Malgré les blessures à la tête de la petite victime, l'intervention rapide des riverains a permis d'éviter un drame. (Ph: Dr)
Malgré les blessures à la tête de la petite victime, l'intervention rapide des riverains a permis d'éviter un drame. (Ph: Dr)
Agression d’une fillette de 3 ans à Bingerville : Le ministère de la Femme condamne fermement
Le ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant (Mffe) condamne fermement l’agression d’une fillette de 3 ans et sa cousine de 10 ans perpétrée, le 2 janvier 2025, à Bingerville, près de l’Hôpital mère-enfant.
Dans une déclaration officielle rendue publique le 9 janvier, le Mffe a déploré cet acte odieux et rappelé l’importance de la vigilance collective face aux violences contre les enfants.
Dans la même dynamique, il exhorte la population à signaler tout acte de violence ou comportement suspect en composant le numéro vert 116, rappelant que de tels actes sont sévèrement réprimés par la loi ivoirienne. "Protéger nos enfants est une responsabilité commune. Ensemble, mettons tout en œuvre pour garantir leur sécurité et leur bien-être", invite-t-on.
Cet incident relance le débat sur les mesures à renforcer pour la protection des enfants en Côte d’Ivoire, un enjeu crucial pour le gouvernement et la société civile.
En effet, l’agression, commise par un individu décrit comme mentalement instable, a suscité une vive indignation et une réaction immédiate du ministère.
À en croire les témoignages recueillis, les deux enfants se rendaient à une boutique lorsque l’homme a tenté d’enlever la fillette de 3 ans. Sa cousine, dans un acte héroïque, s’est interposée pour la protéger et a reçu un violent coup au cours de l’agression. Elle a ensuite alerté une dame présente sur les lieux qui, avec l’aide d’un riverain, est parvenue à sauver la fillette.
Bien que cette dernière ait eu des blessures à la tête, l’intervention rapide des riverains a permis d’éviter un drame. Informé de l’incident, le ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant a immédiatement pris en charge le dossier, avec le soutien de la sous-direction de la police criminelle en charge de la lutte contre le travail des enfants. L’agresseur, arrêté peu après, sera déféré, le 10 janvier.
Par ailleurs, le ministère s’est engagé à suivre cette affaire de près, afin de garantir que des sanctions exemplaires soient prises à l’encontre du coupable. Les deux enfants, visiblement traumatisées, reçoivent actuellement un accompagnement psychologique, en vue de surmonter cette épreuve.
Dans la même dynamique, il exhorte la population à signaler tout acte de violence ou comportement suspect en composant le numéro vert 116, rappelant que de tels actes sont sévèrement réprimés par la loi ivoirienne. "Protéger nos enfants est une responsabilité commune. Ensemble, mettons tout en œuvre pour garantir leur sécurité et leur bien-être", invite-t-on.
Cet incident relance le débat sur les mesures à renforcer pour la protection des enfants en Côte d’Ivoire, un enjeu crucial pour le gouvernement et la société civile.
En effet, l’agression, commise par un individu décrit comme mentalement instable, a suscité une vive indignation et une réaction immédiate du ministère.
À en croire les témoignages recueillis, les deux enfants se rendaient à une boutique lorsque l’homme a tenté d’enlever la fillette de 3 ans. Sa cousine, dans un acte héroïque, s’est interposée pour la protéger et a reçu un violent coup au cours de l’agression. Elle a ensuite alerté une dame présente sur les lieux qui, avec l’aide d’un riverain, est parvenue à sauver la fillette.
Bien que cette dernière ait eu des blessures à la tête, l’intervention rapide des riverains a permis d’éviter un drame. Informé de l’incident, le ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant a immédiatement pris en charge le dossier, avec le soutien de la sous-direction de la police criminelle en charge de la lutte contre le travail des enfants. L’agresseur, arrêté peu après, sera déféré, le 10 janvier.
Par ailleurs, le ministère s’est engagé à suivre cette affaire de près, afin de garantir que des sanctions exemplaires soient prises à l’encontre du coupable. Les deux enfants, visiblement traumatisées, reçoivent actuellement un accompagnement psychologique, en vue de surmonter cette épreuve.