Électrification en Côte d’Ivoire : Le boom avec le Président Ouattara
La Côte d’Ivoire se distingue de manière remarquable sur le continent africain par ses réalisations exemplaires en matière d’électrification, son taux de couverture ayant connu une progression spectaculaire, passant de 33% en 2011 à plus de 94% en 2024. Cette réussite sans précédent est le fruit d’une vision éclairée et d’une détermination inébranlable du Chef de l’État, Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara, qui, depuis son accession à la magistrature suprême, a fait de l’amélioration des conditions de vie des populations, une priorité absolue de son action gouvernementale.
Dans cette noble perspective, l’État ivoirien s’est doté des moyens nécessaires à la mise en œuvre de sa politique ambitieuse. Des investissements considérables ont été consentis, permettant d’accroître, de manière constante, la capacité de production d’électricité, laquelle a franchi le seuil remarquable des 3118 MW en 2024 contre 1391 MW en 2011. Par cette démarche audacieuse, le pays s’assure une sécurité énergétique et se positionne comme un hub énergétique dans la sous-région.
Pour parvenir à cette prouesse, le gouvernement ivoirien a judicieusement diversifié ses sources d’énergie, maintenu en parfait état de fonctionnement les barrages existants, tout en développant les centrales thermiques de Ciprel, Azito, Aggreko et Vridi. L’inauguration du barrage de Soubré en 2017 et les nombreuses actions ont permis de booster le mix énergétique de la Côte d’Ivoire. Dans le cadre de cette politique de transition énergétique, le mix énergétique comprendra en 2030, 45% d’énergies renouvelables dont 34% d’hydroélectricité, 8% de solaire et 3% de Biomasse. Actuellement, le rapport d’énergies renouvelables du pays est de 31%, dont 1% d’énergie solaire, contre 69% d’électricité de source thermique.
La qualité de la fourniture électrique s’est considérablement améliorée ; le Temps Moyen de Coupure (TMC), qui s’élevait à 47 heures par an en 2011, est passé à 29 heures par an en 2023, tandis que le nombre de localités bénéficiant de l’électrification est passé de 2 851 à 7 508.
Dans le cadre de son Programme Électricité Pour Tous (PEPT), le gouvernement a mis en place des mesures de facilitation à l’intention des ménages les plus vulnérables. Ces dispositions bienveillantes ont permis à plus de deux millions de foyers d’accéder à l’électricité moyennant un abonnement modique de
1 000 FCfa au lieu des 150 000 FCfa habituellement exigés. Cette action sociale d’envergure a entraîné une augmentation significative du nombre d’abonnés, passant de 1,1 million à plus de 4 millions. Avec un prix moyen de 87 FCfa le kilowattheure à la consommation, la Côte d’Ivoire peut s’enorgueillir de proposer l’un des tarifs les plus compétitifs de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa).
Il convient de souligner que les efforts considérables déployés par l’État ivoirien pour garantir la disponibilité, la qualité et l’accessibilité de l’électricité ont eu des répercussions positives, non seulement sur le quotidien des familles, mais également dans de nombreux domaines de la vie sociale et économique. On peut notamment citer une nette amélioration du taux de réussite scolaire des enfants, une meilleure santé des ménages grâce à l’abandon de l’utilisation de combustibles nocifs, la création d’activités génératrices de revenus, ainsi que l’autonomisation de nombreuses femmes créatrices d’activités lucratives. Tous ces éléments contribuent, de manière significative, au dynamisme socio-économique du pays.
La Côte d’Ivoire, forte de ces succès, nourrit des ambitions encore plus grandes. Elle envisage d’optimiser son mix énergétique pour porter sa production globale à 3500 MW en 2025, 5200 MW en 2030 et 8600 MW en 2040 à travers un «Plan directeur production-transport» ambitieux et novateur. À cet effet, de nombreux projets de centrales d’énergies renouvelables sont en cours de réalisation, notamment les centrales solaires de Ferkessédougou, Bondoukou, Korhogo, M’Bengué, Katiola, Tengrela, Kong, Sérébou, Touba, Odienné, Mankono, Soubré, etc. A ces projets s’ajoutent le barrage de Gribo-Popoli ainsi que les projets de centrales à biomasse Biokala, Coton Boundiali et Cacao Gagnoa, témoignant de l’engagement résolu de la Côte d’Ivoire en faveur d’un développement énergétique durable et respectueux de l’environnement.
L’ensemble de ces initiatives devrait permettre à la Côte d’Ivoire d’atteindre un taux de couverture de 100% en 2025, a promis le Chef de l’État dans son adresse à la nation du 31 décembre 2024.
KOUAME CELESTE,
EXPERT
Pour parvenir à cette prouesse, le gouvernement ivoirien a judicieusement diversifié ses sources d’énergie, maintenu en parfait état de fonctionnement les barrages existants, tout en développant les centrales thermiques de Ciprel, Azito, Aggreko et Vridi. L’inauguration du barrage de Soubré en 2017 et les nombreuses actions ont permis de booster le mix énergétique de la Côte d’Ivoire. Dans le cadre de cette politique de transition énergétique, le mix énergétique comprendra en 2030, 45% d’énergies renouvelables dont 34% d’hydroélectricité, 8% de solaire et 3% de Biomasse. Actuellement, le rapport d’énergies renouvelables du pays est de 31%, dont 1% d’énergie solaire, contre 69% d’électricité de source thermique.
La qualité de la fourniture électrique s’est considérablement améliorée ; le Temps Moyen de Coupure (TMC), qui s’élevait à 47 heures par an en 2011, est passé à 29 heures par an en 2023, tandis que le nombre de localités bénéficiant de l’électrification est passé de 2 851 à 7 508.
Dans le cadre de son Programme Électricité Pour Tous (PEPT), le gouvernement a mis en place des mesures de facilitation à l’intention des ménages les plus vulnérables. Ces dispositions bienveillantes ont permis à plus de deux millions de foyers d’accéder à l’électricité moyennant un abonnement modique de
1 000 FCfa au lieu des 150 000 FCfa habituellement exigés. Cette action sociale d’envergure a entraîné une augmentation significative du nombre d’abonnés, passant de 1,1 million à plus de 4 millions. Avec un prix moyen de 87 FCfa le kilowattheure à la consommation, la Côte d’Ivoire peut s’enorgueillir de proposer l’un des tarifs les plus compétitifs de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa).
Il convient de souligner que les efforts considérables déployés par l’État ivoirien pour garantir la disponibilité, la qualité et l’accessibilité de l’électricité ont eu des répercussions positives, non seulement sur le quotidien des familles, mais également dans de nombreux domaines de la vie sociale et économique. On peut notamment citer une nette amélioration du taux de réussite scolaire des enfants, une meilleure santé des ménages grâce à l’abandon de l’utilisation de combustibles nocifs, la création d’activités génératrices de revenus, ainsi que l’autonomisation de nombreuses femmes créatrices d’activités lucratives. Tous ces éléments contribuent, de manière significative, au dynamisme socio-économique du pays.
La Côte d’Ivoire, forte de ces succès, nourrit des ambitions encore plus grandes. Elle envisage d’optimiser son mix énergétique pour porter sa production globale à 3500 MW en 2025, 5200 MW en 2030 et 8600 MW en 2040 à travers un «Plan directeur production-transport» ambitieux et novateur. À cet effet, de nombreux projets de centrales d’énergies renouvelables sont en cours de réalisation, notamment les centrales solaires de Ferkessédougou, Bondoukou, Korhogo, M’Bengué, Katiola, Tengrela, Kong, Sérébou, Touba, Odienné, Mankono, Soubré, etc. A ces projets s’ajoutent le barrage de Gribo-Popoli ainsi que les projets de centrales à biomasse Biokala, Coton Boundiali et Cacao Gagnoa, témoignant de l’engagement résolu de la Côte d’Ivoire en faveur d’un développement énergétique durable et respectueux de l’environnement.
L’ensemble de ces initiatives devrait permettre à la Côte d’Ivoire d’atteindre un taux de couverture de 100% en 2025, a promis le Chef de l’État dans son adresse à la nation du 31 décembre 2024.
KOUAME CELESTE,
EXPERT