Centre régional d’excellence : 30 auditeurs reçoivent leurs diplômes de Master
Trente (30) auditeurs de la troisième et dernière cohorte du Centre régional d’excellence de pédagogie appliquée aux sciences de la santé, logé au sein de l’Institut national de la formation des agents de santé (Infas), ont reçu le 27 décembre 2024, leur Master qui sanctionne la fin de leur formation après deux années.
Ces 30 auditeurs sont du Bénin, du Cameroun, de la Côte d’Ivoire, de la Guinée, du Mali et de la Mauritanie. Ce programme de formation a été financé par la Banque mondiale à travers le Projet d’autonomisation des femmes et le dividende démographique (Swedd).
La directrice générale de l’Infas, Professeur Méliane N’Dhatz Ebagnitchié Sanogo, marraine de la promotion, s’est félicitée du succès de ce programme, car il y a eu trois cohortes qui ont été formées grâce au projet Swedd. Pour elle, cela permet la formation des formateurs qui iront à leur tour former les autres dans les écoles et sur le terrain des stages.
« C’est pour qu’à terme, il y ait des soins de qualité, humanisés qui soient prodigués à la population », dit-elle. Tout en soulignant que cette formation va améliorer l’enseignement tant dans la pratique que dans la théorie dans les centres de formation des agents de santé.
C’est pourquoi, elle invite les auditeurs à l’excellence dans l’exercice de leurs fonctions en continuant de partager leurs expériences. « Il est important que les formateurs soient formés sur les Tic et que les services où les étudiants pratiquent les stages soient équipés », a souhaité la directrice générale de l’Infas.
La représentante du projet Swedd, Mme Ba, a rappelé que ce projet a démarré en 2015 et était au départ un projet régional avec sept pays impliqués et aujourd’hui regorge d'environ douze pays.
Selon elle, trois centres ont été sélectionnés : la Côte d’Ivoire, le Mali et le Niger. « En Côte d’Ivoire, l’appui du Swedd a permis de former 109 auditeurs tous pays confondus en pédagogie et en science de la santé à l’Infas pour les trois cohortes. Ce nombre est le même pratiquement pour les autres centres d’excellence dans lesquels les Ivoiriens ont été envoyés tout comme nous avons reçu d’autres pays », a dit la représentante du projet Swedd.
A l’en croire, ce projet prend fin le 31 décembre 2024, pour tous les pays du projet Swedd. Et il ne va plus s’appeler projet Swedd mais projet Swedd plus. « Les différents pays doivent élaborer des plans d’action qu’ils doivent soumettre au projet où ils seront financés par la Banque mondiale. Les premiers pays qui ont reçu l’approbation de la Banque mondiale pour le Swedd plus ont lancé leurs activités à Abuja, au Nigéria, en décembre 2024. En ce qui concerne la Côte d’Ivoire, la soumission à la Banque mondiale est en cours », dit-elle.
Au nom des auditeurs, Mme Lohi Ouffoué Feth a remercié les encadreurs et les enseignants pour leur soutien. « Nous repartons avec de nouvelles compétences et une vision collective pour relever les défis de nos systèmes de santé », dit-elle. Car au cours de ces deux années, ils ont appris à être de meilleurs éducateurs mais surtout à devenir des agents de changement dans les institutions.
« Alors que nous célébrons nos acquis, nous souhaitons également envisager de nouvelles possibilités pour l'avenir. C’est pourquoi, il serait hautement bénéfique que le projet Swedd, dont l’impact sur notre formation est indéniable, puisse non seulement se poursuivre mais également réfléchir à l’introduction d’un programme de doctorat pour les diplômés du Master. Qui souhaitent poursuivre leur parcours académique et contribuer de manière encore plus significative au renforcement des capacités », a proposé la porte-parole des auditeurs.
La directrice générale de l’Infas, Professeur Méliane N’Dhatz Ebagnitchié Sanogo, marraine de la promotion, s’est félicitée du succès de ce programme, car il y a eu trois cohortes qui ont été formées grâce au projet Swedd. Pour elle, cela permet la formation des formateurs qui iront à leur tour former les autres dans les écoles et sur le terrain des stages.
« C’est pour qu’à terme, il y ait des soins de qualité, humanisés qui soient prodigués à la population », dit-elle. Tout en soulignant que cette formation va améliorer l’enseignement tant dans la pratique que dans la théorie dans les centres de formation des agents de santé.
C’est pourquoi, elle invite les auditeurs à l’excellence dans l’exercice de leurs fonctions en continuant de partager leurs expériences. « Il est important que les formateurs soient formés sur les Tic et que les services où les étudiants pratiquent les stages soient équipés », a souhaité la directrice générale de l’Infas.
La représentante du projet Swedd, Mme Ba, a rappelé que ce projet a démarré en 2015 et était au départ un projet régional avec sept pays impliqués et aujourd’hui regorge d'environ douze pays.
Selon elle, trois centres ont été sélectionnés : la Côte d’Ivoire, le Mali et le Niger. « En Côte d’Ivoire, l’appui du Swedd a permis de former 109 auditeurs tous pays confondus en pédagogie et en science de la santé à l’Infas pour les trois cohortes. Ce nombre est le même pratiquement pour les autres centres d’excellence dans lesquels les Ivoiriens ont été envoyés tout comme nous avons reçu d’autres pays », a dit la représentante du projet Swedd.
A l’en croire, ce projet prend fin le 31 décembre 2024, pour tous les pays du projet Swedd. Et il ne va plus s’appeler projet Swedd mais projet Swedd plus. « Les différents pays doivent élaborer des plans d’action qu’ils doivent soumettre au projet où ils seront financés par la Banque mondiale. Les premiers pays qui ont reçu l’approbation de la Banque mondiale pour le Swedd plus ont lancé leurs activités à Abuja, au Nigéria, en décembre 2024. En ce qui concerne la Côte d’Ivoire, la soumission à la Banque mondiale est en cours », dit-elle.
Au nom des auditeurs, Mme Lohi Ouffoué Feth a remercié les encadreurs et les enseignants pour leur soutien. « Nous repartons avec de nouvelles compétences et une vision collective pour relever les défis de nos systèmes de santé », dit-elle. Car au cours de ces deux années, ils ont appris à être de meilleurs éducateurs mais surtout à devenir des agents de changement dans les institutions.
« Alors que nous célébrons nos acquis, nous souhaitons également envisager de nouvelles possibilités pour l'avenir. C’est pourquoi, il serait hautement bénéfique que le projet Swedd, dont l’impact sur notre formation est indéniable, puisse non seulement se poursuivre mais également réfléchir à l’introduction d’un programme de doctorat pour les diplômés du Master. Qui souhaitent poursuivre leur parcours académique et contribuer de manière encore plus significative au renforcement des capacités », a proposé la porte-parole des auditeurs.