L'activiste Alino Faso
Interpellation d’Alino Faso : Le porte-parole du gouvernement ivoirien clarifie la situation
Amadou Coulibaly, ministre de la Commuication et des Médias porte-parole du gouvernement ivoirien, a apporté des éclaircissements sur l’interpellation de l'activiste burkinabè M. Alain Traoré, connu sous le pseudonyme d'Alino Faso, ce mercredi 15 janvier 2025, à l'issue du traditionnel échange avec les journalistes après le Conseil des ministres.
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« M. Alain Traoré a été arrêté en bonne et due forme parce que certainement, des choses lui sont reprochées... En tout cas je vous rassure, on ne disparait pas en Côte d’Ivoire, il n’y a pas d’enlèvement forcé, il n’y a pas d’exécution forcée, il n’y a pas de torture. Tout cela peut subsister dans le fantasme de certaines personnes qui ne savent pas que les choses ont changé, que nous sommes respectueux des droits de l’homme, que nous sommes respectueux des procédures. Peut-être que cela peut être vrai, mais ce n’est plus le même pays, ce n’est plus la même époque », a déclaré M. Coulibaly, en réponse aux rumeurs sur une disparition forcée.
Le porte-parole du gouvernement ivoirien a insisté sur le fait que M. Traoré n’est pas porté disparu et que son interpellation s’inscrit dans un cadre légal. « Il y a des choses qui lui sont reprochées. Attendons le communiqué du Procureur de la République pour plus de détails », a-t-il ajouté.
Cette déclaration vise à dissiper les inquiétudes et à rappeler l’engagement du gouvernement ivoirien envers les principes de transparence et de respect des droits de l’homme.
« M. Alain Traoré a été arrêté en bonne et due forme parce que certainement, des choses lui sont reprochées... En tout cas je vous rassure, on ne disparait pas en Côte d’Ivoire, il n’y a pas d’enlèvement forcé, il n’y a pas d’exécution forcée, il n’y a pas de torture. Tout cela peut subsister dans le fantasme de certaines personnes qui ne savent pas que les choses ont changé, que nous sommes respectueux des droits de l’homme, que nous sommes respectueux des procédures. Peut-être que cela peut être vrai, mais ce n’est plus le même pays, ce n’est plus la même époque », a déclaré M. Coulibaly, en réponse aux rumeurs sur une disparition forcée.
Le porte-parole du gouvernement ivoirien a insisté sur le fait que M. Traoré n’est pas porté disparu et que son interpellation s’inscrit dans un cadre légal. « Il y a des choses qui lui sont reprochées. Attendons le communiqué du Procureur de la République pour plus de détails », a-t-il ajouté.
Cette déclaration vise à dissiper les inquiétudes et à rappeler l’engagement du gouvernement ivoirien envers les principes de transparence et de respect des droits de l’homme.