Le réalisateur malien Souleymane Cissé
Cinéma africain : Souleymane Cissé, un regard affûté sur la société s’est éteint à quelques heures du FESPACO
Le monde du cinéma africain est en deuil à JJ-03 du FESPACO 2025; Le réalisateur malien Souleymane Cissé, figure emblématique du septième art, s’est éteint ce mercredi 19 février 2025, laissant derrière lui un héritage cinématographique marqué par son regard critique et humaniste sur la société.
Le lauréat de l'Etalon d'or au Fespaco en 1979 avec « Baara » (Le Travail) et en 1985 avec « Fin Yé » (Le Vent) est décédé à Bamako, à l'âge de 84 ans
Son décès survient alors qu’il devait présider le jury de la catégorie fiction long métrage lors de la 29ᵉ édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO), prévue en février 2025.
Réputé pour ses œuvres engagées, Souleymane Cissé a su, tout au long de sa carrière, capturer les réalités sociales, culturelles et politiques du continent africain.
À travers des films devenus des références, tels que Yeelen (1987), qui a remporté le Prix du Jury au Festival de Cannes, le cinéaste a contribué à faire rayonner le cinéma africain sur la scène internationale.
Sa disparition laisse un vide immense dans le paysage culturel du continent. Le FESPACO, événement phare du cinéma africain, auquel il devait apporter son regard affûté en tant que président du jury, prendra sans doute des allures d’hommage à cet homme qui a tant œuvré pour la reconnaissance du cinéma africain.
Le parcours de Souleymane Cissé, jalonné de succès et de distinctions, restera gravé dans la mémoire collective.
Son engagement artistique et son approche authentique du cinéma continueront d’inspirer les générations futures de réalisateurs africains, perpétuant ainsi son œuvre et sa vision d’un cinéma au service de la société.
Son décès survient alors qu’il devait présider le jury de la catégorie fiction long métrage lors de la 29ᵉ édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO), prévue en février 2025.
Réputé pour ses œuvres engagées, Souleymane Cissé a su, tout au long de sa carrière, capturer les réalités sociales, culturelles et politiques du continent africain.
À travers des films devenus des références, tels que Yeelen (1987), qui a remporté le Prix du Jury au Festival de Cannes, le cinéaste a contribué à faire rayonner le cinéma africain sur la scène internationale.
Sa disparition laisse un vide immense dans le paysage culturel du continent. Le FESPACO, événement phare du cinéma africain, auquel il devait apporter son regard affûté en tant que président du jury, prendra sans doute des allures d’hommage à cet homme qui a tant œuvré pour la reconnaissance du cinéma africain.
Le parcours de Souleymane Cissé, jalonné de succès et de distinctions, restera gravé dans la mémoire collective.
Son engagement artistique et son approche authentique du cinéma continueront d’inspirer les générations futures de réalisateurs africains, perpétuant ainsi son œuvre et sa vision d’un cinéma au service de la société.