L’éditorial d’Adama Koné : Heureux anniversaire M. le Président
Heureux anniversaire, Monsieur le Président de la République, Son Excellence Alassane Ouattara. Hier mercredi 1er janvier 2025, le natif de Dimbokro soufflait ses 83 bougies. Pourtant, la veille, lors de son traditionnel message à la Nation du 31 décembre 2024, il donnait l’air d’en avoir beaucoup moins. Au regard de sa forme et punch affiché pendant les 23 minutes de communication avec son peuple. L’image d’une Côte d’Ivoire qui se porte mieux.
Le Président de la République, Alassane Ouattara, se porte bien, très bien même. Très détendu et à l’aise lors de son adresse au peuple ivoirien, il affichait une mine rassurante et radieuse, le 31 décembre 2024, à 20 heures. Son message aux Ivoiriens et à tous les étrangers vivant en Côte d’Ivoire a donné à chacun l’occasion de voir un Président des grands jours. Il portait fièrement ses 83 ans. Né le 1er janvier 1942, à Dimbokro, il a fêté son anniversaire, hier, dans la ferveur du nouvel an 2025.
Quelle bénédiction ! Heureux anniversaire monsieur le Président ! Le Seigneur vous garde aussi longtemps pour toute votre œuvre en faveur de la Côte d’Ivoire. En tout cas, l’homme a montré qu’il tient la route et est bien au gouvernail d’un pays qui est définitivement lancé sur la route vertueuse du développement. Et que rien ne doit le distraire dans cette démarche. Un des faits marquants et significatifs, dans son discours, est perçu à la 20e minute de son adresse.
C’est lorsqu’il aborde le chapitre attendu de la tenue de l’élection présidentielle de 2025. Le développement du sujet ne dure qu’à peine une minute et quelques secondes. Morceau choisi : « L’année 2025 sera marquée par la tenue de l’élection présidentielle. Ce scrutin sera, encore une fois, l’occasion de confirmer la maturité politique de nos compatriotes, la force de nos institutions et l’enracinement de notre démocratie. Je voudrais donner l’assurance à tous ainsi qu’à l’ensemble de nos partenaires que l’élection sera apaisée, transparente et démocratique. Nous devons consolider les acquis enregistrés depuis 2011 pour continuer notre marche vers le développement, dans la paix, l’union et la discipline ». Pas plus. Ce bref passage est pourtant un long message, aussi bien à l’endroit de la population que pour les partis, hommes politiques et les représentations diplomatiques.
En clair, le Président Ouattara s’est voulu très rassurant. Pas besoin d’épiloguer outre mesure. L’année 2025 ne doit pas être un épouvantail politique. Elle ne doit pas être celle de tous les dangers, comme le prédisent les oiseaux de mauvais augure. C’est une année normale où toutes les dispositions sont prises pour aller à des consultations sainement démocratiques en octobre prochain. Et pourquoi pas, aller à cette échéance en chantant et surtout... en dansant ! Au Parti démocratique de Côte d’Ivoire – Rassemblement démocratique africain (Pdci-Rda), le ton est d’ailleurs donné.
On a vu le candidat déclaré Jean-Louis Billon danser « avec des coups de marteau » pour les Eléphants de Côte d’Ivoire, mais aussi pour galvaniser ses partisans pour les futures batailles politiques. Comme pour donner la réplique, il y a presque deux semaines, le président de son parti, Tidjane Thiam, au son du « Zoblazo », à Aboiso, s’est livré à une partie bien enlevée de danse, sur le podium. En définitive, il n’y a pas à s’inquiéter pour octobre prochain. Et comme dit dans notre publication du lundi 30 décembre, la question de la candidature du Président Alassane Ouattara n’est pas un programme de gouvernement. Ou, du moins, ne doit pas être un programme de société pour les partis politiques. Il lui reviendra d’en parler selon son calendrier. Sans pression, dans l’ordre normal des choses.
Pour le reste, il appartient à chaque Ivoirien d’intérioriser le fait que la présidentielle à venir doit se passer sans accroc. On le dit toujours, celui qui a vu le lion et celui qui ne l’a qu’entendu rugir n’ont pas la même réaction. Nous avons déjà expérimenté des moments qu’on n’a jamais souhaités. Aujourd’hui, devons-nous, comme une minorité, nous faire peur ou avoir plutôt des vœux de paix et de sérénité pour l’élection à venir ? Je crois que le choix est vite fait. C’est dans cette disposition d’esprit de positivité que le peuple doit s’engager. A chacun, Fraternité Matin qui vient d’avoir 60 ans souhaite une année de plénitude. Une année de santé et d’accomplissement. Que nos politiciens ne regardent que le bonheur des habitants. Et que chaque citoyen atteigne ses objectifs sous la protection divine. Amen ! .
Quelle bénédiction ! Heureux anniversaire monsieur le Président ! Le Seigneur vous garde aussi longtemps pour toute votre œuvre en faveur de la Côte d’Ivoire. En tout cas, l’homme a montré qu’il tient la route et est bien au gouvernail d’un pays qui est définitivement lancé sur la route vertueuse du développement. Et que rien ne doit le distraire dans cette démarche. Un des faits marquants et significatifs, dans son discours, est perçu à la 20e minute de son adresse.
Quelle bénédiction ! Heureux anniversaire monsieur le Président ! Le Seigneur vous garde aussi longtemps pour toute votre œuvre en faveur de la Côte d’Ivoire. En tout cas, l’homme a montré qu’il tient la route et est bien au gouvernail d’un pays qui est définitivement lancé sur la route vertueuse du développement. Et que rien ne doit le distraire dans cette démarche. |
En clair, le Président Ouattara s’est voulu très rassurant. Pas besoin d’épiloguer outre mesure. L’année 2025 ne doit pas être un épouvantail politique. Elle ne doit pas être celle de tous les dangers, comme le prédisent les oiseaux de mauvais augure. C’est une année normale où toutes les dispositions sont prises pour aller à des consultations sainement démocratiques en octobre prochain. Et pourquoi pas, aller à cette échéance en chantant et surtout... en dansant ! Au Parti démocratique de Côte d’Ivoire – Rassemblement démocratique africain (Pdci-Rda), le ton est d’ailleurs donné.
On a vu le candidat déclaré Jean-Louis Billon danser « avec des coups de marteau » pour les Eléphants de Côte d’Ivoire, mais aussi pour galvaniser ses partisans pour les futures batailles politiques. Comme pour donner la réplique, il y a presque deux semaines, le président de son parti, Tidjane Thiam, au son du « Zoblazo », à Aboiso, s’est livré à une partie bien enlevée de danse, sur le podium. En définitive, il n’y a pas à s’inquiéter pour octobre prochain. Et comme dit dans notre publication du lundi 30 décembre, la question de la candidature du Président Alassane Ouattara n’est pas un programme de gouvernement. Ou, du moins, ne doit pas être un programme de société pour les partis politiques. Il lui reviendra d’en parler selon son calendrier. Sans pression, dans l’ordre normal des choses.
Pour le reste, il appartient à chaque Ivoirien d’intérioriser le fait que la présidentielle à venir doit se passer sans accroc. On le dit toujours, celui qui a vu le lion et celui qui ne l’a qu’entendu rugir n’ont pas la même réaction. Nous avons déjà expérimenté des moments qu’on n’a jamais souhaités. Aujourd’hui, devons-nous, comme une minorité, nous faire peur ou avoir plutôt des vœux de paix et de sérénité pour l’élection à venir ? Je crois que le choix est vite fait. C’est dans cette disposition d’esprit de positivité que le peuple doit s’engager. A chacun, Fraternité Matin qui vient d’avoir 60 ans souhaite une année de plénitude. Une année de santé et d’accomplissement. Que nos politiciens ne regardent que le bonheur des habitants. Et que chaque citoyen atteigne ses objectifs sous la protection divine. Amen ! .