La présidente Marie-Paule Krasso (au centre) dévoile les grandes lignes des initiatives prévues cette année 2025. (Ph: Dr)
La présidente Marie-Paule Krasso (au centre) dévoile les grandes lignes des initiatives prévues cette année 2025. (Ph: Dr)
Action sociale : La Fondation Gninzé-Dré place l’année 2025 sous le sceau de la solidarité
La Fondation Gninzé-Dré (Cœur Compassion) renforce son engagement en faveur des populations vulnérables. Lors d’une conférence de presse tenue à l’espace Kmp de Marcory le 13 février 2025, sa présidente Marie-Paule Krasso a dévoilé les grandes lignes des initiatives prévues cette année.
Le 22 février, il est prévu la cérémonie de présentation officielle de la Fondation sur le terrain Sobea Aby Raoul de Marcory. Un dîner de gala de collecte de fonds et un concert de bienfaisance sont également prévus.
Le 15 février, un événement a réuni les acteurs de la santé, les organisations humanitaires et les autorités publiques. Au programme, il y a eu une collecte de sang en partenariat avec le Centre national de transfusion sanguine (Cnts), dépistage du cancer du col de l’utérus et performances artistiques.
« Nous voulons aller au-delà des discours et poser des actes concrets. Notre objectif est d’offrir des perspectives aux plus vulnérables et de créer une véritable chaîne de solidarité », a affirmé Marie-Paule Krasso.
Depuis 15 ans, l’organisation multiplie des actions sociales sans reconnaissance officielle. Des hôpitaux de Port-Bouët et de Marcory, aux associations de femmes rurales de Dabakala, elle a tissé un réseau d’entraide. « Nous avons toujours œuvré avec le cœur en apportant un soutien concret aux plus démunis, en particulier aux enfants malades et aux femmes en quête d’autonomie », a rappelé la présidente.
Marie-Paule Krasso a également laissé entendre que la fondation a financé l’achat d’une machine de transformation de manioc pour une coopérative féminine à Dabakala. Une illustration de son engagement pour l’autonomisation économique des femmes.
La Fondation Gninzé-Dré mise sur la mobilisation de ses partenaires et donateurs. « Chaque geste compte. Votre soutien est essentiel pour offrir des soins aux enfants malades et aider ces femmes à retrouver leur autonomie. Ensemble, nous pouvons faire la différence », a plaidé la présidente.
Le 15 février, un événement a réuni les acteurs de la santé, les organisations humanitaires et les autorités publiques. Au programme, il y a eu une collecte de sang en partenariat avec le Centre national de transfusion sanguine (Cnts), dépistage du cancer du col de l’utérus et performances artistiques.
« Nous voulons aller au-delà des discours et poser des actes concrets. Notre objectif est d’offrir des perspectives aux plus vulnérables et de créer une véritable chaîne de solidarité », a affirmé Marie-Paule Krasso.
Depuis 15 ans, l’organisation multiplie des actions sociales sans reconnaissance officielle. Des hôpitaux de Port-Bouët et de Marcory, aux associations de femmes rurales de Dabakala, elle a tissé un réseau d’entraide. « Nous avons toujours œuvré avec le cœur en apportant un soutien concret aux plus démunis, en particulier aux enfants malades et aux femmes en quête d’autonomie », a rappelé la présidente.
Marie-Paule Krasso a également laissé entendre que la fondation a financé l’achat d’une machine de transformation de manioc pour une coopérative féminine à Dabakala. Une illustration de son engagement pour l’autonomisation économique des femmes.
La Fondation Gninzé-Dré mise sur la mobilisation de ses partenaires et donateurs. « Chaque geste compte. Votre soutien est essentiel pour offrir des soins aux enfants malades et aider ces femmes à retrouver leur autonomie. Ensemble, nous pouvons faire la différence », a plaidé la présidente.