Karakoro : Un projet pour reconstruire les vies après les violences basées sur le genre
La mairie de Karakoro a accueilli, le 21 janvier 2025, le lancement du projet « Renaissance – Reconstruction des vies après les violences basées sur le genre », porté par l’ONG Djigui Tugu. L’initiative s’inscrit dans le cadre du programme « Feminist Opportunities Now », financé par l’Agence française de développement (AFD) via la Fédération internationale des plannings familiaux (IPPF).
Un projet au service des femmes et des jeunes filles
Le projet vise à lutter contre les violences basées sur le genre (VBG), à renforcer l’accès aux services de planification familiale et à promouvoir l’éducation sexuelle auprès des jeunes filles et des associations féminines des départements de Korhogo et Ferkessédougou (régions du Poro et du Tchologo).
En présence du sous-préfet Jean-Jacques Tonessia, du maire Tuo Tièba, du chef de canton Silué Liôfra, du chef de village Tuo Namôgô et de l’imam central Yéo Abou, la présidente du conseil d’administration de l’ONG, Ouattara Moon Dafney, a présenté le projet et ses objectifs aux autorités locales, aux leaders communautaires et aux associations de femmes et de jeunes.
Un rôle clé pour les chefs traditionnels
L’accent a été mis sur l’importance d’impliquer les chefs traditionnels, garants des us et coutumes, afin d’assurer une meilleure protection des femmes et des jeunes filles. Il s’agit d’établir un lien entre les pratiques locales et le cadre juridique national pour lutter efficacement contre les violences physiques et favoriser l’égalité des genres.
« Leur autorité morale doit peser dans la balance pour freiner les violences et promouvoir le planning familial. Cela contribuera au bien-être des familles et au développement local », a souligné Ouattara Moon Dafney.
Les autorités présentes ont salué l’initiative et ont promis de s’engager pleinement pour garantir son succès.
Source: Sercom
Le projet vise à lutter contre les violences basées sur le genre (VBG), à renforcer l’accès aux services de planification familiale et à promouvoir l’éducation sexuelle auprès des jeunes filles et des associations féminines des départements de Korhogo et Ferkessédougou (régions du Poro et du Tchologo).
En présence du sous-préfet Jean-Jacques Tonessia, du maire Tuo Tièba, du chef de canton Silué Liôfra, du chef de village Tuo Namôgô et de l’imam central Yéo Abou, la présidente du conseil d’administration de l’ONG, Ouattara Moon Dafney, a présenté le projet et ses objectifs aux autorités locales, aux leaders communautaires et aux associations de femmes et de jeunes.
Un rôle clé pour les chefs traditionnels
L’accent a été mis sur l’importance d’impliquer les chefs traditionnels, garants des us et coutumes, afin d’assurer une meilleure protection des femmes et des jeunes filles. Il s’agit d’établir un lien entre les pratiques locales et le cadre juridique national pour lutter efficacement contre les violences physiques et favoriser l’égalité des genres.
« Leur autorité morale doit peser dans la balance pour freiner les violences et promouvoir le planning familial. Cela contribuera au bien-être des familles et au développement local », a souligné Ouattara Moon Dafney.
Les autorités présentes ont salué l’initiative et ont promis de s’engager pleinement pour garantir son succès.
Source: Sercom