Le sénateur Ouattara Kouakou présentant fièrement son parchemin. (Ph: Dr)
Exécutive Mba en relation internationales et diplomatie: Mention très bien pour le sénateur Ouattara Kouakou
Le thème du projet de l'impétrant était : « La Cedeao à l'épreuve de l'Alliance des Etats du Sahel ( Aes) : Défis, sécurité et perspective ».
Il vient d’ajouter un nouveau parchemin à ses diplômes. Ouattara Kouakou, en sa qualité de sénateur, après des cours au Centre de valorisation professionnelle de Tunis (Tunisie), a décroché avec la mention très bien son Exécutif Mba en relation internationales et diplomatie. Son travail de recherche avait pour thématique : « La Cedeao à l’épreuve de l’Alliance des Etats du Sahel ( Aes) : Défis, sécurité et perspective ».
Il a soutenu son Exécutif Mba le 24 janvier 2025, à l'Ecole supérieure de commerce et d'administration de l'Afrique de l'ouest (Escao) à Cocody II-Plateaux Aghien.
L’impétrant, dans sa démarche, a analysé les relations entre l’organisation sous-régionale et cette entité mise en place par les juntes au pouvoir au Mali, au Burkina Faso et au Niger. Il s’agissait pour lui de chercher à expliquer, d’une part, comment la création de l’Aes influence les dynamiques de coopération et les tensions au sein de la Cedeao, et d’évaluer, d’autre part, l'impact de cet organe des militaires sur la sécurité régionale.
Son raisonnement a consisté à étudier comment aborder les enjeux de sécurité, notamment la lutte contre le terrorisme et son efficacité par rapport aux initiatives de la Cedeao.
Ouattara Kouakou, dans son projet, a également examiné les implications économiques et sociales. « Je voulais identifier comment l'Aes, à travers sa charte, projette des objectifs de développement économique et social, et comment cela se compare aux missions de la Cedeao. J’ai aussi proposé des recommandations pour une meilleure coopération et formuler des pistes pour renforcer les relations entre ces deux entités. Ce, afin d'assurer une stabilité durable en Afrique de l'ouest », a-t-il expliqué.
A la lumière de son travail, il a soutenu que les relations entre la Cedeao et l’Aes mettent en exergue plusieurs conclusions clés.
Il s’agit, entre autres, à l’en croire, de la rupture institutionnelle avec la création de l’Aes avec les mécanismes de coopération établis par la Cedeao, de l’existence des tensions croissantes entre les deux entités.
Le jury, séduit par la pertinence de son œuvre, lui a octroyé la mention très bien.
L’impétrant, dans sa démarche, a analysé les relations entre l’organisation sous-régionale et cette entité mise en place par les juntes au pouvoir au Mali, au Burkina Faso et au Niger. Il s’agissait pour lui de chercher à expliquer, d’une part, comment la création de l’Aes influence les dynamiques de coopération et les tensions au sein de la Cedeao, et d’évaluer, d’autre part, l'impact de cet organe des militaires sur la sécurité régionale.
Son raisonnement a consisté à étudier comment aborder les enjeux de sécurité, notamment la lutte contre le terrorisme et son efficacité par rapport aux initiatives de la Cedeao.
Ouattara Kouakou, dans son projet, a également examiné les implications économiques et sociales. « Je voulais identifier comment l'Aes, à travers sa charte, projette des objectifs de développement économique et social, et comment cela se compare aux missions de la Cedeao. J’ai aussi proposé des recommandations pour une meilleure coopération et formuler des pistes pour renforcer les relations entre ces deux entités. Ce, afin d'assurer une stabilité durable en Afrique de l'ouest », a-t-il expliqué.
A la lumière de son travail, il a soutenu que les relations entre la Cedeao et l’Aes mettent en exergue plusieurs conclusions clés.
Il s’agit, entre autres, à l’en croire, de la rupture institutionnelle avec la création de l’Aes avec les mécanismes de coopération établis par la Cedeao, de l’existence des tensions croissantes entre les deux entités.
Le jury, séduit par la pertinence de son œuvre, lui a octroyé la mention très bien.