Il s’agissait également de sensibiliser les parties aux normes sanitaires et aux exigences de qualité, et de promouvoir une gestion durable des ressources halieutiques. Mission accomplie puisqu’au terme de ces deux jours, les participants ont apprécié la pertinence des modules dispensés qui cadrent avec leurs besoins en matière de connaissance.

Ils se sont engagés par ailleurs à adopter les bonnes pratiques durables de pêche, à appliquer les normes sanitaires recommandées dans les chaînes de valeur. Ce qui leur permettra d’améliorer la qualité des produits transformés et commercialisés.

Ce sont au total 41 personnes issues du ministère des Ressources animales et halieutiques, notamment la direction des pêches, la direction des services vétérinaires, des directions régionales de San Pedro, de Sassandra, de Soubré, de la direction départementale de Tabou, du service des pêches de Grand-Béréby et des pêcheurs artisanaux qui ont pris part à la formation.

Il faut préciser qu’en Côte d’Ivoire, les secteurs de la pêche et de l’aquaculture jouent un rôle stratégique représentant environ 3 % du Pib agricole et emploient directement ou indirectement plus de 600 000 personnes.