Orphelinat de Grand-Bassam: La Fondation Gabriel M’Boh offre des vivres et non-vivres aux pensionnaires
Opérationnelle depuis 2022, la Fondation Gabriel M’Boh vise, entre autres, à aider les veuves, les orphelins et les personnes en situation de précarité très avancée dans les différentes communes de Côte d’Ivoire.
C’est dans ce cadre qu’elle a offert le 11 janvier 2025, des vivres et non-vivres aux pensionnaires de l’orphelinat national de filles de Grand-Bassam.
Le don constitué, entre autres, de riz, d’huile, de ventilateurs, de lingettes et de couches, a été fait en présence du patriarche Gabriel M’Boh, le créateur et dont la Fondation porte le nom.
A l’occasion, le vice-président de la fondation, Franck M’Boh, a expliqué que l’objectif est non seulement de fournir des vivres et non-vivres, mais aussi et surtout de permettre à ces enfants de pouvoir se prendre en charge.
« Au-delà de ces actions, nous souhaitons également que les enfants en situation de vulnérabilité puissent accéder à l’autonomisation », a justifié Franck M’Boh. Précisant qu’il a été séduit au cours de la visite de l’orphelinat national de filles de Grand-Bassam par le fait que ces tout-petits peuvent mener des activités génératrices de revenu.
Avant Grand-Bassam, la Fondation Gabriel M’Boh s'est rendue à Yopougon, Koumassi et dans les villages SOS d’Abobo et d’Aboisso.
Recevant le don, l’éducateur spécialisé, Raoul Komenan, représentant le directeur de l’orphelinat national de filles de Grand-Bassam, Marcel Légré, a, au nom des bénéficiaires, remercié le donateur pour son geste de haute portée sociale.
« Généralement, nous prenons plaisir à recevoir des personnalités ici, pour qu’elles touchent du doigt les réalités que nous vivons. Nous avons la proximité avec la mer qui a un effet assez contraignant sur nos installations. Ainsi, de façon répétitive, nous avons des travaux de réhabilitation, de maintien des équipements, ce qui n’est pas facile », a-t-il relevé. Avant de souhaiter que des personnes de bonne volonté apportent leur soutien à l’orphelinat en vue de trouver des solutions aux difficultés qu’il vit au quotidien.
Outre Grand-Bassam, Raoul Komenan a souhaité qu’il y ait beaucoup plus de solidarité à travers le monde. « En dehors des enfants qui sont dans nos institutions, beaucoup d’autres méritent d’être accompagnés et nous souhaitons que l’enfance en général se porte mieux », a exhorté le représentant de Marcel Légré.
Le don constitué, entre autres, de riz, d’huile, de ventilateurs, de lingettes et de couches, a été fait en présence du patriarche Gabriel M’Boh, le créateur et dont la Fondation porte le nom.
A l’occasion, le vice-président de la fondation, Franck M’Boh, a expliqué que l’objectif est non seulement de fournir des vivres et non-vivres, mais aussi et surtout de permettre à ces enfants de pouvoir se prendre en charge.
« Au-delà de ces actions, nous souhaitons également que les enfants en situation de vulnérabilité puissent accéder à l’autonomisation », a justifié Franck M’Boh. Précisant qu’il a été séduit au cours de la visite de l’orphelinat national de filles de Grand-Bassam par le fait que ces tout-petits peuvent mener des activités génératrices de revenu.
Avant Grand-Bassam, la Fondation Gabriel M’Boh s'est rendue à Yopougon, Koumassi et dans les villages SOS d’Abobo et d’Aboisso.
Recevant le don, l’éducateur spécialisé, Raoul Komenan, représentant le directeur de l’orphelinat national de filles de Grand-Bassam, Marcel Légré, a, au nom des bénéficiaires, remercié le donateur pour son geste de haute portée sociale.
« Généralement, nous prenons plaisir à recevoir des personnalités ici, pour qu’elles touchent du doigt les réalités que nous vivons. Nous avons la proximité avec la mer qui a un effet assez contraignant sur nos installations. Ainsi, de façon répétitive, nous avons des travaux de réhabilitation, de maintien des équipements, ce qui n’est pas facile », a-t-il relevé. Avant de souhaiter que des personnes de bonne volonté apportent leur soutien à l’orphelinat en vue de trouver des solutions aux difficultés qu’il vit au quotidien.
Outre Grand-Bassam, Raoul Komenan a souhaité qu’il y ait beaucoup plus de solidarité à travers le monde. « En dehors des enfants qui sont dans nos institutions, beaucoup d’autres méritent d’être accompagnés et nous souhaitons que l’enfance en général se porte mieux », a exhorté le représentant de Marcel Légré.