Le salon s'annonce un rendez-vous de la culture traditionnelle (DR)
Le Salon des Arts Traditionnels de la Côte d’Ivoire : La 3e édition annoncée pour les 24 et 25 mai à Luxembourg
Didier de Georges Ehoussou, président de l’Aafal (Association Afrique Festival des Arts Africains du Luxembourg) et créateur du Salon des Arts Traditionnels de la Côte d’Ivoire (Satci), a animé une conférence de presse le mardi 4 mars 2025, à Cocody Riviera 2, pour annoncer la 3ème édition de cet événement culturel, le Satci 2025 qui se tiendra les 24 et 25 mai 2025 au Centre Culturel de Bonnevoie, 2 Rue des Ardennes à Luxembourg.
Valoriser la Culture Traditionnelle Ivoirienne
A la conférence, Didier de Georges Ehoussou a expliqué la mission du Satci. Selon lui, l’objectif est de mettre en avant la culture ivoirienne, particulièrement la culture traditionnelle. « Le côté traditionnel, souvent méconnu à l’étranger, est au cœur de notre démarche », a-t-il expliqué. Le salon dit-il, vise à promouvoir les arts traditionnels auprès de la communauté ivoirienne résidant au Luxembourg, des autochtones et du grand public.
Une Programmation Riche et Engagée
Pour cette édition, le Satci propose une immersion dans la culture ivoirienne à travers des expositions, des démonstrations artisanales et dégustations de produits locaux. « L’année dernière, nous avons fait découvrir le champagne à base de cacao et le chocolat artisanal de M. Philbert. Ces produits ont fasciné le public », a souligné Ehoussou.
Pour le promoteur, le salon mise également sur la sensibilisation culturelle. « La Côte d’Ivoire compte 62 ethnies. Chaque année, nous invitons un groupe traditionnel pour représenter une région et partager ses richesses culturelles », a-t-il ajouté.
Miss Ivoire-Luxembourg, Ambassadrice des Valeurs ivoiriennes
Parmi les invités de marque à la conférence, Noa Fatim Guldemont, élue Miss Ivoire-Luxembourg 2024, a partagé son expérience. « Ce titre m’a permis de me reconnecter à mes origines ivoiriennes. Vivant en Europe, on peut perdre ses racines. Ce concours m’a offert l’opportunité de revenir en Côte d’Ivoire, de redécouvrir nos traditions et de porter nos valeurs avec fierté », a-t-elle confié.
Noa Fatim Guldemont a également encouragé les jeunes filles à participer au concours : « Tout le monde a sa chance. C’est une expérience enrichissante, tant sur le plan culturel que personnel. J’ai gagné un voyage et un terrain en Côte d’Ivoire, mais surtout, j’ai renoué avec mes racines. »
Le Satci 2025 promet d’être une célébration vibrante de la culture ivoirienne, un pont entre tradition et modernité, et une opportunité unique de découvrir les richesses artistiques de la Côte d’Ivoire.
Malone Diaby
A la conférence, Didier de Georges Ehoussou a expliqué la mission du Satci. Selon lui, l’objectif est de mettre en avant la culture ivoirienne, particulièrement la culture traditionnelle. « Le côté traditionnel, souvent méconnu à l’étranger, est au cœur de notre démarche », a-t-il expliqué. Le salon dit-il, vise à promouvoir les arts traditionnels auprès de la communauté ivoirienne résidant au Luxembourg, des autochtones et du grand public.
Une Programmation Riche et Engagée
Pour cette édition, le Satci propose une immersion dans la culture ivoirienne à travers des expositions, des démonstrations artisanales et dégustations de produits locaux. « L’année dernière, nous avons fait découvrir le champagne à base de cacao et le chocolat artisanal de M. Philbert. Ces produits ont fasciné le public », a souligné Ehoussou.
Pour le promoteur, le salon mise également sur la sensibilisation culturelle. « La Côte d’Ivoire compte 62 ethnies. Chaque année, nous invitons un groupe traditionnel pour représenter une région et partager ses richesses culturelles », a-t-il ajouté.
Miss Ivoire-Luxembourg, Ambassadrice des Valeurs ivoiriennes
Parmi les invités de marque à la conférence, Noa Fatim Guldemont, élue Miss Ivoire-Luxembourg 2024, a partagé son expérience. « Ce titre m’a permis de me reconnecter à mes origines ivoiriennes. Vivant en Europe, on peut perdre ses racines. Ce concours m’a offert l’opportunité de revenir en Côte d’Ivoire, de redécouvrir nos traditions et de porter nos valeurs avec fierté », a-t-elle confié.
Noa Fatim Guldemont a également encouragé les jeunes filles à participer au concours : « Tout le monde a sa chance. C’est une expérience enrichissante, tant sur le plan culturel que personnel. J’ai gagné un voyage et un terrain en Côte d’Ivoire, mais surtout, j’ai renoué avec mes racines. »
Le Satci 2025 promet d’être une célébration vibrante de la culture ivoirienne, un pont entre tradition et modernité, et une opportunité unique de découvrir les richesses artistiques de la Côte d’Ivoire.
Malone Diaby