Le Campc est désormais le leader de la formation professionnelle en Afrique. ( Franck YEO)
Enseignement supérieur : Bilan satisfaisant pour le Campc, estime le professeur Joseph Kaudjhis
Créé en 1970 à l’initiative des Chefs d’Etat et de gouvernements membres de l’organisation commune africaine et malgache et opérationnel depuis 1975, le Centre africain de management et de perfectionnement des cadres (Campc) a enregistré à ce jour, un bilan satisfaisant, annonce son directeur général, le professeur Joseph Assi-Kaudjhis.
Il a dressé ce bilan le jeudi 20 février 2025, à l’occasion de la rentrée solennelle de cette institution, au sein de l’Université Félix Houphouët-Boigny, sur le thème : « Culture de l’évaluation et transformation socio-économique des pays africains ».
Pour le professeur Joseph Kaudjhis, son institution a honoré la mémoire des pères fondateurs. « A ce jour, nous sommes à plus de 45 mille cadres et professionnels qui ont été formés. En plus de cela, nous avons plus de 7 mille organisations et entreprises qui ont fait confiance au Campc », explique-t-il, soulignant que cette rentrée solennelle est placée sous le sceau de l’innovation et de l’excellence.
Fleuron de la formation professionnelle en Afrique, dit le professeur Joseph Kaudjhis, le Campc a assuré et continue d’assurer sa mission contribuant ainsi à doter les entreprises et organisations nationales et internationales, publiques et privées, de plus de 20 pays d’Afrique, de ressources humaines de qualité bien imprégnées des théories et surtout des méthodes et coutumes du management moderne.
Selon lui, l’axe prioritaire du nouveau plan stratégique porte sur le renforcement des capacités de formation et d’accueil du siège du Campc et ses représentations dont les actions majeures sont : l’extension des infrastructures du sièges à Abidjan ; la construction et l’équipement de la représentation de l’institution à Ouagadougou, au Burkina Faso ; la construction et l’équipement de la représentation de la structure à Libreville, au Gabon. En outre, il est question pour lui de faire en sorte que d’autres Etats africains adhèrent au Campc.
Le directeur de cabinet, Moustapha Sangaré, représentant le ministre de l’Enseignement technique, de la formation professionnelle et de l’apprentissage, N’Guessan Koffi, par ailleurs, vice-président du Conseil d’administration du Campc, a souligné que le Campc est une institution cinquantenaire qui a su s’imposer comme un acteur majeur de la formation et le perfectionnement des cadres africains.
« Il s’est imposé comme un carrefour incontournable du renforcement des capacités et un moteur du développement professionnel », fait-il savoir, rappelant que la Côte d’Ivoire accueille cette année la 40e session du Campc et que cet événement coïncide avec les festivités du cinquantenaire de cette instituion. « Ce rendez-vous historique constitue un défi de taille que nous devons relever ensemble afin de renforcer l’intégration africaine à travers la formation et l’excellence », dit-il.
Revenant sur le thème, Moustapha Sangaré a indiqué que l’évaluation est un outil stratégique qui permet d’améliorer la qualité de la formation, de mesurer l’impact des politiques publiques, de garantir le développement harmonieux.
Invitée spéciale, Louise Boukandou Moussavou, ex-ministre de la Fonction publique et du renforcement des capacités du Gabon, a indiqué que pour que cette culture de l’évaluation se développe, plusieurs actions doivent être entreprises. Il s’agit entre de former et de sensibiliser les acteurs clés sur l’importance et les méthodes de l’évaluation ; développer les systèmes d’information solides pour recueillir et analyser les données, et la collaboration entre les pays africains et les partenaires internationaux doivent apporter des ressources nécessaires à cette évaluation.
En marge de cette rentrée, une salle au sein du Campc a été baptisée du nom de « Louise Boukandou Moussavou »
Pour le professeur Joseph Kaudjhis, son institution a honoré la mémoire des pères fondateurs. « A ce jour, nous sommes à plus de 45 mille cadres et professionnels qui ont été formés. En plus de cela, nous avons plus de 7 mille organisations et entreprises qui ont fait confiance au Campc », explique-t-il, soulignant que cette rentrée solennelle est placée sous le sceau de l’innovation et de l’excellence.
Fleuron de la formation professionnelle en Afrique, dit le professeur Joseph Kaudjhis, le Campc a assuré et continue d’assurer sa mission contribuant ainsi à doter les entreprises et organisations nationales et internationales, publiques et privées, de plus de 20 pays d’Afrique, de ressources humaines de qualité bien imprégnées des théories et surtout des méthodes et coutumes du management moderne.
Selon lui, l’axe prioritaire du nouveau plan stratégique porte sur le renforcement des capacités de formation et d’accueil du siège du Campc et ses représentations dont les actions majeures sont : l’extension des infrastructures du sièges à Abidjan ; la construction et l’équipement de la représentation de l’institution à Ouagadougou, au Burkina Faso ; la construction et l’équipement de la représentation de la structure à Libreville, au Gabon. En outre, il est question pour lui de faire en sorte que d’autres Etats africains adhèrent au Campc.
Le directeur de cabinet, Moustapha Sangaré, représentant le ministre de l’Enseignement technique, de la formation professionnelle et de l’apprentissage, N’Guessan Koffi, par ailleurs, vice-président du Conseil d’administration du Campc, a souligné que le Campc est une institution cinquantenaire qui a su s’imposer comme un acteur majeur de la formation et le perfectionnement des cadres africains.
« Il s’est imposé comme un carrefour incontournable du renforcement des capacités et un moteur du développement professionnel », fait-il savoir, rappelant que la Côte d’Ivoire accueille cette année la 40e session du Campc et que cet événement coïncide avec les festivités du cinquantenaire de cette instituion. « Ce rendez-vous historique constitue un défi de taille que nous devons relever ensemble afin de renforcer l’intégration africaine à travers la formation et l’excellence », dit-il.
Revenant sur le thème, Moustapha Sangaré a indiqué que l’évaluation est un outil stratégique qui permet d’améliorer la qualité de la formation, de mesurer l’impact des politiques publiques, de garantir le développement harmonieux.
Invitée spéciale, Louise Boukandou Moussavou, ex-ministre de la Fonction publique et du renforcement des capacités du Gabon, a indiqué que pour que cette culture de l’évaluation se développe, plusieurs actions doivent être entreprises. Il s’agit entre de former et de sensibiliser les acteurs clés sur l’importance et les méthodes de l’évaluation ; développer les systèmes d’information solides pour recueillir et analyser les données, et la collaboration entre les pays africains et les partenaires internationaux doivent apporter des ressources nécessaires à cette évaluation.
En marge de cette rentrée, une salle au sein du Campc a été baptisée du nom de « Louise Boukandou Moussavou »