Les participants invités à des échanges constructifs pour établir la meilleure synergie d’action envisageable. (Franck YEO)
Les participants invités à des échanges constructifs pour établir la meilleure synergie d’action envisageable. (Franck YEO)
Communication en période crise humanitaire : Des acteurs renforcent leurs capacités
Dans le cadre de l’opérationnalisation du plan national de contingence humanitaire multirisques, le ministère de la Cohésion nationale, de la solidarité et de la lutte contre la pauvreté, a organisé le mercredi 26 février 2025, dans ses locaux au Plateau, un atelier sur la communication en période de crise humanitaire.
Cet atelier a été organisé à l’intention des journalistes issus de certains organes de presse et des responsables de la communication de plusieurs structures de la place, des Ong et autres acteurs de la société civile. Objectif, renforcer leurs compétences sur le processus de la communication en période de crise, ainsi que les approches permettant de distiller une communication efficace et transparente en cas d’urgence humanitaire.
Le directeur de cabinet, Joel Yves Kouadio, représentant la ministre de la Cohésion nationale, de la solidarité et de la lutte contre la pauvreté, Myss Belmonde Dogo, a indiqué que le plan national de contingence humanitaire multirisques a été élaboré et validé par les parties prenantes pour prévenir, anticiper et planifier la réponse aux catastrophes.
Les perspectives les plus importantes de cette opérationnalisation, dit-il, sont l’élaboration d’un manuel de procédures du plan ; le renforcement des capacités des acteurs sur la gestion des crises humanitaires; l’élaboration des plans de contingences régionaux ; l’organisation des activités de simulation du plan et la communication en temps réel de crise humanitaire.
« Ce présent atelier nous donnera l’occasion de renforcer nos compétences et de nous informer sur le processus de la communication en période de crise dans notre pays. Dans ce contexte, il faut reconnaître que la communication joue un rôle fondamental », a déclaré Joel Yves Kouadio. Pour lui, la communication ne se limite pas à un simple échange d’informations, mais elle devient un outil stratégique essentiel pour sauver des vies et garantir une réponse efficace.
A l’en croire, une bonne communication permet de diffuser des messages vitaux concernant la sécurité, les besoins urgents les moyens de soutien disponibles. Elle permet aussi, de créer une passerelle entre les différentes parties prenantes, les autorités, les journalistes, les organisations humanitaires, les autorités locales et les personnes affectées par la crise.
« Nous sommes dans un processus de non-retour en vue de mettre en place un outil qui participera à la promptitude de la réponse à apporter aux populations victimes de sinistres et de catastrophes », a-t-il rappelé.
« J’insiste, qu’au-delà donc d’un simple atelier, j’attends de vous des échanges constructifs pour établir la meilleure synergie d’action envisageable en vue de permettre d’affiner le processus de communication en période de crise. Je vous invite donc, à participer activement à cette réflexion, à partager vos expériences et à explorer les meilleures pratiques pour renforcer nos actions », a exhorté le représentant de Myss Belmonde Dogo, soulignant que le but ultime est de garantir la protection et le bien-être des populations et de contribuer à une gestion de crise plus efficace et plus humaine
Le directeur de cabinet, Joel Yves Kouadio, représentant la ministre de la Cohésion nationale, de la solidarité et de la lutte contre la pauvreté, Myss Belmonde Dogo, a indiqué que le plan national de contingence humanitaire multirisques a été élaboré et validé par les parties prenantes pour prévenir, anticiper et planifier la réponse aux catastrophes.
Les perspectives les plus importantes de cette opérationnalisation, dit-il, sont l’élaboration d’un manuel de procédures du plan ; le renforcement des capacités des acteurs sur la gestion des crises humanitaires; l’élaboration des plans de contingences régionaux ; l’organisation des activités de simulation du plan et la communication en temps réel de crise humanitaire.
« Ce présent atelier nous donnera l’occasion de renforcer nos compétences et de nous informer sur le processus de la communication en période de crise dans notre pays. Dans ce contexte, il faut reconnaître que la communication joue un rôle fondamental », a déclaré Joel Yves Kouadio. Pour lui, la communication ne se limite pas à un simple échange d’informations, mais elle devient un outil stratégique essentiel pour sauver des vies et garantir une réponse efficace.
A l’en croire, une bonne communication permet de diffuser des messages vitaux concernant la sécurité, les besoins urgents les moyens de soutien disponibles. Elle permet aussi, de créer une passerelle entre les différentes parties prenantes, les autorités, les journalistes, les organisations humanitaires, les autorités locales et les personnes affectées par la crise.
« Nous sommes dans un processus de non-retour en vue de mettre en place un outil qui participera à la promptitude de la réponse à apporter aux populations victimes de sinistres et de catastrophes », a-t-il rappelé.
« J’insiste, qu’au-delà donc d’un simple atelier, j’attends de vous des échanges constructifs pour établir la meilleure synergie d’action envisageable en vue de permettre d’affiner le processus de communication en période de crise. Je vous invite donc, à participer activement à cette réflexion, à partager vos expériences et à explorer les meilleures pratiques pour renforcer nos actions », a exhorté le représentant de Myss Belmonde Dogo, soulignant que le but ultime est de garantir la protection et le bien-être des populations et de contribuer à une gestion de crise plus efficace et plus humaine