Coupures de câbles : Une menace pour la connectivité et l’économie ivoirienne
Quand les coupures de câbles mettent en péril le développement numérique de la Côte d’Ivoire
En Côte d’Ivoire, les coupures fréquentes de câbles de réseau deviennent un véritable casse-tête pour les opérateurs de télécommunications, les entreprises et les citoyens. Ce phénomène, alimenté par des actes de vandalisme et des travaux non coordonnés, paralyse non seulement le quotidien des Ivoiriens, mais freine également la croissance économique du pays.
Une situation alarmante
Orange Côte d’Ivoire, l’un des principaux acteurs du secteur, a récemment tiré la sonnette d’alarme dans un communiqué publié le vendredi 27 décembre 2024. L’opérateur a révélé avoir enregistré près de 1 000 coupures en 2024, impactant des millions de clients dans des régions clés telles qu’Abidjan, Daloa, Guiglo et Korhogo.
Ces interruptions répétées ne se limitent pas à perturber les communications. Elles provoquent également un ralentissement des activités économiques, des perturbations dans les services publics et une baisse de productivité dans plusieurs secteurs vitaux.
Des conséquences économiques et sociales majeures
Les coupures de câbles ont des répercussions directes sur les entreprises, les administrations et les ménages. Les pertes financières dues à ces interruptions s’élèvent à des montants considérables, affectant les petites et grandes structures. Pour les citoyens, l’impossibilité d’accéder à une connexion stable complique leur quotidien, allant de la difficulté à communiquer avec leurs proches à l’impossibilité d’effectuer des transactions numériques.
Un appel à la mobilisation générale
Conscient de l’urgence, Orange Côte d’Ivoire appelle les autorités, les entreprises de travaux publics (TP) et la population à une prise de conscience collective. L’opérateur plaide pour une meilleure collaboration entre les parties prenantes afin de protéger ces infrastructures essentielles. Cette mobilisation devrait inclure une vigilance accrue lors des chantiers, des sanctions sévères pour les actes de vandalisme et une sensibilisation sur l’importance des réseaux de télécommunications pour le développement du pays.
Un frein au développement numérique
À l’ère du numérique, où l’accès à une connexion rapide et fiable est un facteur clé de développement, ces coupures constituent un frein important à l’ambition de la Côte d’Ivoire de devenir un hub technologique en Afrique de l’Ouest. Le gouvernement et les opérateurs doivent conjuguer leurs efforts pour mettre en place des solutions durables, telles que le renforcement de la protection des infrastructures et l’amélioration des systèmes de réparation en cas d’incident.
En attendant des mesures concrètes, les Ivoiriens continuent de subir les conséquences de ces interruptions, qui menacent de compromettre les avancées économiques et technologiques du pays.
Une situation alarmante
Orange Côte d’Ivoire, l’un des principaux acteurs du secteur, a récemment tiré la sonnette d’alarme dans un communiqué publié le vendredi 27 décembre 2024. L’opérateur a révélé avoir enregistré près de 1 000 coupures en 2024, impactant des millions de clients dans des régions clés telles qu’Abidjan, Daloa, Guiglo et Korhogo.
Ces interruptions répétées ne se limitent pas à perturber les communications. Elles provoquent également un ralentissement des activités économiques, des perturbations dans les services publics et une baisse de productivité dans plusieurs secteurs vitaux.
Des conséquences économiques et sociales majeures
Les coupures de câbles ont des répercussions directes sur les entreprises, les administrations et les ménages. Les pertes financières dues à ces interruptions s’élèvent à des montants considérables, affectant les petites et grandes structures. Pour les citoyens, l’impossibilité d’accéder à une connexion stable complique leur quotidien, allant de la difficulté à communiquer avec leurs proches à l’impossibilité d’effectuer des transactions numériques.
Un appel à la mobilisation générale
Conscient de l’urgence, Orange Côte d’Ivoire appelle les autorités, les entreprises de travaux publics (TP) et la population à une prise de conscience collective. L’opérateur plaide pour une meilleure collaboration entre les parties prenantes afin de protéger ces infrastructures essentielles. Cette mobilisation devrait inclure une vigilance accrue lors des chantiers, des sanctions sévères pour les actes de vandalisme et une sensibilisation sur l’importance des réseaux de télécommunications pour le développement du pays.
Un frein au développement numérique
À l’ère du numérique, où l’accès à une connexion rapide et fiable est un facteur clé de développement, ces coupures constituent un frein important à l’ambition de la Côte d’Ivoire de devenir un hub technologique en Afrique de l’Ouest. Le gouvernement et les opérateurs doivent conjuguer leurs efforts pour mettre en place des solutions durables, telles que le renforcement de la protection des infrastructures et l’amélioration des systèmes de réparation en cas d’incident.
En attendant des mesures concrètes, les Ivoiriens continuent de subir les conséquences de ces interruptions, qui menacent de compromettre les avancées économiques et technologiques du pays.