Une photo de famille pour immortaliser la rencontre. (Ph: Dr)
Exploitation des contenus médiatiques: Le rapport provisoire sur le cadre légal présenté aux acteurs
Depuis des années, la question de l’exploitation des contenus médiatiques par les géants du web soulève de nombreuses questions de réglementation.
C’est ce qui a motivé l’institut Panos Afrique de l’Ouest, en partenariat avec l’Unesco Dakar, à mettre en œuvre le projet intitulé « Relever le défi de la sécurité juridique des médias face aux nouveaux enjeux numériques au Sénégal et en Côte d’Ivoire ».
Le 4 février, à la Maison de la presse au Plateau, s’est tenu un atelier de restitution du rapport provisoire de ce projet qui vise à renforcer la viabilité des médias en Afrique de l’Ouest face à la concurrence accrue des grandes plateformes nu numériques.
Solange Kouamé, directrice de la Maison de la presse et représentante de l’institut Panos Afrique de l’Ouest, a indiqué que les premières conclusions pourront être améliorées et les recommandations formulées serviront pour des actions de plaidoyer au plan national et sous-régional.
Koné Siméon, directeur juridique à la Haute autorité de la communication audiovisuelle (Haca), qui a conduit les travaux, a révélé qu’à l’observation des différentes législations analysées (législation ivoirienne, textes communautaires de la Cedeao et de l'Uemoa ndlr), il existe de nombreuses disparités".
Il a aussi souligné l’imprécision des textes sur la rémunération des titulaires de droits ou ayant droit en cas d'exploitation de leurs contenus médiatiques ou artistiques. Selon Koné Siméon, ce rapport provisoire sera enrichi avec les recommandations et observations de tous les acteurs du secteur des médias. Aussi il les a exhortés à s’approprier ledit rapport.
La dernière mouture de ce travail sera remise aux autorités nationales et sous-régionales afin qu’elles puissent se doter d’un cadre légal qui protégera les médias du continent face aux géants du web.
Le 4 février, à la Maison de la presse au Plateau, s’est tenu un atelier de restitution du rapport provisoire de ce projet qui vise à renforcer la viabilité des médias en Afrique de l’Ouest face à la concurrence accrue des grandes plateformes nu numériques.
Solange Kouamé, directrice de la Maison de la presse et représentante de l’institut Panos Afrique de l’Ouest, a indiqué que les premières conclusions pourront être améliorées et les recommandations formulées serviront pour des actions de plaidoyer au plan national et sous-régional.
Koné Siméon, directeur juridique à la Haute autorité de la communication audiovisuelle (Haca), qui a conduit les travaux, a révélé qu’à l’observation des différentes législations analysées (législation ivoirienne, textes communautaires de la Cedeao et de l'Uemoa ndlr), il existe de nombreuses disparités".
Il a aussi souligné l’imprécision des textes sur la rémunération des titulaires de droits ou ayant droit en cas d'exploitation de leurs contenus médiatiques ou artistiques. Selon Koné Siméon, ce rapport provisoire sera enrichi avec les recommandations et observations de tous les acteurs du secteur des médias. Aussi il les a exhortés à s’approprier ledit rapport.
La dernière mouture de ce travail sera remise aux autorités nationales et sous-régionales afin qu’elles puissent se doter d’un cadre légal qui protégera les médias du continent face aux géants du web.