Éducation nationale : Mariatou Koné appelle à « un syndicalisme responsable »
C’est dans une ambiance conviviale que la ministre de l’Éducation nationale et de l’Alphabétisation, Mariatou Koné, a échangé le 15 janvier 2025, les vœux de nouvel an avec les 106 leaders des syndicats et associations de son département. Danses, chants et partage de repas étaient au menu de cette rencontre entre "partenaires" du système éducatif.
Occasion pour la première responsable de l’éducation nationale de lancer un appel aux différentes faîtières syndicales. « Conformément à notre thème de l’année 2024-2025 : "Soyons des citoyens responsables pour une école de qualité", chers partenaires, je vous exhorte à pratiquer un syndicalisme responsable », a-t-elle lancé. « Le syndicalisme responsable ne nie pas le droit à la revendication et à la défense des intérêts de ses membres. En revanche, ses actions dans le cadre de l’école doivent tenir compte du droit à l’éducation de nos enfants », a-t-elle précisé.
Selon Mariatou Koné, « un syndicalisme responsable est un atout pour notre système éducatif qui est en pleine transformation pour s’adapter aux innovations et aux exigences du 21e siècle, et pour l’atteinte de meilleures performances ».
Par conséquent, elle invite les leaders syndicaux à une telle vision du syndicalisme. Afin de mettre en œuvre les recommandations des États généraux de l’éducation nationale et de l’alphabétisation (Egena) qui demeurent la boussole pour définir le futur de l’école ivoirienne.
« Je suis ouverte au dialogue permanent avec vous. Je suis convaincue que les petits pas successifs de nos dialogues peuvent nous permettre d’atteindre progressivement nos objectifs d’amélioration des conditions de travail et de vie des enfants », a rassuré la ministre Mariatou Koné. Qui a ajouté : « Avec de la patience, beaucoup de choses peuvent changer au bénéfice des acteurs directs de notre système éducatif ». Non sans manquer de demander aux leaders syndicaux de faire confiance au Président de la République, Alassane Ouattara et au gouvernement pour la satisfaction de leurs revendications.
« Chers leaders syndicaux, mon vœu le plus cher, en cette année électorale, est de voir l’école préservée des luttes politiques. Cette période requiert de tous les acteurs de notre système éducatif, plus de vigilance, plus de responsabilité et plus de discernement », a-t-elle fait remarquer. Et de faire cette mise en garde : « Je ne veux pas que l’école soit mêlée à des querelles politiciennes et qu’elle ne sorte pas de cette élection fragilisée ».
Au terme de cette cérémonie d’échanges des vœux, la ministre a offert la somme de 11 millions de F Cfa aux 106 leaders.
Le porte-parole principal de l’Intersyndicale du ministère de l’Éducation nationale et de l’Alphabétisation et des faîtières syndicales du ministère de l’Enseignement technique, de la Formation professionnelle et de l’Apprentissage, David Bli Blé, a salué le geste de la ministre en le qualifiant « d’action de rapprochement ».
Selon Mariatou Koné, « un syndicalisme responsable est un atout pour notre système éducatif qui est en pleine transformation pour s’adapter aux innovations et aux exigences du 21e siècle, et pour l’atteinte de meilleures performances ».
Par conséquent, elle invite les leaders syndicaux à une telle vision du syndicalisme. Afin de mettre en œuvre les recommandations des États généraux de l’éducation nationale et de l’alphabétisation (Egena) qui demeurent la boussole pour définir le futur de l’école ivoirienne.
« Je suis ouverte au dialogue permanent avec vous. Je suis convaincue que les petits pas successifs de nos dialogues peuvent nous permettre d’atteindre progressivement nos objectifs d’amélioration des conditions de travail et de vie des enfants », a rassuré la ministre Mariatou Koné. Qui a ajouté : « Avec de la patience, beaucoup de choses peuvent changer au bénéfice des acteurs directs de notre système éducatif ». Non sans manquer de demander aux leaders syndicaux de faire confiance au Président de la République, Alassane Ouattara et au gouvernement pour la satisfaction de leurs revendications.
« Chers leaders syndicaux, mon vœu le plus cher, en cette année électorale, est de voir l’école préservée des luttes politiques. Cette période requiert de tous les acteurs de notre système éducatif, plus de vigilance, plus de responsabilité et plus de discernement », a-t-elle fait remarquer. Et de faire cette mise en garde : « Je ne veux pas que l’école soit mêlée à des querelles politiciennes et qu’elle ne sorte pas de cette élection fragilisée ».
Au terme de cette cérémonie d’échanges des vœux, la ministre a offert la somme de 11 millions de F Cfa aux 106 leaders.
Le porte-parole principal de l’Intersyndicale du ministère de l’Éducation nationale et de l’Alphabétisation et des faîtières syndicales du ministère de l’Enseignement technique, de la Formation professionnelle et de l’Apprentissage, David Bli Blé, a salué le geste de la ministre en le qualifiant « d’action de rapprochement ».