Pascal Affi N'Guessan, président du Front populaire ivoirien. (Ph: Dr)
La case des mots : Affi, ça suffit ?
Le rififi ? Affi en fera fi. Les rififis où on se méfie, se défie, se cocufie, se chosifie, se mystifie, se disqualifie, ne se justifient plus, selon Affi. Ça suffit ! Il démystifie aussi ces rififis où on se starifie, se momifie, se déifie. Autre défi, autre philosophie !
Affi magnifie plutôt ce vent qui vivifie et réunifie la nation et nous gratifie de ponts qu’on édifie ou d’amphis qu’on planifie. Le défi, c’est qu’on intensifie cette philosophie, qu’on amplifie les routes qui s’édifient et qu’on diversifie les villages qui s’électrifient. Ça signifie qu’on n’amplifie plus les chorégraphies du rififi qui parfois terrifient.
Le défi, le nouveau défi, ce serait de faire fi des anciens rififis. Ça justifie qu’on purifie la scène, qu’on la simplifie, la lénifie et la pacifie.
Qu’Affi et le Rhdp unifient leurs défis, ça signifie déjà moins de rififis dans ce pays qui édifie. Et Affi certifie que sa philosophie sera moins de rififis, même s’il spécifie, notifie et clarifie qu’il ne fera pas la girafe Sofie.
Le défi, le nouveau défi, ce serait de faire fi des anciens rififis. Ça justifie qu’on purifie la scène, qu’on la simplifie, la lénifie et la pacifie.
Qu’Affi et le Rhdp unifient leurs défis, ça signifie déjà moins de rififis dans ce pays qui édifie. Et Affi certifie que sa philosophie sera moins de rififis, même s’il spécifie, notifie et clarifie qu’il ne fera pas la girafe Sofie.