L'adolescente a versé des larmes devant les juges. (Ph: Dr)
Attentat à la pudeur: Un père de famille présente une vidéo de Baltazar et abuse de l’enfant de la voisine
Dorgélès D. est accusé d’attentat à la pudeur sur mineur. Le 11 février 2025, il a été condamné à 12 mois ferme de prison, 200 000 F Cfa d’amende à payer à l’Etat de Côte d’Ivoire et 200 000 F Cfa de dommages et intérêt. Les faits.
Envoyée par sa mère pour l’achat des légumes au quartier, la petite Tata d’environ 13 ans sera interpellée par Dorgélès D, un voisin du bâtiment, à N’Dotré dans la commune d’Abobo à Abidjan. Ce dernier l’a invitée dans la chambre, mais la petite a hésité. Devant la crainte de cette dernière, le père de famille de trois enfants, l’a rejointe au salon. Il a pris place dans le canapé et a invité la petite à s’asseoir à ses côtés.
Selon l’enfant, D.D lui a présenté une vidéo pornographique du célèbre Baltazar de la Guinée-Équatoriale. Par la suite, il a soulevé son vêtement et lui a sucé les seins encore de petites tailles puis a introduit ses doigts dans sa culotte pour toucher sa partie intime.
Sous la menace du voisin D.D, la petite effrayée n’a pas raconté ce qui s’est passé à sa mère. Mais la mère a trouvé l’attitude de sa fille étrange. Le lendemain, à la vue de D.D, l’adolescente est devenue plus étrange et s’est mise à couler des larmes. Surprise, sa mère lui a posé des questions pour savoir ce qui n’allait pas. Une fois à la maison, sur insistance de la mère, la petite est finalement passée à table en pointant du doigt D.D. La mère s’est précipitée chez le voisin pour exprimer son mécontentement et informer le propriétaire de la cour à 12 portes.
Aussitôt, ce dernier a convoqué une réunion d’urgence avec tous les locataires. « D.D a reconnu les faits et s’est mis à genoux devant tous les voisins de la cour », a témoigné à la barre M. Gnaoré, le propriétaire de la cour.
Appelé à la barre, Dorgelès D. a nié les faits. Selon lui, il a interpellé la petite Tata parce que cette dernière avait frappé sa fille de 2 ans. Lui, à son tour, a frappé Tata, raison pour laquelle l’adolescente a dit des mensonges à son égard. Il en veut pour preuve, le bilan des examens qui ont prouvé que Tata n’est pas déflorée.
Dorgelès D. a été jugé coupable des faits d’attouchements sexuels. C’est en larmes que la mère de Tata a quitté le palais de justice. Elle s’interroge sur la gestion du traumatisme subi par sa frêle fille.
Selon l’enfant, D.D lui a présenté une vidéo pornographique du célèbre Baltazar de la Guinée-Équatoriale. Par la suite, il a soulevé son vêtement et lui a sucé les seins encore de petites tailles puis a introduit ses doigts dans sa culotte pour toucher sa partie intime.
Sous la menace du voisin D.D, la petite effrayée n’a pas raconté ce qui s’est passé à sa mère. Mais la mère a trouvé l’attitude de sa fille étrange. Le lendemain, à la vue de D.D, l’adolescente est devenue plus étrange et s’est mise à couler des larmes. Surprise, sa mère lui a posé des questions pour savoir ce qui n’allait pas. Une fois à la maison, sur insistance de la mère, la petite est finalement passée à table en pointant du doigt D.D. La mère s’est précipitée chez le voisin pour exprimer son mécontentement et informer le propriétaire de la cour à 12 portes.
Aussitôt, ce dernier a convoqué une réunion d’urgence avec tous les locataires. « D.D a reconnu les faits et s’est mis à genoux devant tous les voisins de la cour », a témoigné à la barre M. Gnaoré, le propriétaire de la cour.
Appelé à la barre, Dorgelès D. a nié les faits. Selon lui, il a interpellé la petite Tata parce que cette dernière avait frappé sa fille de 2 ans. Lui, à son tour, a frappé Tata, raison pour laquelle l’adolescente a dit des mensonges à son égard. Il en veut pour preuve, le bilan des examens qui ont prouvé que Tata n’est pas déflorée.
Dorgelès D. a été jugé coupable des faits d’attouchements sexuels. C’est en larmes que la mère de Tata a quitté le palais de justice. Elle s’interroge sur la gestion du traumatisme subi par sa frêle fille.