Les hommes de Dieu et le ministère de la Santé à la conférence de presse. (Ph: Dr)
Santé mentale: L'Église catholique appelle à la participation de tous pour le bien-être des patients
La pastorale sociale et le service du développement humain intégral de la Conférence des évêques catholiques de Côte d'Ivoire (Cecci) tire la sonnette d’alarme sur le bien-être et la prise en charge des malades mentaux appelés communément « fou » en Côte d’Ivoire.
Cette volonté, ils l’ont exprimée lors d’une conférence de presse tenue le lundi 10 février 2025, au Siège de la Cecci sis à Cocody-Riviera 3.
S’appuyant sur les saintes écritures précisément dans le livre de Mathieu 25 au verset 36 qui dit : « J’étais malade, et vous m’avez visité », ces hommes de Dieu invitent tout le monde sans exception à ne pas rejeter ces malades, mais à manifester de l’amour et de l’humanisme envers ces personnes qui souffrent déjà.
À en croire le Père Éric Norbert Abekan, secrétaire exécutif national de la Commission justice, paix et environnement, « les joies et les peines de tout homme sont également celles de l’église ». Raison pour laquelle l’on doit écouter sa foi et réagir afin qu’il y ait zéro malade dans les rues.
Pour mener à bien cette mission qui est dans sa phase de sensibilisation, Dr Armand Ameledji, secrétaire exécutif national de la pastorale de la santé, a évoqué trois axes majeurs.
Le premier axe va concerner la mobilisation des familles, des communautés. Des bénévoles seront formés dans les églises pour les techniques d’approche et des soutiens psycho-sociaux. Il y aura également la récupération des frères et sœurs souffrant de cette pathologie et qui sont déjà dans les rues. Non sans oublier le renforcement des structures de prise en charge...
Pour ce qui est du deuxième axe, il sera question de la réinsertion socio-économique de ces personnes. Certains apprendront des activités... Cela les aidera à retrouver les conditions de vie plus humaines.
Quant au dernier axe, il va consister à mettre tout en œuvre pour ne pas que d’autres personnes en bonne santé aujourd’hui tombent dans cette situation difficile.
Pour M. Say Daniel, responsable suivi-évaluation à Caritas Côte d'Ivoire, ce problème de santé publique concerne tout le monde.
Au nom du ministère de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Couverture maladie universelle, Professeur Koua Médard, directeur-coordonnateur du Programme national de santé mentale, a exprimé sa grande satisfaction quant à cette initiative louable. « Nous allons mettre à disposition nos spécialistes... », a-t-il promis.
Son équipe et lui mettront tout en œuvre pour la réussite de ce projet pour le bonheur des populations ivoiriennes.
S’appuyant sur les saintes écritures précisément dans le livre de Mathieu 25 au verset 36 qui dit : « J’étais malade, et vous m’avez visité », ces hommes de Dieu invitent tout le monde sans exception à ne pas rejeter ces malades, mais à manifester de l’amour et de l’humanisme envers ces personnes qui souffrent déjà.
À en croire le Père Éric Norbert Abekan, secrétaire exécutif national de la Commission justice, paix et environnement, « les joies et les peines de tout homme sont également celles de l’église ». Raison pour laquelle l’on doit écouter sa foi et réagir afin qu’il y ait zéro malade dans les rues.
Pour mener à bien cette mission qui est dans sa phase de sensibilisation, Dr Armand Ameledji, secrétaire exécutif national de la pastorale de la santé, a évoqué trois axes majeurs.
Le premier axe va concerner la mobilisation des familles, des communautés. Des bénévoles seront formés dans les églises pour les techniques d’approche et des soutiens psycho-sociaux. Il y aura également la récupération des frères et sœurs souffrant de cette pathologie et qui sont déjà dans les rues. Non sans oublier le renforcement des structures de prise en charge...
Pour ce qui est du deuxième axe, il sera question de la réinsertion socio-économique de ces personnes. Certains apprendront des activités... Cela les aidera à retrouver les conditions de vie plus humaines.
Quant au dernier axe, il va consister à mettre tout en œuvre pour ne pas que d’autres personnes en bonne santé aujourd’hui tombent dans cette situation difficile.
Pour M. Say Daniel, responsable suivi-évaluation à Caritas Côte d'Ivoire, ce problème de santé publique concerne tout le monde.
Au nom du ministère de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Couverture maladie universelle, Professeur Koua Médard, directeur-coordonnateur du Programme national de santé mentale, a exprimé sa grande satisfaction quant à cette initiative louable. « Nous allons mettre à disposition nos spécialistes... », a-t-il promis.
Son équipe et lui mettront tout en œuvre pour la réussite de ce projet pour le bonheur des populations ivoiriennes.