Les festivaliers réunis autour du sous-prefet (Photo Bavane)
Krigambo/Bouaflé : « Encouragez-nous à développer notre village », exhorte Didier Koffi Koffi, commissaire général du festival Ahoko Kouahi’n de conte
« Nous nous entendons bien, nous les cadres. Ce que nous faisons, nous le faisons ensemble. Encouragez-nous à développer le village. Il n’y a pas de palabres entre nous. Nous travaillons tous ensemble. C’est dans l’union que nous travaillons pour Krigambo », s’est exprimé Didier Koffi Koffi, commissaire général du Festival Ahoko Kouahi’n. Il a lancé cet appel à l’endroit de ses parents le samedi 1er mars 2025, à l’occasion de l’ouverture officielle du festival, à la place publique du village.
Pour Didier Koffi Koffi, à travers ce message, il s’agit de rassurer les populations de Krigambo, que l’entente parfaite règne entre les cadres, fils et filles du village. Pour étayer ses propos, il avait à ses côtés des cadres qui ont effectué le déplacement d’Abidjan à Krigambo depuis le 25 février, date du démarrage des festivités. Selon le commissaire général, le développement de Krigambo se fait avec l’apport et le soutien de tous ses cadres. Comme preuve, il a énuméré des infrastructures socio-éducatives réalisées par l’ensemble des fils et filles de Krigambo. Notamment l’école maternelle du village.
Il a été rejoint dans son message d’union par Amani Kouamé Mathias, président de la mutuelle de développement de Krigambo. « On connait Krigambo à travers les arts. Je voudrais de façon publique, dire merci à l’initiateur et profiter de l’occasion pour lancer un appel à l’union afin de continuer notre dynamisme de développement de notre village », a-t-il exhorté.
Amani Koffi, directeur de la culture au conseil régional de la Marahoué, a marqué son admiration pour l’organisation du festival. Qui selon lui, ne doit pas manquer de soutien. Car, dit-il, il s’agit de la mémoire de la culture qu’est le conte qui se perpétue à travers ce festival. D’où, son engagement à soutenir le festival pour les prochaines éditions.
Faut-il le rappeler, le festival a débuté le 25 février par un concours de lecture qui s’est poursuivi les 27 et 28 février. Les vainqueurs ont été récompensés à l’occasion de la cérémonie d’ouverture. Une dizaine d’élèves allant de la classe de CM en 6e, 5e et 4e ont reçu des livres et manuels scolaires. Pour les prix d’excellence, certains ont reçu du numéraire. Le 26 février, les participants ont eu droit à un café littéraire avec l’écrivain Jean-Pierre Mukendi (un Congolais qui a publié près d’une cinquantaine d’ouvrages). Dans la journée du 1er mars, après la cérémonie d’ouverture, place a été donnée à un café littéraire suivi de la nuit du conte de 22h à l’aube, malheureusement perturbé par une coupure d’électricité et une forte pluie. Et poursuivie dans la matinée du dimanche 2 mars.
Il a été rejoint dans son message d’union par Amani Kouamé Mathias, président de la mutuelle de développement de Krigambo. « On connait Krigambo à travers les arts. Je voudrais de façon publique, dire merci à l’initiateur et profiter de l’occasion pour lancer un appel à l’union afin de continuer notre dynamisme de développement de notre village », a-t-il exhorté.
Amani Koffi, directeur de la culture au conseil régional de la Marahoué, a marqué son admiration pour l’organisation du festival. Qui selon lui, ne doit pas manquer de soutien. Car, dit-il, il s’agit de la mémoire de la culture qu’est le conte qui se perpétue à travers ce festival. D’où, son engagement à soutenir le festival pour les prochaines éditions.
Faut-il le rappeler, le festival a débuté le 25 février par un concours de lecture qui s’est poursuivi les 27 et 28 février. Les vainqueurs ont été récompensés à l’occasion de la cérémonie d’ouverture. Une dizaine d’élèves allant de la classe de CM en 6e, 5e et 4e ont reçu des livres et manuels scolaires. Pour les prix d’excellence, certains ont reçu du numéraire. Le 26 février, les participants ont eu droit à un café littéraire avec l’écrivain Jean-Pierre Mukendi (un Congolais qui a publié près d’une cinquantaine d’ouvrages). Dans la journée du 1er mars, après la cérémonie d’ouverture, place a été donnée à un café littéraire suivi de la nuit du conte de 22h à l’aube, malheureusement perturbé par une coupure d’électricité et une forte pluie. Et poursuivie dans la matinée du dimanche 2 mars.