Les représentants de la Société civile mieux outillés pour participer aux appels d’offres. (Ph: Dr)
Les représentants de la Société civile mieux outillés pour participer aux appels d’offres. (Ph: Dr)
Francophonie: La Commission nationale forme la Société civile au montage de projets subventionnés par l’OIF
La Commission nationale de la Francophonie (Cnf) fait la promotion de la Francophonie et des actions de l’Organisation internationale de la Francophonie (Oif) en Côte d'Ivoire. Dans ce cadre, la Cnf partage les opportunités, notamment de subventions de projets aux Ivoiriens.
Ces opportunités se font par appel à candidatures. Et pour en bénéficier, selon la secrétaire générale de la Cnf, N’Guessan Bernice, il faut de prime abord disposer d’un projet, être une organisation de la Société civile légalement constituée et déjà opérationnelle. La Cnf a organisé le jeudi 27 février 2025, un atelier à l’intention de 25 Organisations de la société civile (Osc), dans ses locaux à Cocody-Vallons, pour leur permettre d’être mieux outillées afin d’avoir plus de chance d’accès à ces subventions. L’objectif, in fine, est d’installer un incubateur pour que tous les candidats profitent davantage.
« En tout cas, depuis trois ans maintenant, des ateliers d'informations, de sensibilisation également de façon technique sont organisés pour qu'elles sachent comment l'on présente un projet, l'on soumissionne au niveau de la Francophonie », explique la secrétaire générale. Et de préciser : « Mais nous avons décidé de pousser l'information pour que beaucoup d'Ivoiriens puissent en profiter. Notre souhait, c'est que chaque année au moins cinq organisations de la Société civile soient admises ».
Lors de cet atelier, les participants seront informés sur l’Oif, la Cnf et le Fonds de la solidarité dénommée « la Francophonie avec elles ». Ils bénéficieront des techniques pour maîtriser le processus de soumission à l’appel d’offres, de rédaction et de montage des projets.
Il faut noter que ces projets financés sont de plusieurs ordres : Les projets relatifs aux médias sur le traitement professionnel, l’autonomisation des femmes, la promotion du genre dans son ensemble, les soutiens pour les élections, etc.
Koffi Aurélien, sous-directeur du partenariat et des projets au ministère de la Cuture et de la Francophonie, au nom de la ministre, a salué cette initiative qui aide à rendre plus opérationnelles les organisations et les industries culturelles dans l’implémentation de leurs initiatives. « Il y a matière à renforcer les capacités des acteurs sur le terrain. C’est normal puisqu’à la base ils ne sont pas des spécialistes en montage de projets », souligne M. Koffi.
« En tout cas, depuis trois ans maintenant, des ateliers d'informations, de sensibilisation également de façon technique sont organisés pour qu'elles sachent comment l'on présente un projet, l'on soumissionne au niveau de la Francophonie », explique la secrétaire générale. Et de préciser : « Mais nous avons décidé de pousser l'information pour que beaucoup d'Ivoiriens puissent en profiter. Notre souhait, c'est que chaque année au moins cinq organisations de la Société civile soient admises ».
Lors de cet atelier, les participants seront informés sur l’Oif, la Cnf et le Fonds de la solidarité dénommée « la Francophonie avec elles ». Ils bénéficieront des techniques pour maîtriser le processus de soumission à l’appel d’offres, de rédaction et de montage des projets.
Il faut noter que ces projets financés sont de plusieurs ordres : Les projets relatifs aux médias sur le traitement professionnel, l’autonomisation des femmes, la promotion du genre dans son ensemble, les soutiens pour les élections, etc.
Koffi Aurélien, sous-directeur du partenariat et des projets au ministère de la Cuture et de la Francophonie, au nom de la ministre, a salué cette initiative qui aide à rendre plus opérationnelles les organisations et les industries culturelles dans l’implémentation de leurs initiatives. « Il y a matière à renforcer les capacités des acteurs sur le terrain. C’est normal puisqu’à la base ils ne sont pas des spécialistes en montage de projets », souligne M. Koffi.