Fausse accusation contre un policier : L’automobiliste condamné par la justice
Dans l’exercice de ses fonctions à Adjamé-Liberté, L.P, un officier de police du 11 arrondissement de Williamsville, siffle un automobiliste. Il demande les pièces du véhicule et le permis de conduire du chauffeur. Ce dernier lui remet tout et le policier de lui retourner les pièces du véhicule après vérification sans le permis de conduire pour une faute commise.
Après avoir délivré un papillon, le chauffeur lui remet la somme de 5000 frs Cfa pour la contravention et reprend son permis de conduire.
Quelques instants après, le chauffeur revient sur ses pas et accuse le policier d’avoir gardé l’une des pièces de la voiture en l’occurrence, la carte grise. L’agent de police s’étonne et indique n’avoir gardé aucune pièce par-devers lui. Le chauffeur mécontent, porte l’affaire devant l’inspection de la police. L’agent de sécurité est débouté et paye les frais pour la confection d’une nouvelle carte grise.
Deux mois après, le chauffeur est de nouveau arrêté, cette fois-ci pour un contrôle de routine.
S.T, le second de L.P également présent lors du 1er incident contrôle le même chauffeur. Il lui fait savoir que sa voiture doit aller à la fourrière. G.T, le chauffeur ne veut rien savoir. Il s’emporte et se met à crier fort et menacer le jeune officier tout en lui rappelant l’ancien fait.
« Te souviens-tu ? C’est moi qui ai créé des ennuis à ton collègue. Je vais t’en créer aussi », lance-t-il au visage de S.T, le jeune policier.
Comme un déclic, S.T s’en souvient automatiquement. Il vérifie la carte grise et voit qu’elle n’a pas été nouvellement établie. « M. l’automobiliste, vous avez accusé à tort mon collègue qui vous a remis de l’argent pour refaire votre carte alors qu’elle ne s’est jamais perdue. Vous allez répondre de votre acte », a-t-il laissé entendre et de conduire G.T au poste de police. Par la suite, l’officier L.P a porté plainte contre le chauffeur pour dénonciation calomnieuse.
À l’audience des flagrants délits du jeudi 23 janvier 2025, le chauffeur a été condamné à un mois de prison ferme pour la fausse accusation portée contre l’agent de police dans l’exercice de ses fonctions.
En outre, il est condamné à payer une amende de 500 000 frs CFA à l’Etat de Côte d’Ivoire et la somme de 300 000 frs CFA à titre de dommages et intérêts à l’officier L.P.
Quelques instants après, le chauffeur revient sur ses pas et accuse le policier d’avoir gardé l’une des pièces de la voiture en l’occurrence, la carte grise. L’agent de police s’étonne et indique n’avoir gardé aucune pièce par-devers lui. Le chauffeur mécontent, porte l’affaire devant l’inspection de la police. L’agent de sécurité est débouté et paye les frais pour la confection d’une nouvelle carte grise.
Deux mois après, le chauffeur est de nouveau arrêté, cette fois-ci pour un contrôle de routine.
S.T, le second de L.P également présent lors du 1er incident contrôle le même chauffeur. Il lui fait savoir que sa voiture doit aller à la fourrière. G.T, le chauffeur ne veut rien savoir. Il s’emporte et se met à crier fort et menacer le jeune officier tout en lui rappelant l’ancien fait.
« Te souviens-tu ? C’est moi qui ai créé des ennuis à ton collègue. Je vais t’en créer aussi », lance-t-il au visage de S.T, le jeune policier.
Comme un déclic, S.T s’en souvient automatiquement. Il vérifie la carte grise et voit qu’elle n’a pas été nouvellement établie. « M. l’automobiliste, vous avez accusé à tort mon collègue qui vous a remis de l’argent pour refaire votre carte alors qu’elle ne s’est jamais perdue. Vous allez répondre de votre acte », a-t-il laissé entendre et de conduire G.T au poste de police. Par la suite, l’officier L.P a porté plainte contre le chauffeur pour dénonciation calomnieuse.
À l’audience des flagrants délits du jeudi 23 janvier 2025, le chauffeur a été condamné à un mois de prison ferme pour la fausse accusation portée contre l’agent de police dans l’exercice de ses fonctions.
En outre, il est condamné à payer une amende de 500 000 frs CFA à l’Etat de Côte d’Ivoire et la somme de 300 000 frs CFA à titre de dommages et intérêts à l’officier L.P.