Lutte contre le blanchissement de capitaux: Greffiers, magistrats et autres acteurs renforcent leurs capacités
Des magistrats, greffiers, avocats, notaires, experts-comptables, responsables d’entreprises, commissaires de justice et autres acteurs de la lutte contre le blanchissement de capitaux, financement du terrorisme et de la prolifération des armes de destruction massive (Bc/ft/pad), ont participé à une formation du 27 au 28 décembre 2024, dans les locaux de l’Institut national de formation judiciaire (Infj) sis à Attoban.
La formation qui a débuté le 27 décembre, a eu pour principaux objectifs d’informer les magistrats, greffiers et les autres acteurs de la lutte contre le blanchissement de capitaux, financement du terrorisme et de la prolifération des armes de destruction massive, sur les lois et règlements nationaux et internationaux. Qui sont relatifs à l’identification des bénéficiaires effectifs et à la lutte contre le blanchissement de capitaux.
Ils ont été familiarisés avec les notions de bénéficiaires effectifs, de personnes morales et de constructions juridiques, ainsi que des notions voisines. Aussi, ils ont été formés aux méthodes et techniques d’indentification et de vérification des bénéficiaires effectifs.
La formation a également permis de développer les compétences opérationnelles des participants pour une bonne tenue du registre des bénéficiaires effectifs par une collecte initiale d’informations exactes et leurs mises à jour régulières, selon un processus validé et connu de tous les acteurs de la Lbc/Ft/Pad).
« Le thème est important surtout qu’il s’agit d’une notion nouvelle. Cet atelier permettra de préciser la notion, de montrer aux acteurs de la Lbc/FT/Pad ce qui est attendu d’eux en termes d’identification des bénéficiaires effectifs, mais surtout de leur inculquer les connaissances pour pouvoir eux-mêmes identifier les bénéficiaires effectifs et mettre en place des mesures pour garantir l’exactitude et la fiabilité des données qu’ils collectent », a indiqué la directrice de cabinet adjointe du Garde des sceaux, ministère de la Justice et des Droits de l'Homme, Ndubuisi Florentine, l’ouverture de l’atelier.
La directrice de l’école de la magistrature, Petey Noelle Angeline, pour sa part, a rappelé que la Côte d’Ivoire a fait l’objet d’une évaluation et à l’issue de celle-ci, il a été noté quelques corrections à faire. « Cet atelier vise à faire ces corrections », a-t-elle indiqué.
Soulignant que cette fois-ci l’atelier regroupe les acteurs de la lutte contre le blanchissement de capitaux, financement du terrorisme et de la prolifération des armes de destruction massive, magistrats, greffiers et commissaire de justice. Parce que, précise-t-elle, ce sont les actions conjuguées de toutes ces personnes qui vont permettre à la Côte d’Ivoire de relever les défis et faire en sorte qu’en quelques mois, le pays parte de la situation où il se trouve actuellement pour se remettre dans une bonne posture en ce qui concerne la lutte contre le blanchissement de capitaux, financement de terrorisme et prolifération des armes de destruction massive.
Ils ont été familiarisés avec les notions de bénéficiaires effectifs, de personnes morales et de constructions juridiques, ainsi que des notions voisines. Aussi, ils ont été formés aux méthodes et techniques d’indentification et de vérification des bénéficiaires effectifs.
La formation a également permis de développer les compétences opérationnelles des participants pour une bonne tenue du registre des bénéficiaires effectifs par une collecte initiale d’informations exactes et leurs mises à jour régulières, selon un processus validé et connu de tous les acteurs de la Lbc/Ft/Pad).
« Le thème est important surtout qu’il s’agit d’une notion nouvelle. Cet atelier permettra de préciser la notion, de montrer aux acteurs de la Lbc/FT/Pad ce qui est attendu d’eux en termes d’identification des bénéficiaires effectifs, mais surtout de leur inculquer les connaissances pour pouvoir eux-mêmes identifier les bénéficiaires effectifs et mettre en place des mesures pour garantir l’exactitude et la fiabilité des données qu’ils collectent », a indiqué la directrice de cabinet adjointe du Garde des sceaux, ministère de la Justice et des Droits de l'Homme, Ndubuisi Florentine, l’ouverture de l’atelier.
La directrice de l’école de la magistrature, Petey Noelle Angeline, pour sa part, a rappelé que la Côte d’Ivoire a fait l’objet d’une évaluation et à l’issue de celle-ci, il a été noté quelques corrections à faire. « Cet atelier vise à faire ces corrections », a-t-elle indiqué.
Soulignant que cette fois-ci l’atelier regroupe les acteurs de la lutte contre le blanchissement de capitaux, financement du terrorisme et de la prolifération des armes de destruction massive, magistrats, greffiers et commissaire de justice. Parce que, précise-t-elle, ce sont les actions conjuguées de toutes ces personnes qui vont permettre à la Côte d’Ivoire de relever les défis et faire en sorte qu’en quelques mois, le pays parte de la situation où il se trouve actuellement pour se remettre dans une bonne posture en ce qui concerne la lutte contre le blanchissement de capitaux, financement de terrorisme et prolifération des armes de destruction massive.