade Houphouët-Boigny du tennis ivoirien. Nous y avons fait de gros investissements et aujourd’hui, sa gestion a été confiée à un particulier. Il nous faut ces infrastructures, parce que dans notre plan stratégique, il est prévu la construction d’une académie de tennis. Ensuite, le deuxième axe porte sur les athlètes. Il faut trouver des partenaires pour accompagner nos champions, leur permettre d’être plus visibles à l’international. Il s’agit de porter des athlètes comme Eliakim Coulibaly, Francky Hoimian et autres Nadal Koffi dans le top mondial. C’est de cette façon que la Côte d’Ivoire pourra avoir de véritables champions. En troisième position, on a la formation des encadreurs. Parce que pour avoir des athlètes de qualité, il faut des formateurs bien formés.
Cela demande beaucoup de moyens... ?
Justement, c’est le quatrième axe de notre plan. La recherche de sponsors et autres. Je n’ai pas attendu d’être président pour engager des discussions avec des annonceurs dans ce sens. Ce sont des amis qui pourraient être de futurs partenaires du tennis. Beaucoup nous ont fait la promesse de nous aider. Ils sont prêts à nous épauler surtout au niveau de notre élite nationale composée de garçons comme Eliakim Couibaly, Francky Hoimain et Nadal Koffi. Bientôt nous allons organiser une grande cérémonie avec ces futurs partenaires et sûrement qu’au cours de cette rencontre nous allons procéder à la signature de convention. Et puis en cinquième position, les relations stratégiques à développer.
Qu'en est-il des écoles fédérales ?
Ce sont les piliers de notre programme. Nous allons continuer de nous appuyer sur ces écoles fédérales pour rendre la pratique du tennis davantage accessible à tous les jeunes du pays. Nous sommes en discussion avec des complexes hôteliers de la place afin que leurs infrastructures servent d’écoles fédérales. Bientôt nous y reviendrons dans les détails.
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