
Plusieurs enseignants-chercheurs, doctorants, responsables d’universités, d’institutions de (2)
Plusieurs enseignants-chercheurs, doctorants, responsables d’universités, d’institutions de (2)
Recherche scientifique et innovation : La technologie de la fouille de textes et de données présentée aux acteurs ivoiriens
L'Organisation mondiale de la propriété́ intellectuelle (Ompi) en collaboration avec le Burida et le ministère de la Culture et de la Francophonie, a organisé deux ateliers sur les innovations dans la recherche et les contentieux de la propriété littéraire et artistique.
La fouille de textes et de données est de plus en plus vue comme un levier pour la recherche et l’innovation Afrique. D’où l’organisation par l’Organisation mondiale de la propriété́ intellectuelle (Ompi), du 26 au 28 février, à l’Université Felix Houphouët-Boigny d’Abidjan (Ufhb), d’un atelier sur cette technologie. Organisée en collaboration avec le ministère de la Culture et de la Francophonie, l’Ufhb et le Bureau ivoirien du droit d’auteur (Burida), cette session a rassemblé un auditoire composé d’enseignants-chercheurs, de doctorants, responsables d’universités, d’institutions de recherche, de bibliothèques, de bureaux de droits d’auteur et d’éditeurs.
Alternant entre sessions plénières et travaux en groupes restreints, l’atelier s’est décliné en quatre points essentiels : rappel de l’importance de la fouille de textes et de données dans la recherche scientifique ; la présentation des outils et méthodes adaptés aux institutions de recherche africaines ; la présentation des bonnes pratiques ; et l’élaboration d’un projet d’application qui sera mis en œuvre dans les universités participantes. Il a été animé par plusieurs experts nationaux et internationaux, entre autres, le Prof. André Lucas, de l’Université de Nantes, Serge Akpatou, directeur général de la propriété́ littéraire et artistique et Feyori Mahari, consultante de la division du droit d’auteur de l’Ompi. L’autre objectif était de renforcer la collaboration entre les institutions engagées dans cette dynamique.
La fouille de textes et de données fait partie du vaste domaine de l’intelligence artificielle. Souvent désignée sous son appellation anglaise Text mining, cette technique désigne un ensemble de traitements informatiques consistant à extraire des connaissances selon un critère de nouveauté ou de similarité dans des textes existant. Pour Abdoulaye Sangaré, vice-président de l’Ufhb, qui a présidé la cérémonie d’ouverture, la fouille de textes peut permettre aux chercheurs de « faire des prouesses pour le continent africain et pour le monde entier ».
Cet atelier s’inscrivait dans le cadre du « Projet pilote sur l’exploration de textes et de données à l’appui de la recherche et de l’innovation dans les universités et autres établissements de recherche en Afrique », porté par l’Ompi. L’objectif principal était de sensibiliser les participants aux enjeux et aux applications de la fouille de textes et de données, tout en renforçant leurs capacités à exploiter ces technologies dans leurs activités de recherche. Les réflexions et recommandations de l’atelier alimenteront la mise en place du projet pilote et inspireront d’autres initiatives en faveur de la recherche et de l’innovation sur le continent.
En marge de cette session, l’Ompi et le Burida ont organisé une autre consacrée cette fois au contentieux de la propriété́ littéraire et artistique dans l'environnement numérique, ainsi qu'aux mécanismes de réparation des préjudices subis par les titulaires de droits. Cette rencontre animée par le Prof. André Lucas, professeur émérite de l’Université de Nantes, a rassemblé́ divers experts et praticiens du droit dans un cadre d'échange constructif.
La fouille de textes et de données fait partie du vaste domaine de l’intelligence artificielle. Souvent désignée sous son appellation anglaise Text mining, cette technique désigne un ensemble de traitements informatiques consistant à extraire des connaissances selon un critère de nouveauté ou de similarité dans des textes existant. Pour Abdoulaye Sangaré, vice-président de l’Ufhb, qui a présidé la cérémonie d’ouverture, la fouille de textes peut permettre aux chercheurs de « faire des prouesses pour le continent africain et pour le monde entier ».
Cet atelier s’inscrivait dans le cadre du « Projet pilote sur l’exploration de textes et de données à l’appui de la recherche et de l’innovation dans les universités et autres établissements de recherche en Afrique », porté par l’Ompi. L’objectif principal était de sensibiliser les participants aux enjeux et aux applications de la fouille de textes et de données, tout en renforçant leurs capacités à exploiter ces technologies dans leurs activités de recherche. Les réflexions et recommandations de l’atelier alimenteront la mise en place du projet pilote et inspireront d’autres initiatives en faveur de la recherche et de l’innovation sur le continent.
En marge de cette session, l’Ompi et le Burida ont organisé une autre consacrée cette fois au contentieux de la propriété́ littéraire et artistique dans l'environnement numérique, ainsi qu'aux mécanismes de réparation des préjudices subis par les titulaires de droits. Cette rencontre animée par le Prof. André Lucas, professeur émérite de l’Université de Nantes, a rassemblé́ divers experts et praticiens du droit dans un cadre d'échange constructif.